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Pourquoi notre cerveau a-t-il créé des émotions?
Savoir nos besoins
Adapter nos comportements
Quesqu’un neurone?
Elles sont toujours interconnectées, servent à transmettre des messages
Va de transmission électrique à transmission chimique (neurotransmetteurs)
Il y a propagation de l’information de la dendrite (réception de l’information) vers le corps cellulaire (traitement de l’information) vers l’axone (transmission de l’information)
Quesqu’un neurotransmetteur?
Def : molécule chimique qui joue un rôle de médiateur intercellulaire, lorsqu’elle est libérée dans la fente synaptique et qu’elle se lie à un récepteur spécifique
Ex : dopamine
Neurone présynaptique VS postsynaptique :
Passage de l’information
Récepteur sur le neurone présynaptique permet de faire rétroaction (plasticité, adaptation de la réponse : je la garde ou je l’arrête?)
Quand c’est terminé : neurotransmetteurs ne sont plus dans la fente synaptique
Quesque la neurotransmission et comment se déroule-elle?
1) Transduction du signal :
Passage de l’information d’un neurone à un autre par des molécules chimiques (neurotransmetteurs)
2) Rétroaction et plasticité :
Le neurone qui envoie le signal reçoit une rétroaction pour pouvoir modifier son action (plasticité)
3) Recapture :
Le neurone recapture les molécules pour arrêter son action où elles sont recyclées ou dégradées
Synapse type (suite neurotransmission) :
Élément postsynaptique (généralement dendritique)
Renflement axonal : accumulation de vésicules près de la jonction, mitochondrie
Complexe jonction synaptique
Élargissement de la dendrite (forme + arrondie)
Élargissement des membranes et rectitude (semble + droite et rigide)
Élargissement de l’espace synaptique (fente)
Quels sont les types d’action des NT (neurotransmetteurs)?
Excitateurs : Augmente activité du neurone postsynaptque
Inhibiteurs : Diminue l’activité du neurone postsynaptique
Modulateurs : Augmente ou diminue l’activité du neurone postsynaptique selon les synapses (selon l’endroit où il se trouve dans le cerveau)
Quels sont les NT impliqués dans les émotions?
Glutamate : plus grand excitateur dans NT
Gaba : plus grand inhibiteur dans NT
Servirait entre autres à contrôler la peur ou l’anxiété qui se manifeste par une surexcitation neuronale
Depuis que l’on a découvert le mode d’action des benzodiazépines, ces médicaments axiolytiques, tout porte à croire que le neurotransmetteur GABA ainsi que son récepteur joue un rôle fondamental dans le contrôle de l’anxiété
En effet, quand les benzodiazépines sont ingérées, elles vont se fixer sur un site spécifique du récepteur GABA. La présence de benzodiazépine sur ce site va potentialiser l’effet du GABA et diminuer d’autant plus l’hyperactivité cérébrale associée à l’anxiété.
Ces substances, ex : les benzodiazépines, les barbituriques, la picrotoxine, certains stéroïdes ou même l’alcool vont se fixer sur le récepteur à des endroits différents du GABA.
Noradrénaline : dérivé de l’adrénaline, lié aux situations d’urgence, quand on est vigilent à une certaine situation, etc.
Par ailleurs, on sait que le souvenir d’un événement chargé d’émotion s’imprègne plus durablement dans notre mémoire grâce à l’action de la noradrénaline sur les récepteurs bêta-adrénergique de l’amygdale
Sérotonine : bien-être, besoins de base (faim, comment le corps fonctionne bien, façon de contrôler nos impulsions)
Plusieurs laboratoires s’intéressent en particulier au rôle de la sérotonine. Cette molécule, dont la source principale se situe dans les noyaux du raphé du tronc cérébral, est connue pour son rôle modulateur de l’appétit, le sommeil, l’humeur, la libido et les fonctions cognitives. Or ces fonctions sont toutes perturbées par l’anxiété.
