La cohésion
Une autre molécule polaire peut être attirée par elle et elle crée une tension superficielle, une pellicule invisible qui occupe une très petite surface
La stabilisation de la température par l’eau
L’eau absorbe ou perd une quantité de chaleur importante et aide les vivants à se refroidir par évaporation
La dilatation au gel
La glace flotte et isole les étendues d’eau sous elle
Polyvalence du solvant
L’eau peut dissoudre un grand nombre de substance et est un excellent agent de transport entre les différentes parties d’un organisme
Les propriétés particulières du carbone
Le carbone est l’élément fondamental de la plupart des substances chimique qui composent les vivants grâce à sa configuration électronique qui lui permet de former des molécules simples, volumineuses, complexes et variées ainsi d’être un squelette très stable
Les quatre groupes de molécules organique (carbonées) retrouvées chez les vivants
Les macromolécules; glucides, protéines, acide nucléiques ainsi que les lipides
Monomère
Chacune des petites unités structurales formant un polymère
Polymère
Molécule constituée d’un grand nombre de monomères identiques ou semblables attachées par des liaisons covalentes
Synthèse des polymères
Réaction qui consomme de l’énergie lorsque la molécule perd de l’eau
Dégradation des polymères
Réaction qui libère de l’énergie lorsque la molécule absorbe de l’eau
Composition et structure des protéines
Une protéine est un polymère d’une unité structurale appelée acide aminé qui peut être organisé de quatre niveaux différents; primaire, secondaire, tertiaire et quaternaire. L’ordre des acides aminés détermine la nature de la protéine
Composition des acides nucléiques
Polymères composés de sous-unités appelés nucléotides. Ils sont composés de Cytosine (C), Thymine (T dans ADN), Uracile (U dans ARN), Adénine (A) et de Guanine (G). Les nucléotides s’assemblent par des liaisons phosphodiester.
ADN
Composé de deux longues chaînes de nucléotides positionnés face à face et maintenue par des liaisons hydrogène. Les bases azotées s’assemblent toujours de la même façon entre elles; Adénine - Thymine, Cytosine - Guanine. Ces paires s’arrangent en spirale afin de former une double hélice.
ARN
Composé d’une seule chaîne de nucléotides, qui peut se replier grâce à des liaisons hydrogène, ou non. Les bases azotées s’assemblent toujours avec le même partenaire; Adénine - Uracile (pas de thymine), Cytosine - Guanine.
Rôle ADN
Matériel génétique des cellules. Tous les gènes sont formés d’ADN, notre bagage héréditaire est donc composé d’acides nucléiques.
ARN messager
“travail” des gènes; l’ADN est la copie maîtresse, l’ARN est une photocopie de cette version originale
ARN de transfert
Permet la conversion de l’information génétique en protéine
Composition et fonction des glucides
Constitués de carbone, d’hydrogène et d’oxygène dans un rapport précis. La fonction primaire est la source d’énergie à court terme rapidement disponible.
Types de glucides
Sucres dits simples; monosaccharides (1 seule molécule de sucre) et disaccharides (2 molécules de sucres unies par une liaison glycosidique).
Sucre dits complexes; polysaccharides (plusieurs molécules de sucres reliées par des liaisons glycosidiques)
Disaccharide
Union de deux monosaccharides par déshydratation ou condensation
Polysaccharides
Union d’un grand nombre de monosaccharides (spécifiquement le glucose) par réaction de déshydratation. Les polysaccharide de réserve sont amidon chez les végétaux et glycogène chez les animaux. Les polysaccharides structural végétaux sont la cellulose (paroi cellulaire) et animal sont chitine (exosquelette des arthropodes)
Lipides
Ils ne sont techniquement pas des polymères et ne sont pas assez gros pour être des macromolécules.
Triglycérides (graisse)
Ont comme rôle d’être une réserve d’énergie, protection, isolation thermique. Ils procurent plus d’énergie par gramme que toute autre molécule biologique. Formés de glycérol (alcool à trois atomes de carbone) et d’acides gras (longue chaîne carbonée). C’est une molécule hydrophobe.
Les phospholipides
Constituant des membranes cellulaires. Ils sont composés d’un glycérol, de deux acides gras et d’un groupement phosphate. Peut être hydrophobe ou hydrophile et pour cette raison, ils sont les constituant majeur de la membrane des cellules
Les stéroïdes
Précurseur des hormones. Cholestérol, œstrogène, progestérone et testostérone.
