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DUPRÉ et les perversions instinctives
Trois instincts prédominent et guide activité humaine
conservation = besoins élémentaires
trouble de la ppt eg; cleptomanie ou passion du jeux
reproduction = sexuel, vie de l’espèce
trouble sexuel eg; viol, inceste…
association = relatif vie en sct
trouble de destruction eg; destruction bien d’autrui, harcèlement…
DUPRÉ et source des perversions instinctives
Inhérente à la constitution de chaque indiv.
Tt traitement thérapeutique/religion est vain.
Si bénine morale et éducation peut jouer un rôle.
Les criminels se trouvent parmi les pervertis, à défaut traitement il faut les éliminer.
DUPRÉ et mythomanie
invente cette notion.
Mythomanie vaniteuse : se vente exploit, notamment auteur/victime crime
Mythomanie errante: ne cesse de fuir
Mythomanie maligne: complexe d’infériorité qu’il compense par propos malicieux
Mythomanie perverse: affabule pour mieux escroquer
→ Image de l’enfant duprésien (cf affaire d’Outreau)= enfant dont adulte devrait tjrs se méfier bc capable de travestir la vérité
KINGBERG et la théorie de l’inadaptation biologique
Chacun réagirait au stimuli de son milieu selon sa constitution biologique
Noyeau constitutionnel: 4 facteurs fonda :
Capacité = maximum intelligence que peut atteindre individu
Validité = quantité d’énergie cérébrale
Stabilité = degré d’aisance avec lequel se rétablit équilibre émotionnel
Solidité= degré de fonctionnement de l’activité de chacun
Variantes pathologiques accidentelles eg; maladies mentales
Degré d’éveillibilité morale variable.
→ Acte criminel se commet lorsque les pulsions vont au-delà du degré de la résistance
BENIGNO DI TULLIO et la théorie de la constitution délinquante
crime est la manifestation d’une inadaptation sociale.
C° personnelle = é héréditaires + é acquis en f° du milieu
criminel d’occasion : cèdent à stimuli extérieurs
purs: que dans circonstances exceptionnelles
d’habitude ou de circ défavorable
de passion
criminels constitutionnels : structure biopsychique rend disposition au crime + grande
malades mentaux criminels :
fous criminels = aliénées deviennent délinquante sous coup patologie
criminels fous = gens ordinaires qui trouve dans folie occasion d’accomplir crimes
LABORITE et la théorie de l’agressivité
4 préoccupations :
Consommation (boire, manger, copuler)
Récompense
Punition
Inhibition de l’action
Agressivité = angoisse = données bio v. système socio-culture.
Soumis dès sa naissance à un réseau socio culturel qui créer des automatismes de pensée et d’action indispensable au maintien ordre social. Emprise peut susciter une certaine angoisse qui va se traduire par agressivité.
MCLEAN Théorie du cerveau tri-unique
cerveau reptilien : commun à tt le règne animal, assure survie de l’espèce. conservation, nutrition et ppt.
cortex : commun à tt les mammifères. Émotion et mémoire, inspire fuite face à émotions négatives ou quête plaisir
néocortex : espèce humaine. Logique, langage, mémoire à long terme
HOSSBORN WILSON et la sociobiologie
S’appuie sur théorie moderne de l’évolution néo-darwinisme et sur données génétiques modernes. Sociobiologie pour expliquer phénomènes multiples (guerre, religion).
Cerveau est le produit darwinien de l’évolution sélectionne lui mm é indispensables survie espèce.
homme génétiquement prédisposé à ses idées par ses gènes Eg; mafia produit sélection naturelle où s’affrontent espèces criminelles, survivent ceux qui dead en violence et manipulation.
LEAUTÉ et la théorie de la violence
Agressivité naturelle dans les sct animales mais se trouve canalisée dans intérêt de la survie de l’espèce.
≠ pour espèce humaine, agressivité phénomène naturel mais pas canalisé. Forme de déraillement qui explique les guerres, les crimes.
TINBERGEN, LORENCE, VON FRISH
Structure cognitive (cerveau, système nerveux) et structure physiologique (organes, anatomie) sont le résultat de la sélection naturelle visant la survie et la reproduction par adaptation à l’environnement. Les adaptations psychologiques, ancrées dans le cerveau humain depuis la préhistoire, répondaient à un milieu difficile où la compétition sexuelle entre mâles favorisait la progéniture.