L’hypothèse d’un rôle de la sérotonine dans l’anxiété est aussi supportée par les liens étroits que ce neurotransmetteur entretient avec le locus coeruleus, noyau producteur de noradrénaline avec de très denses projections à l’amygdale. En fait, les systèmes de sérotonine et de noradrénaline sont si intimement liés par de nombreuses connections réciproques qu’une modification dans l’une affecte inévitablement l’autre.
La sérotonine contribue à diverses fonctions comme la régulation de la température, le sommeil, l’humeur, l’appétit et la douleur
La dépression, le suicide, les comportements impulsifs et l’agressivité impliqueraient tous certains déséquilibres de la sérotonine
Dopamine : neurotransmetteu du plaisir (impliqué dans le circuit des récompenses)
Ex : joie = haut taux sérotonine et dopamine, bas taux noradrénaline (voir image slide suivant)
Image des différentes combinaisons des NT :
Comment booster les hormones du bonheur (de quelles façons)?
Endorphine : sensation de bien-être (surtout déclenché par les sports). Héroine = stimule bcp endorphine
Pour contrer le stress, l’hypophyse et l’hypothalamus, 2 glandes situées dans le cerveau, sécrètent une hormone que l’on appelle ENDORPHINE. Il s’agit d’un neurotransmetteur ayant des propriétés analgésiques équivalentes à celles que procure la morphine. Ainsi, une sensation de bien-être se fait ressentir dans tout le corps lorsque cette hormone est sécrétée
Voir image ci-dessous
STRUCTURES SOUS-CORTICALES ET CORTICALES DU CERVEAU : Quels sont les différents lobes du cerveau?
**à retenir les structures de façon globale et leurs rôles
Les différents lobes
Quesque le cerveau triunique?
Voir image
Cerveau est divisé en 3 cerveaux :
1) Cerveau reptilien : Les instincts
2) Le cervau émotionnel limbique : Le coeur
Ce cerveau influence les 2 autre cerveaux (reptilien et néocortex)
3) Néocortex : la tête
Quesque le cerveau reptilien et les structures sous-corticales?
« Sensation physique »
Cerveau le plus primitif
Ses fonctions :
Contrôler les fonctions organiques (ex : pupilles de l’oeil)
Réponse émotionnellle « réflexe » :
Avoir des sensations physiques
Préparer rapidement l’individu à faire une action
Avoir des comportements instinctifs nécessaires à la survie
Fonctions organiques (respirer, digérer, etc.) - SNA
Comportements nécessaires à la survie (manger, boire, sexualité), aux réflexes de survie
Structures sous corticales
STRUCTURES SOUS-CORTICALES CERVEAU REPTILIEN : Quesque l’amygdale?
Gestion des émotions : Pont entre la sensation physique et notre conscience +++ peur et anxiété (structure la + responsable de la peur)
Mémoire « implicite » et renforcement émotionnel :
Apprentissage émotionnel
Indexation affective (à quel point c’est important que j’aie peur de ça)
Reconnaissance des émotions
Mémoire de la peur
Rôle de survie (fuite ou lutte)
Particularité : Aug connections avec d’autres régions (pont entre la sensation physique et celle cognitive = lien hypothalamus et structures corticales)
Réaction de peur et d’anxiété +++ : SI vous êtes suivi dans la nuit par un individu à l’allure louche et que vous sentez votre coeur palpiter, il est fort probable que votre amygdale soit très active!
Renforcement des stimuli émotionnels :
Apprentissage émotionnel : Elle répond d’une part à certains stimuli totalement nouveau, si ces stimuli acquièrent un « intérêt» particulier en justifiant une réponse comportementale (ex : en fonction de la « signification affective du stimulus ») = elle colore affectivement les perceptions de façon agréable ou désagréable + l’amygdale est ainsi impliquée dans les processus d’apprentissage des menaces et des dangers liés à l’environnement. Elle est responsable de la création d’associations entre les stimuli et la notion de danger.