Écologie
Étude scientifique des interactions entre les organismes et entre les organismes et leur milieu
Facteurs abiotiques
Facteurs non vivant qui influent sur la répartition et l’abondance locales des organismes. Ex: Température, Lumière, Eau, Nutriments…
Facteurs biotiques
Facteurs vivants qui influent sur la répartition et l’abondance locales des organisme. Ex: Compétiteurs pour les ressources, prédateurs ou proies, Parasites…
La distribution des espèces
Plusieurs facteurs l’influence: facteurs biotiques, abiotiques, l’expansion et la répartition
Le climat
Température, précipitations, lumière, vent, apport d’énergie solaire, rotation de la terre autour du soleil, les étendues d’eau, les montagnes, le cycle saisonnier
Biome
Ensemble d’écosystèmes variés qui occupe une vaste étendue géographique et qui se caractérise par des conditions climatiques uniformes déterminant un type dominant de végétation (terrestre) ou par le milieu physique (aquatique)
Écosystème
La somme des organismes vivant dans un milieu donné et les facteurs abiotiques avec lesquels ils interagissent
Flux d’énergie
L’énergie pénètre dans les écosystèmes sous forme de lumière solaire. Elle est convertit en énergie chimique par les autotrophes qui emmagasinent dans les composés organiques. Les hétérotrophes utilisent l’énergie des autotrophes pour se nourrir. Perte de chaleur. L’énergie n’est pas recyclée.
Les cycles biogéochimiques
Les éléments chimiques peuvent être recyclés. Les autotrophes puisent ces éléments de l’eau, de l’air et du sol sous forme inorganique et les incorporent dans des molécules organiques
Communauté
Ensemble de populations d’espèces différentes occupant un territoire donné et interagissant entre elles
Compétition
(-,-) Deux espèces ou plus se disputent une ressources en quantité limitée
Exploitation
(+,-) Une espèce est avantagée par le fait qu’elle se nourrit d’autres espèces, qui s’en trouvent désavantagées
Prédation
(+,-) Une espèce (le prédateur) en tue une autre (la proie) pour la manger
Herbivorisme
(+,-) Un herbivore mange une partie d’une plante ou d’une algue
Parasitisme
(+,-) Le parasitisme obtient sa nourriture au détriment d’un autre organisme, appelé hôte.
Interactions positives
(+,+) ou (+,0) Ces interactions procurent un avantage aux deux espèces, ou alors à une seule des espèces, mais sans nuire à l’autre.
Mutualisme
(+,+) L’interaction bénéficie aux deux espèces
Commensalisme
(+,0) L’interaction bénéficie à l’une des deux espèces, mais n’influe pas sur l’autre.
Espèces dominantes
Espèces les plus nombreuses d’une communauté. Elles influent sur la présence et la distribution d’autres espèces ainsi que les facteurs abiotiques du milieu
Espèces clés de voûte
Pas particulièrement nombreuses mais elles conditionnent la structure d’une communauté par leur rôle écologique
Écologie des populations
Discipline qui étudie les populations sous l’angle de l’environnement en explorant l’influence des facteurs biotiques et abiotiques sur l’abondance, la dispersion et la pyramide des âges des populations
Population
Groupe d’individus de la même espèce vivant dans une aire géographique donnée, à une moment précis. Ces individus utilisent les mêmes ressources, sont influencés par les mêmes facteurs écologiques et leur probabilité d’interaction et de reproduction entre eux est très élevée. Définie par sa densité et sa dispersion
Dispersion en agrégats
Les étoiles de mer se regroupent près des sources de nourriture ( le plus courant)
Dispersion uniforme
L’agressivité des manchots royaux envers leurs voisins les maintient à distance
Dispersion aléatoire
Les graines de pissenlit, du genre taraxacum, sont transportées par le vent
Microévolution
Tout changement de la composition génétique d’une génération à l’autre
Les sources de diversité génétique
La mutation produit dans les gamètes peuvent se transmettent aux descendants. Elle est ponctuelle ou chromosomiques. La reproduction sexuée par enjambement, assortiment indépendant des chromosomes et fécondation aléatoire. Ceux-ci brassent des allèles déjà existants pour former de nouvelles combinaisons et est la première source de variation au sein d’une population
Patrimoine génétique
Ensemble des gènes qu’une population possède à un moment donné. Si un seul allèle existe pour un locus donné dans une population, tous les individus sont homozygotes pour cette allèle. S’il existe deux ou plus allèles pour un locus donné dans une population, les individus peuvent être soit homozygotes, soit hétérozygote
Fréquences alléliques
La fréquence a une allèle dans une population est p + q = 1, p étant la fréquence de l’allèle dominant et q la fréquence de l’allèle récessif
Loi de Hardy-Weinberg
Permet d’illustrer comment l’hérédité mendélienne préserve la variation génétique d’une génération à l’autre et de comprendre les changements évolutifs à long terme. p^2 + 2pq + q^2 = 1. Les populations naturelles s’approchent rarement sinon jamais de cette loi, cependant, le taux de changement évolutif de nombreuses populations est tellement lent que ces populations semblent constantes et ceci nous permet d’obtenir une approximation des fréquence alléliques et génotypiques. Elle permet aussi de calculer le pourcentage approximatif de la population humaine qui porte l’allèle d’une maladie héréditaire.
