La France Occupée

La division de la France

• En mai mille neuf cent quarante, les allemands ont envahi la France. L’invasion était un surprise pour les francais, parce que les allemandes ont venus par la Belgique plutot que la ligne Magiot. Dans six semaines, les nazis ont pris Paris et la france a perdu.

• En juin mille neuf cent quarante, Pétain a été nommé comme le chef du gouvernement francais. Il était consideré capable par la publique, parce qu’il était un héros de guerre, après servant dans l’armée pendant la premiere guerre mondiale. En plus, il avait quarante-vingt quatre ans, donc les gens francais ont pensé qu’il aura beaucoup de connaissance pour aider la france après la guerre.

• La france était divisée par une ligne de démarcation après l’armistice, avec la zone occupée dans le nord et l’ouest, et la zone libre dans le sud.

• La zone occupée etait controllée directement par les nazis. Bien que la sud soit libre, il etait, en fait, un état fantoche, parce que la chef d’état, le Maréchal Pétain était en collaboration avec les allemends. 

• Les gens au villes étaient impactés par la pénurie, mais pour ceux à la campagne la vie était moins dure, parce qu’ils avaient plus de la varieté de la nourriture.

La collaboration avec les Allemandes

• En juin mille neuf cent quarante, Pétain a été nommé comme le chef du gouvernement francais. Il était consideré capable par la publique, parce qu’il était un héros de guerre, après servant dans l’armée pendant la premiere guerre mondiale. En plus, il avait quarante-vingt quatre ans, donc les gens francais ont pensé qu’il aura beaucoup de connaissance pour aider la france après la guerre.

• Pourant, il était tres antisemite, et en juin mille neuf quarante, il a signé l’armistice. Les francais ont accepté la decision parce qu’ils respectaient beaucoup le Maréchal.

• La collaboration au quotidien- caracterisé par les lettres de dénonciation énvoyés au gestapo, pour dénoncer les juifs. Les gens, même ceux qui n’étaient pas juifs vivaient en peur d’être dénoncés. 

• La collaboration privée- la plupart des transports et des agricoles étaient énvoyvé en Allemand for aider l’effort de guerre. Par exemple, quatre-vingt pour cent de production de transports étaient énvoyer en allemand

• La collaboration horzintal- les femmes ont eu des relations avec des soldats Allemands, souvent pour garantir leur survie. Apres la guerre, ces femmes ont été tondue, pour les humilier. 

• La collaboration neutre- la plupart des gens participaient avec la collaboration neutre. C’est où les gens travaillaient pour les allemends mais ils n’acceptaient pas leurs principes. Comme la collaboration horizontal, c’était souvent pour garantir leur survie

La vie quotidienne sous l’Occupation

• Dans les grandes villes occupées en France, il y avait un manque de beaucoup des produits necessaires, comme du café, de la viande et de carburant. À cause de ca, c’était difficile pour trouver de la nourriture et aussi pour avoir assez de manger chaque jour.

• Pour aider la penurie, il avait des cartes de rationnement. Les gens gens étaient catégorises selon la sexe, l’âge, et le métier, et ça a influencé la quantité des rations pour chaque personne. Pour recevoir ces rations, les gens devaient faire la queue devant des magasins, souvent pour quelques heures. 

• la systeme d

• La système D était un mouvement pour éncourager la débrouillardise, surtout avec la nourriture et les vêtements. Les gens francais remplaçaient le café avec la chicorée, et les femmes dessinaient sur les jambes avec un crayon noir, pour donner l’impressions qu’elles portaient des collants.

• Surtout dans les grandes villes y compris Paris, le rationnement était très sévère. Donc, les gens échangeait des produits rares, quelquefois pour un prix vraiment grand, ce s’appellait le marché noir. Par exemple, un kilo du café couteait trente fois plus cheres que la prix normales.

• L’ambience des villes ont été influencé par l’arrival des allemands. Les drapeaux nazis et des panneaux en Allemand ont été partout. En plus, il y avait un couvre-feu le soir

L’antisémitisme sous l’Occupation