Indexation affective : Associations entre stimulus et renforcement positif de l’émotion = encodage de la valeur de la récompense prédit par les stimulis conditionnés et « ceci signifie que l’amygdale possède la capacité d’associer à un stimulus sensoriel une signification émotionnelle et de pondérer cette association. « donne une couleur émotive aux émotions »
Reconnaissance et médiation des émotions : L’amygdale est une structure cérébrale essentielle au décodage des émotions et en particulier des situmulus menaçants pour l’organisme ; elle est capable de répondre aux stimuli sensoriels ayant précédemment fait l’objet d’un renforcement. Elle est donc impliquée dans la médiation des réponses émotionnelles à la fois innées et apprises. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir
Rôle de survie : C’est elle qui détecte les stimuli potentiellement dangereux et qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant en alertant d’autres structures
Considérant tout cela, comment alors attribuer une fonction particulière à l’amygdale? On peut tout simplement pas, répond Pessoa.
Dysfonctionnement? Agressivité, irritabilité, perte du contrôle des émotions, déficits dans la reconnaissance des émotions
Troubles associés : Autisme, trouble bipolaire, dépression et PTSD
Par exemple : amygdale et peur :
Stimuli menaçants aug l’activité dans l’amygdale
Noyau central dans l’amygdale coordonne les différentes composantes de la réaction de peur :
Activation du syst nerveux autonome : coeur, respiration, …
Activation des hormones du stress
Activation du cortex : hypervigilance, récupération plus rapide des connaissances, …)
STRUCTURES SOUS-CORTICALES CERVEAU REPTILIEN : Quesque l’hippocampe?
Mémoire « explicite » : Rappel du contexte d’une situation (ex : se rappeler où se trouve le local du cours)
Régulation de l’anxiété :
« Compensation » entre les infos sensorielles et les événements attendus par l’entremise du circuit septo-hippocampique. Comparaison entre nos attentes et ce qui arrive réellement. Quand il y a un certain écart, peut générer stress, anxiété.
Circuit septo-hippocampique :
Lorsque les attentes sont confirmées, le septo-hippocampe n’envoie pas un état motivationnel anxieux
Lorsque les attentes ne sont pas confirmées, l’hippocampe fonctionne en mode « inacceptable » et active le circuit septo-hippocampique, ce qui génère un état motivationnel d’angoisse
Adaptations aux facteurs de stress environnementaux réussies génèrent une libération d’endorphine qui arrête le circuit sept-hippocampique, alors soulagement de l’anxiété et donne lieu à des contre-sentiments positifs
Anti-anxiété : effets tranquilisants, calme le mode « inacceptable du circuit septo-hippocampique
TRÈS relié à la mémoire
Pilier de la mémoire, qui s’occupe de conserver les souvenirs agréables liés à la prise de drogue et, par association, tous les détails de l’environnement qui leurs sont attachés. Des détails qui dans l’avenir pourront réveiller l’envie et peut contribuer à faire rechuter le patient.
STRUCTURES SOUS-CORTICALES CERVEAU REPTILIEN : Quesque l’hypothalamus?
Ajuste et coordonne les réponses psychosomatiques qui accompagnent les émotions réactives
Ex : pression sanguine, fréquence cardiaque, respiration, grosseur de notre pupille
Contrôle l’hypophyse, qui régule le système endocrinien
Système responsable de la libération des hormones du syst endocrinien
Ex : réponse au stress
Contrôle l’hypophyse qui régule le syst endocrinien (libération d’hormones)
Le syst endocrinien a dans l’organisme une fonction de régulation du métabolisme, de la croissance et de la fonction sexuelle (appareil génital). Il a cela de particulier qu’il est autorégulateur : le taux de sécrétion de chaque hormone est régulé, d’une part, par celui de la substance dont elle règle la concentration sanguine (concentration de glucose pour l’insuline, par ex) d’autre part grâce à un rétrocontrôle de la sécrétion des hormones hypothalamohypophysaires correspondantes (ainsi, l’excès d’hormones thyroidiennes dans le sang freine la sécrétion de thyréostimuline hypophysaire qui, à son tour, freine celle de la thyréolibérine hypothalamique). (Cerveau à tous les niveaux)
Dysfonctionnement? Agressivité, stress chronique, hypersomnie
STRUCTURES SOUS-CORTICALES CERVEAU REPTILIEN : Quesque les noyaux du tronc cérébral?