Mais notre société actuelle diffère fortement : des instincts comme la préférence pour le sucre ou la réaction au stress, autrefois utiles, peuvent aujourd’hui devenir problématiques (obésité, anxiété).
HOSSEGOR WILSON et MCARTHUR - la R/K selection theory
but quantitatif = diffusent gènes en éparpillant progéniture et négligeant
but qualitatif = procéder moins mais investissent dans rôle parental pour espérance de vie
Hommes tendance quantitatif MAIS enclins à agresser/harcèlement sexuellement les femmes pour s’assurer de procréer.
conduit à enfants psychopathes en raison manque d’investissement.
Effet cendrillon : violences infra-familiales par beaux parents car pas sa descendance
THORNHILL et PALMER- la théorie du viol
Bcp d’espèces animales où mâle oblige la femelle à copuler.
Parallèle avec le viol entre humain, viol serait une stratégie reproductive choisie par les looser dans la compétition sexuelles
Statut social joue sur le risque de viol
hommes riches sentiment d’impunités
femmes pauvres vulnérables et pas protégées
hommes statut social peu élevé avantage plus grand dans le profit tiré du plaisir sexuel et reproduction que risque de sanction.
Compensent par des propositions de mesures préventives et aide aux victimes de viol MAIS recherchent pas vrmt scientifiques
École de Chicago et théorie écologiste
décrit ville comme un organisme vivant tte caractéristique éco/démo/ethnique/sociale propre à une zone a une influence déterminante MAIS écarte tte influence de la personnalité du délinquant.
vague successive d’immigration et dessin de ≠ quartiers avec des pop déracinées + prohibition et grande dépression (1919-1933) favorisent émergence de gang à Chicago.
PARK et BURGES chicago
super organisme vivant composé d’aires ou d’écosystèmes naturels sensibles aux invasions par espèces d’autres ères. 5 zones :
Central business = quartier d’affaire
zone de transition ZONE INSTABLE, emménagement et déménagement fréquent entraine désorganisation soc donc crimes
working class homes
middle class homes = résidentiel
banlieues
NEWMAN et théorie de l’espace défendable
comment empêcher criminel de passer à l’acte. Invite citoyens à créer leur propre espace en s’investissant eux mm comme agent ctrl et sécu.
territorialité = territoire de chacun est inviolable
surveillance nat = capacité de voir ce qui se passe, aménager lieux pour avoir vision d’ensemble (cf panotique de Bentham)
image = capacité à faire passer à travers son image un sentiment de sécu
milieu = tt le reste eg; proximité poste de police
JACOBS et théorie de l’espace de sociabilité
Idée de miser d’avantage sur les citoyens que sur les autorités.
eg; bancs pour que les individus s’assoient et communiquent entre eux… Écho au développement d’initiative de quartier eg; fête des voisins.
Modèle allemand d’urbanisme pour lutter contre les incivilités spieltrasse = jeu de rue. eg; Paris piéton
SUTHERLAND et la théorie des associations différentielles
comportement dévient pas héréditaire mais appris au sein d’un grp. Balance conceptions et opinions défavorables/favorable à la violation de la loi.
Personne devient délinquante si opinions transgressifs l’emporte sur les opinions conformistes.
SUTHERLAND def de ce qui est criminogène
definitions = fait d’être en contact durablement avec des personnes favorables à la transgression
fait d’être isolé des personnes favorables au respect de la loi
diffère selon fréquence, durée et intensité de l’exposition à un modèle favorable ou défavorable
SUTHERLAND, critiques
déterminisme biologique mais aussi social. Ce qui est deter est association ou non d’un indiv au grp criminel qui pratique la délinquance.
Critiques : notion de definitions et processus d’apprentissage assez obscures, pas vrmt expliqués par Sutherland. + abstrait bc écartant tt facteur bio ou psycho.
AKERS et la social learning theory
reprend Sutherland MAIS ajoute notion de renforcement qui passe par récompense et la punition
chaque indiv apprend à distinguer bien du mal en f° du grp auquel appartient
definitions sont elles-mm soumises à un renforcement différentiel = chaque jugement de valeur dépend de la balance entre les récompenses et les punitions attachées à un comportement donné (famille, école, église, loi.. = stimuli normatifs).