Condition de l’équilibre de Hardy-Weinberg
Il n’y a pas de mutations, l’accouplement se fait de manière aléatoire, il n’y a pas de sélection naturelle, la taille de la population est extrêmement grande et il n’y a pas de flux génétique
Facteurs qui peuvent altérer la composition génétique d’une population
La sélection naturelle, dérive génétique et flux génétique
La sélection naturelle
Les individus d’une population présentent des variations dans leurs caractères héréditaires; ceux qui sont dotés des variations les mieux adaptées à se reproduire que ceux qui affichent des variations moins adaptées. Certains allèles se transmettent à la génération filiale d’une façon disproportionnée par rapport à leur fréquence relative dans la génération parentale
La dérive génétique
Plus un échantillon est petit, plus il y a de chances de déviation par rapport à un résultat idéal. Un écart important avec le résultat idéal explique la fluctuation imprévisible des fréquences alléliques d’une génération à la suivante. Avec le temps, la perte d’allèles qui se produit dans celle-ci tend à réduire la variation génétique. Les deux facteurs sont l’effet de goulot d’étranglement et l’effet fondateur.
Effet de goulot d’étranglement
Un désastre causé par un changement soudain dans l’environnement peut réduire radicalement la taille d’une population. La population est celle qui a évité le désastre par hasard. Sa compositions génétique n’est peut-être plus représentative de la population initial et certains gènes seront peut-être surreprésentés, d’autre sous-représentés, d’autres disparaîtrons, etc. Elle influera sur la population jusqu’à ce que celle-ci redevienne suffisamment grande.
Effet fondateur
Lorsqu’il sont isolé de leur population, des individus peuvent s’implanter et former une nouvelle population dont le patrimoine génétique ne sera pas représentatif de la population d’origine. Ex: colonisation d’un nouvel habitat
Flux génétique
Une population peut gagner ou perdre des allèles par suite de la migration d’individus féconds ou d’échanges de gamètes avec une population. Il tend à atténuer les différences génétiques entre les populations en contact. S’il est suffisamment intense, il peut amalgamer des populations voisines, qui partageront alors le même patrimoine génétique (réduire les différences entre les populations)
Évolution suite à la sélection naturelle
Parmi tous les facteurs qui peuvent modifier le patrimoine génétique, seulement elle débouche sur une adaptation à l’environnement. Accumulation et perpétuation des génotypes favorables dans une population et dépend de la présence da variations géniques.
Raisons pourquoi la sélection naturelle ne produit pas d’organismes parfaits
La sélection ne peut que modifier des variations existantes; les nouveaux allèles n’apparaissent pas sur demande. L’évolution est limitée par des contraintes historiques car l’évolution ne se débarrasse pas de l’anatomie ancestrale pour construire une structure complexe à partir de rien. De nombreuses adaptations sont compromis et le hasard entre celle-ci et l’environnement qui entre en interaction; Les allèles du patrimoine génétique de la population fondatrice ne sont pas tous bien adaptés au nouvel environnement.