**Régions clés du circuit des récompenses
1) Aire tegmentale ventrale (ATV) :
Lieu de synthèse de la dopamine
Projections axonales au noyau acumbens, au cortex frontal, à l’amygdale et aux tubercules olfactifs
2) Locus coeruleus :
« Centre d’alarme du cerveau » (ex : on a faim, on est en manque d’une substance dont on est dépendant)
Stimulé par une situation de manque
Donne une motivation d’aller chercher ce dont on a besoin
STRUCTURES SOUS-CORTICALES CERVEAU REPTILIEN : Quesque les ganglions de base?
Striatum
Noyau accumbens :
Permet, avec d’autres régions, de donner une valeur gratifiante ou aversive d’un stimulus (ex : je suis dégouté, ecq j’aime ça, je veux aller vers?) **RÉPONSE RAPIDE (ex : dans inside out, Riley qui a une aversion pour le broccoli)
Impliqué dans le contrôle de nos motivations
Quesque le néocortex/cortex cérébral?
« Sensation que l’on ressent consciemment »
Ses fonctions :
Il devient le centre de contrôle en régulant nos pensées et nos comportements
Il peut supprismer la réponse émotionnelle « réflexe » si nécessaire (si la réponse réflexe est véridique, on va la poursuivre)
Il est associé à la pensée, la logique, au raisonnement, à la résolution de problèmes, à la rationalisation et à l’empathie
NÉOCORTEX/CORTEX CÉRÉBRAL : Quesque la structure globale?
STRUCTURE NÉOCORTEX/CORTEX CÉRÉBRAL : Quesque le cortex préfrontal (CPF)?
Prise de décision : attention, motivation et planification de nos actions, *évaluation des différentes alternatives (va nous aider à prendre le meilleur chemin pour l’objectif qu’on s’est fixé) (fonctions exécutives. Prend bcp de temps pour se dev, donc prend parfois du temps pour utiliser son cortex peéfrontal en plein potentiel : felles = environ 20 ans, hommes = jusqu’à 25 ans)
Ajuster nos comportements pour qu’ils soient socialement acceptables
Ex : inhibition (ex : se retenir de dire qqch de méchat), jugement moral et de valeur
**Une des premières structures affectées quand on consomme l’alcool
A une fonction plus spécialisée : côté gauche = sentiments positifs, droite = négaitfs. Selon certaines théories, pourrait expliquer pk certaines personnes auraient tendance à être plus négatives ou positives.
Partie gauche = plus sensible à la motivation
Partie droite = plus sensible aux menaces
Rôle dans l’attention et inhibition +++
Soutient notre capacité à former des jugements et ajuste le comp pour qu’il soit socialement acceptable
Plus spécifiquement, le CFP nous aide à choisir un comp en nous permettant d’évaluer mentalement différentes alternatives ; que le cortex orbitofrontal impliqué dans interaction sociale + nous permet de réprimer certaines émotions ou gratifications immédiates en vue d’obtenir un avantage encore plus grand à long terme + comportement d’appétence (comportement d’exploration ou de recherche de l’objet capable de satisfaire la tendance) et prise de décision concernant les attentes d’une récompense prédite par un stimulus conditionné et que le cortex ventromédian est un des lieux où les émotions et le sens des choses seraient expérimenté.