KING MERTON et la strain theory
reprend concept anomie de DURKHEIM mais def ≠
Anomie= tension qui affecte l’individu dans la sct entre
buts culturels valorisés au sein d’une sct
pratiques concrètes permettant d’atteindre ces buts
KING MERTON et les types de délinquance
conformisme : accepte but et moyen
ritualisme : rejet but mais accepte moyens Classes précaires de personnes non délinquantes.
évasion : rejet but et moyens. asociale et résignée. SDF, alcooliques, toxico… Hippies.
rebellion : rejet but et moyens. veut renverser idéologie soc eg; Délinquance contestataire et terroristes.
innovation : accepte but mais rejette moyen eg; criminalité en col blanc
3 derniers comportements délictuels
KING MERTON et les grp de ref
grp qui influence les indiv à un point tel que ceux-ci se réfèrent à lui psychologiquement afin de def leur comportement, idéologie, valeurs… Individu aspire à se faire intégrer donc cale ses comportements, grp joue donc un rôle normatif.
KING MERTON et autres notions
aspiration et mobilité soc = difficile dans certaines sct qui génère frustration donc recours à délinquance.
frustration relative = Volonté d’intégrer grp de ref fermé qui ne l’accepte pas car provient lui mm d’un grp dont les normes sont ≠.
rôle = joue tte une série de rôles correspondant à son rôle de ref.
KING MERTON, critiques
Veut relativiser idéologie et fascination de certains indiv pour ces grp de ref.
Critiques :
concentre sur délinquance des classes moyennes et défavoriser en laissant de côté l’élite bourgeoise, stigmatisant (nuançable, innovation englobe aussi white collar crimes).
Laisse de côté la délinquance violente non utilitaire (nuançable, marginaux parfois violence gratuite).
Comment expliquer qu’un cède à la tentation délictuelle et non un autre alors que les deux manquent tt autant de moyens nécessaires ?
Bcp de jeunes finissent par devenir respectueux, frustration s’atténue-t-elle en f° de certains évènements ?
COWARD ET OHNIN differential opportunity theory
individu a accès à des moyens légaux et illégaux de devenir délinquant.
trois sous-cultures:
sous cultures criminelles = indiv qui ont recours à innovation. si quartier où culture délinquante organisée seront encouragés
sous cultures conflictuelles =rebellion, choix par absence de structure tant criminelle que licite
sous culture du retrait = retrait ou évasion, AUSSI exclu des autres sous cultures délinquantes.
COWARD ET OHNIN solution
Faut s’assurer que l’indiv qui ait un difficile accès aux moyens licites ait un difficile accès aux moyens délinquants
AGNEW general strain theory
Def largement la notion anomique en lisant tt ce qui peut affecter de façon négative les relations avec autrui :
échec dans accomplissement objectifs qui peut entrainer de la frustration
disparition définitive d’un stimuli positif eg; perte d’un proche
exposition à un stimuli négatif eg; maltraitance familiale, stress scolaire
ressent situation injuste et peut conduire à commettre infraction. Varie selon chacun, selon vécu.
SELLIN et le conflit de culture
grp dominant qui se sert de la loi pour assoir ses intérêts face à des grp dominés
dans la sct série de grp soc porteurs de normes OR hétérogénéité entraine conflit entre plusieurs grp où un mm indiv peut se trouver
primaire/secondaire
conflits primaires = codes écrits et coutumes
conflits secondaires = plusieurs civilisations sur un mm territoire
interne/externe
conflit interne= indiv subit cas de conscience
conflit externe = purement légal
COHEN et les sous cultures délinquantes
anomie + désorganisation sociale = n’affectent que les classes ouvrières inferieures, milieux prolétarien car jugements de valeur qu’ils véhiculent sécrètent des sous-cultures délinquantes.
= propre classes pop est un bouillon de culture idéal pour délinquance. Enfant ouvrier honte qui conduit à délinquance
SYKES et MATZA les techniques de neutralisation
permettent à auteur d’un acte de rationaliser son acte :
nier sa rp = accident, prédisposition soc
nier le dommage causé = pas de dommage ou pas sa faute
renier la victime = victime a eu ce qu’elle méritait eg; victimisation 2ndaire ou crime passionnel
remet en cause accusateur = accuse enquêteurs, juges et MP
loyauté envers valeurs> = syndrome de robin des bois ou religion/famille
→ négation de l’infraction. S’ajoute mécanisme du sentiment d’injustice subie. Jeunes apprennent ça plutôt que les valeurs anti-sociales en tant que telles
MATZA et la théorie du rift
action des jeunes délinquants est le résultat d’un choix à la fois libre et déterminé, laissé aller conduit jeunes à se soustraire au ctrl soc.