Concept biologique de l’espèce
Population ou groupe de populations dont les individus sont en mesure de se reproduire les uns avec les autres dans la nature et d’engendrer un descendance viable et féconde. Ils sont dans l’impossibilité d’avoir une descendance avec les individus d’autres espèces
Barrières à l’interfécondité
Prézygotiques; la copulation est impossible à cause de l’isolement écologique (restrictions géographique), l’isolement temporel (périodes de rut décalées) et l’isolement éthologique (parade nuptiale n’attire que les individus appropriés). Fécondation de l’ovule impossible à cause de l’isolement mécanique (différences morphologiques) et l’isolement gamétique (spermatozoïdes incapables de féconder un ovules d’une autre espèce). Postzygotiques; Viabilité réduite des hybrides, fécondité réduite des hybrides et déchéance des hybrides.
Spéciation allopatrique
Une population forme une nouvelle espèce à la suite d’un isolement géographique qui l’a séparée de la population mère (terrestre ou aquatique)
Spéciation sympatrique
Une petite population forme une nouvelle espèce, bien qu’elle ne soit pas isolée géographiquement de la population mère (terrestre ou aquatique)
La cellule
L’unité de base des vivants. L’activité cellulaire est responsable de toutes les réalisations de l’organisme.
Organisme
Désigne un être vivant entier et indépendant. Cet être vivant peut être constitué d’une seule cellule (unicellulaire) ou de plusieurs cellules (pluricellulaire)
Théorie cellulaire
La cellule est l’unité fondamentale de la vie car elle est le premier ensemble de matière qu’il est possible de considérer comme entité vivante. Tous les constituants d’une cellule sont inertes et les activités biochimiques d’une cellule sont déterminées par les structures qu’elles contiennent. Tous les vivants sont formés de cellules; unicellulaire (cellule autonome) ou pluricellulaire (cellules spécialisées). De nouvelles cellules ne peuvent provenir que de cellules préexistantes, pas de génération spontanée
Le métabolisme
Est l’ensemble de toutes les réactions biochimiques se produisant dans une cellule. Dans une cellule, il y a : construction de nouveaux éléments (anabolisme) et destruction d’anciens matériaux (catabolisme). Toutes les cellules ont besoin de matière avec lesquels elles fabrique de nouveaux qui sont utiles à sa survie et ses fonctions et elle a aussi besoin d’énergie nécessaire à l’accomplissement de tout travail cellulaire pour sa survie. La molécule énergique universelle des cellules est l’ATP
La taille des cellules
Celle-ci est limitée par les échanges qu’elle doit faire avec son environnement. Lorsqu’un objet grossit, son volume augmente plus que sa surface. Plus la surface est grande par rapport au volume, plus les échanges satisfont les besoins cellulaires
Cellule procaryote
Cellule simple qui n’a pas d’organites et de noyau. Ex: Archées, bactéries. Elles ont des fimbriae, un nucléoïde, une capsule et une paroi cellulaire
Cellule eucaryote
Cellule compartimentée (organites, noyau) avec un matériel génétique protégé dans un noyau. Ex: cellules animales, végétales, mycètes.
Composition des cellules
Elles possèdent toutes, peut importe leur type (eucaryote ou procaryote), une membrane plasmique, du matériel génétique, des ribosomes et du cytosol.
La cellule animale
Composée de trois grandes structures: La membrane plasmique (limite externe), le noyau (organite le plus volumineux qui contient le matériel génétique) et le cytoplasme (composé d’eau, d’électrolytes et de grosse molécules comme des protéines qui contient les organites membraneux et non membraneux)
La membrane plasmique
Elle constitue la frontière entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule. Elle est constituée de phospholipides positionnés en double couche (externe=hydrophile, interne=hydrophobe), de protéines enchâssées dans la membrane ou accolées, de cholestérol et de glucides (sucres) comme les glycolipides et glycoprotéines. Elle maintient l’homéostasie d’une cellule. Elle fait aussi de la perméabilité sélective.