Prise de décision : attention, planification, motivation, jugement moral et de valeur, replace les événements dans leur contexte
Permet d’ajuster le comp pour qu’il soit acceptable : jugement moral et de valeur : il permettrait l’ajustement du comp dans un contexte social donné. Impliqué dans l’inhibition et la régulation des émotions négatives liées à l’exclusion. Inhibe les comp de consommation et les émotions négatives liées à l’exclusion
Prise de décision : (attention, planification, motivation) : Capacité à former des jugements et replacer les événements dans leur contexte
Fonctions spécialisées :
Activation gauche-droite est importante pcq leur activation génère qualitativement des tons émotionnels différents
Positive = extraversion (semblable aux incitations et expérience émotion positive)
Négative = névrotisme (sensible aux menaces, punitions et expérience émotion négative)
Chez les pt en dépression, c’est justement le cortex préfrontal gauche qui montre le plus de signes de faiblesse. En d’autres termes, il devient très difficile pour une personne en dépression de se donner des objectifs en vue d’atteindre une récompense et de croire qu’on peut y parvenir
Des lésions de ces régions sont suscptibles s’induire des symptômes ressemblant à la déprression, comme la perte de flexibilité cognitive, le ralentissement psychomoteur et le manque de spontanéité, ladysphorie (inquiétude avec agitation maladive) ou l’anhédonie
Emotion and affective style : hemispheric substrates
Troubles associés : autisme, trouble bipolaire, dépression et schizophrénie
Autres fonctions : Quels objectifs qu’une personne poursuit ou non?
STRUCTURE NÉOCORTEX/CORTEX CÉRÉBRAL : Quesque le gyrus cingulaire?
Régulation et décodage émotionnel :
Évaluation cognitive :
Indexation : c’est vrai, c’est important?
Anticipation : facilite l’intégration des expériences passées et des attentes
Régulation des émotions :
Intensité
Émotion appropriée (ex : contrôle de soi)
Anticipation (intégration des expériences passées et des attentes)
Ex : pour obtenir une récompense (activité quand attente ou intention de prendre une drogue)
Contrôle de soi, perception du rejet et le sentiment de frustration associé
STRUCTURE NÉOCORTEX/CORTEX CÉRÉBRAL : Quesque le cortex insulaire?
Rôle dans la recherche active du plaisir (plaisir naturel et artificiel)
Rôle dans la recherche active du plaisir lié à la nourriture ou aux substances psychoactives. Damasio a en effet proposé que cette région du cortex nous renseigne sur nos états viscéraux associés à des expériences émotionnelles. Ce faisant, l’insula contribuerait à l’aspect conscient de nos désirs et de nos besoins. Rôle dans le craving (cerveau à tous les niveaux)
Procesus attentionnels et émotionnels de communication verbale dans :
Les interactions sociales
La communication verbale avec autrui
Perception du rejet
Tout comme le cingulaire, impliqué dans la perception du rejet et du sentiment de frustration associé
Sur le plan comportemental, son rôle reste mal connu : l’insula serait impliquée dans certains processus attentionnels et émotionnels de communication verbale concernant spécifiquement l’interaction sociale et la communication avec autrui. L’insula occuperait une position charnière entre les structures contrôlant la communication verbale (aires auditives du cortex temporal et zone sensorimotrice des organes buccophonatoires) et celles en charge des comportements émotionnels (amygdale) et de l’interaction sociale (cortex orbitofrontal)
CERVEAU ÉMOTIONNEL : Quelles sont les fonctions et composantes possibles du cerveau émotionnel?
Ses fonctions :
Régulation des émotions et de la motivation en mettant en jeu :
Les différentes expériences passées et présentes
Des réflexions internes
Différents modes d’expression
Ses composantes/structures possibles : **possible, car façon de faire du sens avec ce qu’on voit, etc.
1) Système limbique
Sa découverte :
Broca (XIXe siècle) : Découverte du « grand lobe limbique » : associé au comportement bestial par opposition à l’intellect
Papez (1973) : Découverte du « circuit de Papez » : relie plusieurs structures du syst limbique. Ajd = plus associé à un circuit de la mémoire
Maclean (1952) : Modèle du « cerveau triunique » : 3 cerveaux emboîtés en 1 : reptilien, limbique et néocortex
2) Circuit des récompenses
CERVEAU ÉMOTIONNEL : Quesque le système limbique?
