Montrer que Joseph a grandi
‘Grandi, durci, changé’ ou ‘Il me semble que les billes ne m’intéresseraient plus à présent’
L’intention de Joffo
‘Ce livre n’est pas l’œuvre d’un historien’
La perte de l’enfance
‘Ils ont tué en moi l’enfant que je pouvais être’
L’imagination débordante de Joseph
‘Hitler lui-même devait nous entendre dans son appartement berlinois’
La naïveté de Zérati
‘Bon Dieu […] t’as vachement du pot, ça fait chouette’
La capacité à mentir de Joseph
‘S’ils ne m’arrêtent pas tout de suite, je vais leur raconter que nous possédons tout Marseille’
Les moments d’accalmie
‘Nous étions au cœur du paradis’
La stupidité de la guerre
‘Ce que je comprends moins, c’est la violence de ce soldat […] Je suis donc son ennemi ?’
L’incompréhension de Joseph
‘C’est quoi un juif papa ?’
La possibilité que la guerre revienne
‘Les musettes sont au grenier, elles y resteront toujours. Peut-être…’
L’opiniâtreté du curé de la Buffe
‘Qu’il serait plus facile de changer le Mont Blanc de place’
La pénurie alimentaire
‘Le café c’est de l’orge, le sucre c’est de la saccharine, le lait il n’y en a pas’
La gentillesse de la marchande de Montluçon
‘Brave marchande de Montluçon! […] elle fit le meilleur gratin dauphinois’
L’ironie par rapport à la situation avec Mancelier
‘C’est un youpin qui va sauver ta peau’
Le conseil que leur père leur donne qui les fera survivre
‘Vous êtes juifs mais ne l’avouez jamais. Vous entendez: JAMAIS’
L’atmosphère de la libération
‘C’était l’heure des comptes qui s’était venue’
Une phrase qui célèbre la liberté
‘Je sais seulement que je vais vivre, je suis libre comme les mouettes’