Homéostasie
Équilibre du milieu interne d’un cellule
Perméabilité sélective
Seulement certaines substances peuvent traverser la membrane plasmique (entrée ou sortie)
Le noyau
Centre de contrôle de la cellule. Il renferme l’information génétique (ADN), un ou plusieurs nucléoles, une enveloppe nucléaire et des pores nucléaires. Toutes les cellules de l’organisme contiennent les mêmes gènes. Les gènes déterminent la séquence des acides aminés des protéines cellulaires et selon le type de cellule, certains gènes sont actifs alors que d’autre sont inactifs. L’ADN, à l’aide de l’ARN, détermine les protéines présentes dans une cellule, qui contribuent à définir la spécificité d’une cellule. La plupart en possède seulement un mais certaines sont multinucléées comme les cellules musculaires, hépatiques et ostéoclaste, alors que certaines sont anucléées comme les globules rouges.
Le cytoplasme
Matrice semi-liquide située entre le noyau et la membrane plasmique. Il est constitué de cytosol qui est la partie liquide (eau, ions, protéines…) et d’organites qui sont recouverts d’une membrane ou pas et qui ont des fonctions spécialisées au sein d’une cellule et sont inertes
Les organites membraneux
Le système endomembranaire (réseau de membranes internes) qui comprend le réticulum endoplasmique lisse et rugueux ainsi que le complexe golgien, les lysosomes et les vésicules
Le réticulum endoplasmique lisse
Ne contient pas de ribosomes. Fait la synthèse des lipides (graisse, stéroïdes phospholipides membranaires). Fait le métabolisme des glucides, la détoxication des médicaments et des drogues ainsi que le stockage des ions Ca2+
Le réticulum endoplasmique rugueux
Les ribosomes y sont temporairement liés. Fait la synthèse de membrane, la modification des protéines qui y prennent leur forme native (ou fonctionnelle); fabrication des protéines destinées à l’exportation (grâce aux ribosomes qui y sont attachés)
Complexe golgien
Saccules empilés, pas en réseau. Fait l’étiquetage, emballage, tri et transport des protéines
Lysosome
Organite sphérique contenant des enzymes digestives (virus, bactéries, toxines, vieux organites, tissus inutiles, …)
Vésicules
Sacs membranaires permettant le transport de substances (souvent de protéines) d’un endroit à l’autre de la cellule
Mitochondrie
Génère l’ATP, la source d’énergie universelle des cellules, par la respiration cellulaire. Transforme le glucose et le l’oxygène en oxyde de carbone, eau et ATP. Elle a une double membrane (origine: procaryote intégré)
Peroxysome
Sacs membraneux qui contiennent diverses enzymes de neutralisation des substances nocives (oxydases, catalases)
Ribosomes
Synthèse de toutes les protéines et sont liés au réticulum endoplasmique rugueux ou libres, même structure
Centrosome
Unique, constitué de 2 centrioles, fait l’organisation du cytosquelette (microtubules), fait la division cellulaire et est l’origine des prolongements cellulaires
Le cytosquelette
Réseau complexe de bâtonnets (protéines) qui traverse le cytosol. Il soutient les organites, produit des mouvements de la cellule et la forme cellulaire. Il est fait de microtubules, filaments intermédiaires et microfilaments
Flagelle
À comme rôle la locomotion de la cellule et est fait de microtubules
Microvillosités
Ils augmentes la surface de la membrane plasmique ce qui est utile pour l’absorption
Cils cellulaires
Prolongements mobiles courts ressemblant à des fouets qui se retrouvent en grand nombre sur les surfaces exposées de certaines cellules. Fait le déplacement de substances; trachée, voies nasales, trompes auditives = déplacement de mucus aussi les voies génitales = déplacement des cellules sexuelles. Fait 10-20 battements à la seconde avec une activité coordonnée
La cellule végétale
Composée de chloroplastes, vacuole centrale, paroi cellulaire et plasmodesmes. Elle ne contient pas de lysosomes, de centrioles ou de flagelle (généralement).
Vacuole centrale
Joue un rôle dans la croissance de la cellule végétale car elle grossit à mesure qu’elle absorbe de l’eau. Elle occupe la majeure partie de la cellule végétale et est le lieu de stockage des ions, glucides, protéines, eau
Le chloroplaste
Le lieu conversion de l’énergie lumineuse en énergie chimique (glucide) par photosynthèse. Il transforme le dioxyde de carbone, l’eau et la lumière en glucose, oxygène et eau
Paroi cellulaire
Prévient l’absorption excessive de l’eau, protège contre les agresseurs grâce à son épaisseur. Sa composition chimique varie selon l’espèce, mais la structure de base est toujours une matrice de polysaccharides (cellulose) et de protéines