Le système limbique, le siège des émotions? Oui et non. Façon de regrouper les structures. Pour le considérer comme siège des émotons, il faut le mettre à jour
Si le concept de système limbique a survécu jusqu’à nous et est encore décrit dans bien des manuels scolaires comme le « cerveau des émotions », c’est pt pcq c’est une moyen pratique de décrire un ensemble de structures cérébrales situées dans un espèce de « no mans field » entre l’hypothalamus et le néocortex. Mais c’est pt aussi pcq certaines structures limbiques sont effectivement impliquées dans des fonctions émotionnelles. L’erreur principale de MacLean fut simplement d’avoir voulu inclure le « cerveau émotionnel » dans un seul et unique système. Il pourrait y avoir non pas 1 seul « cerveau émotionnel », mais plusieurs.
CERVEAU ÉMOTIONNEL : Quesque le système limbique? (suite)
Une émotion = un travail d’équipe (voir image) : toutes les structures travaillent ensemble
Exemple de la réaction de la peur :
Amygdale (impliquée dans la peur) + hippocampe (contexte = avec qui, quesque je faisais?) + cortex préfrontal (planification volontaire d’une réponse émotionnellement adaptée = comment je dois agir?)
Les structures se communiquent entre elles, ont chacun leur bout du casse-tête
CERVEAU ÉMOTIONNEL : Quesque le système limbique? (suite)
Qu’arrive-t-il lorsque le système limbique est perturbé?
Anxiété
Impulsivité
Manque de motivation (symtpôme de dépression)
Exemple de l’anxiété :
Voir image
Exemple de la dépression :
Perturbation de plusieurs aires cérébrales en termes de métabolisme, de volume, d’épaisseur corticale et de connectivité, dont : cortex préfrontal, hippocampe, amygdale, gyrus cingulaire
Perturbation des NT dont : baisse/manque de sérotonine
Selon vidéo, point commun : antidépresseurs permettent d’augmenter sérotonine
Selon des études récentes, ce n’est pas la baisse de sérotonine qui amène la dépression. Quels sont les impacts sur le plan clinique, mais aussi sur les personnes aux prises avec une dépression? Effet = remise en question des antidépresseurs et de leur effet, pt pas les offrir en premier, pt plus offrir psychothérapies en premier
CERVEAU ÉMOTIONNEL : Quesque le circuit des récompenses?
Découverte : étude sur les rats : des rats étaient placés dans une « cage à conditionnement ». Des électrodes étaient implantées dans l’aire septaleé Lorsqu’ils appuyaient sur le levier, ils recevaient unestimulation électrique.
Les fonctions particulières de ce circuit (circuit des récompenses):
Plaisir et motivation!
Capter et retenir notre attention
Susciter le plaisir
Pousser la personne à agir pour obtenir la récompense
Comment? Voir image
Renforcement, apprestissage et anticipation des sitmuli plaisants
À force de répéter, on va dans le conditionnement (ex : fait de faire l’amour, substances)
Est-ce en lien avec l’évolution?
En lien avec l’évolution, car il fallait nourrire, se reproduire pour survivre
Depuis peu, nous savons que la dépression ne serait pas liée à une baisse de sérotonine dans le cerveau
NT clé de ce circuit = Dopamine
La dopamine (DA) = « Le neurotransmetteur du bonheur »
C’est à dire qu’il est impliqué dans :
Les sentiments positifs (plaisir)
Les comportements de recherche motivées
Structures-clé :
Quelques structures corticales et sous-corticales, dont:
Cortex préfrontal (comportement de recherche du plaisir)
Hippocampe (mémoire des souvenirs agréables et les détails de l’environnement associés) (ex : quand je faisais x comp et ça marchait, je vais le refaire)
Quesque les substances psychoactives?
Def : agents chimiques exercant un effet physiologique sur le système nerveux central (augmentation ou diminution de l’activité du neurone)
Particularité connue : augmentation de libération de dopamine (DA) dans les régions du circuit des récompenses
Des études d’imagerie cérébrale chez ‘homme ont établi que les effets plaisants des drogues étaient corrélés à la quantité de dopamine libérée. La DA libérée sous-tend non seulement les effets plaisants mais intervient aussi dans des phénomènes bcp plus complexes d’attribution de la plus-value associée à la drogue
Quelles sont les 3 classes de SPA (substaces psychoactives)?
Comment se comparent les SPA en comparaison au stimuli naturel?
Graphique montre que plaisir est plus grand comparé à d’autres comportements nécessaires (ex : manger)
Comment se dev la dépendance?
Différents mécanismes :
Initier les NT et se lier à leur récepteurs (ex : opioides, alcool, cannabis)
Augmenter la libération d’un NT pour aug directement ou indirectement le DA (ex : amphétamine, cocaine)
Augmenter la DA (dopamine) en diminuant sa dégradation
Quesque la loi de l’effet : E = S+I+C
Effet après consommation de substances = modulé par plusieurs facteurs (voir image)
Effet = Contexte + Individu + Substance
Contexte :
Lieu
Moment de la journée
Relations avec les autres
Contexte culturel
Individu :
Sexe
Âge
Taille/poids
État de santé/d’esprit
Substance :
Propriétés pharmacologiques
Quantité
Qualité
Voies d’administration
Durée et fréquence
Qu’arrive-t-il si le circuit des récompenses est sursollicité?
Crée la dépendance
Quesque la dépendance?
Besoin irrépressible de répéter en permanence le comportement de consommation (cerveau à tous les niveaux)
Ex : dépendance aux substances, masi aussi aux jeux vidéos, au sexe, etc.
Quesque le cycle de la dépendance?
0) Initiation : On fait le comportement (avant le cycle)
Sensibilisation : on associe l’association entre le plaisir et le comportement
1) Intoxication : On consomme les substances. Binge = quand on consomme une grande qt de substances en peu de temps. Quesqui est inclut dans le binge?
Ganglions de la base : on a envie de le faire, donc on le fait
2) Retrait : Amygdale va embarquer, va nous faire ressentir des sensations qu’on file pas bien (physiquement et psychologiquement)
Ex : symptômes d’aversion envers plusieurs choses
3) Anticipation :
Anticipation positive et négative, change à travers le cycle de dépendancee (au début = plus positif, à la fin = plus négatif)
Cortex préfrontal, gyrus cingulaire
Quel est le lien entre l’apprentissage et l’anticipation?
Voir image
Même à l’anticipation, il y a déjà un effet, prépare la personne à consommer
Anticipation de l’effet
Effet réel
**C’est dans un processus complexe et cognitif qui amène l’individu ;a la consommation et à l’effet réel de la substance
Quesqui s’ajoute au cycle de la dépendance?
Voir image
Tous ces éléments causent neuroplasticité et tolérance
Quand on introduit ou fait qqch de pas naturel, on adapte le cerveau pour retrouver l’équilibre, donc l’équilibre est changé
Quesque la neuroplasticité cellulaire?
Divers mécanismes pour réduire la réponse à la domapine (DA)
Élévation du seuil de tolérance : plus dificile d’obtenir le même effet
Baisse du plaisir ressenti, aug impulsivité et compulsion
diminution production
Régulation à la baisse du nombre de récepteurs fonctionnels dans plusieurs structures : baisse du renouvellement/internalisation des récepteurs DA
Tolérance: plaisir ressenti baisse (incite aug dose) et soulagement des affects négatifs (renforcement -)
L’usage répété de psychostimulants engendre progressivement des effets dysphoriques (besoin de drogue, anxiété, paranoia anhéfonie) qui pourrait êtres liés à l’aug graduelle des taux de dynorphine dans le noyau accumbens
C’est par différents mécanismes que les produits psychoactifs finissent par modifier l’équilibre des neurones sensibles à la dopamine
Neuroplasticité au sein des circuits GLU pour expliquer les comp de recherches de drogues qui persistent malgré une période soutenue d’abstinence = comportement de drogues malgré une abstinence
Comment peut-on montrer la neuroplasticité cellulaire à travers des images?
Baisse de dopamine dans le striatum
Quesqu’on peut ajouter au cycle de dépendance?
Retrait = on a retrouvé le nouvel équilibre, si on enlève ça = cause symptômes de sevrage (symptômes de dysphorie, anxiété, irritabilité, d’autres émotions négatives)
Anticipation : change comme étant une préoccupation, renforcement négatif : « si je ne consomme pas, je vais avoir les symptômes de sevrage »
Risque de rechute possible
Baisse plaisir ressenti, aug impulsivité et compulsion = désir de consommer ou rechute, risque de augmenter la dose ou de changer de substance
Quels sont les précipitants majeurs de la rechute?
Envies (cravings) associés aux stimuli associés aux drogues et à l’environnement (ex : routine de fumer à chaque matin)
Aug sensibilité au stresseurs
Aug impulsivité (plus difficile de contrôler, de ne pas aller vers la substance)
Activation des régions cérébrales (amygdale, cingulaire et hippocampe)
Réactivité assoxiée à : nb de stimuli, sévérité de l’addiction et traitements
Certains indices/stimuli peuvent procurer l’état émotionnel initial ; d’autres peuvent maintenir ce comp jusqu’à ce que le renforcement soit obtenu
La réactivité`à ces stimuli est associée avec le nb de stimuli, incluant la sévérité de l’addiction et les traitements
Facteurs de rechute :
Stress
Cues mnésique (notion de mémoire - idée de l’effet)
Activation de certaines régions du cerveau à l’idée de … (striatum ventral, COF, CAA)
Impulsivité (facteur prédit par la compulsion), variable selon les substances
RETOUR NORMAL??? Lorsque l’usager cesse de consommer la drogue, il ne peut donc plus retrouver un niveau normal de plaisir dans les activités ordinaires de la vie. La tentation de recommencer peut être très puissante.
Quels sont les effets a court terme et long terme possibles des substances?
Dépresseurs : effet CT = soulagement ; LT = dépression et anxiété
Stimulants : CT = euphorie et énergie (souvent utilisée pour la performance) ; LT = fatigue intense, paranoia, dépression, troubles de personnalité
Perturbateurs : Effet CT : altération des états de conscience ; LT possible : anxiété, dissociation et psychose
Voir image
Altérations mnésiques :
Lobes frontaux :
Baisse attention, mémoire et planification
Baisse inhibition (ex : comportement de consommation)
Altérations émotionnelles et interpersonnelles (dues ;a des difficultés sur le plan du décodage émotionnel) :
Aires sous-corticales (dont l’amygdale) :
Augmentation identifications erronées, surestimation des expressions faciales négatives (colère), alexithymie
Cortex cingulaire :
Augmentation de la perception du rejet social
Exemple : quels sont les effets d’une consommation d’alcool?
Quels sont les enjeux associés à la dépendance et la consommation?
Voir image
« plus la règle que l’exeption »
Mais derrière la neurobiologie?
Depuis peu, nous savons que la dépression ne serait pas liée à une baosse de sérotonine dans le cerveau
Quelles sont les différences neurobiologiques en lien avec la recherche d’aide (chez les utilisateurs de drogues)?
Voir image
Recherche d’aide (bleu) : amygdale et hippocampe
Réactivation après exposition, encore à risque d’une rechute
Rôle dans les cravings, hypothèse : un indice relié à une drogue réactive cette région, malgré une recherche d’aide
Encore à risque d’une rechute
Pas de recherche d’aide (rouge) : Cortex orbitofrontal (OFC)
Attente ou intention de prendre une drogue
Avec son rôle dans le comportement d’appétence et la prise de décision, son activation réflète une attente ou une intention de prendre une drogue
Quesque la thérapie psychédélique? :
Traoter le trouble de stress post-traumatique, la dépression et même ;a dépendance par des substances psychédliques!
ex : psilocybine, LSD, MDMA, kétamine