Rendu possible par négation culpabilité et sentiment d’injustice subie. Volonté jeune résulte de:
préparation = apprentissage par expérience qu’un acte qualifié d’infraction est matériellement réalisable
désespoir = pousse à la commission de l’acte et qui donne sentiment de fatalité
BECKER et la théorie de l’engagement
la maj des indiv ont des pulsions et sont déviants en pensée.
indiv choisissent d’adopter ligne de conduite car conscience des engagements dans la vie sociale et de ce qu’ils perdaient si adoptaient comp déviant
→ passage à l’acte si pas assez d’engagement
CADE RECKLESS et la théorie du containment
barrière externe: structure soc
pression extérieure = précarité, absence avenir
barrière interne: caractéristiques de chacun (morale, image de soi)
pression intérieures = déficiences psy
Commission infraction dépend de la faiblesse ou force des deux barrières ou des deux pressions et force varie d’une sct à une autre.
eg; sct orientale barrière interne + intense que dans sct tradi
HIRSCHI - théorie du lien social
hommes sont contraints par des liens soc à respecter la loi pénal, peur de perdre l’avantage retiré de ses liens soc.
degré d’attachement
engagement dans le systeme
participation aux activités soc, sport
croyance existence systeme norme et valeurs communes
SCHERMAN et la honte
Ctrl criminalité en ayant recours à la « honte réintégrative » du délinquant : blâmer publiquement afin de le pousser à demander pardon et cas échant réparer le dommage.
honte réintégrative = constructive, honte d’avoir honte
honte stigmatisante = anéanti liens soc donc pousse à rejoindre autres délinquants
SCHERMAN et la théorie de l’attitude défiante
Défiance : attitude d’insoumission à la LP, provoquée par la colère et la honte qu’a pu engendrer une condamnation.
Peut se concrétiser de deux manières :
Commission d’un délit individuel ou spécifique= récidive
Délit collectif ou général = réaction coll d’un grp à la punition de l’un de ses membres
+lorsque lien social est faible peinent à ressentir honte et réprobation.
SCHERMAN et la réponse procédurale
sentiment de justice :
Si sanctions considérées comme juste par les citoyens incite d’avantage à respecter la loi
Sanction trop sévères/trop souples poussent à violer la loi.
doit donc procéder à
respect du délinquant: expliquer et écouter eg; motivation arrêts cour d’assise
respect de la victime: éviter victimisation secondaire, si mal traitée perd confiance dans la justice pénale et peut inciter à la justice pv
FREUD
Mentalité de chacun composée de trois instances psychique:
Ça = inconscient et inné. pulsions guidées par plaisir, destruction et vie
Moi = gère les pulsions et souffrances. Permet de s’adapter à la réalité extérieure et favorise vie soc
Sur-moi = instance psychique normative. Transmis par la sct = interdits/o°
→ Sur-moi se heurte au ça, il filtre et refoule les pulsions et le conflit s’extériorise avec le Moi eg; remord/culpabilité
DE GREFFE
personnalité du délinquant à travers thème du sentiment d’injustice subit par le criminel. Processus de revendication conduit à un refus de coopérer.
Tt nos actes sont dictés par nos instincts:
de défense = peur, fuite, agression
de sympathie = conservation espèce, abandon de soi aux autres
hommes tendance à favoriser sécurité donc entretien solitude MAIS culpabilité pousse à revenir vers les autres.
tt les hommes n’ont pas la mm capacité de retourner vers les autres.
DOLARD - théorie de la frustration agression
tte frustration engendre une agression et vice-versa, sanction peut inhiber agression mais pas effacer.
Indiv libère frustration auprès de la personne qui en est à l’origine: atteinte aux pers
Reporter frustration sur personne autre que celui à l’origine: victime inconnue ou biais comp atténué
Auto-agression: troubles TCA/mutilation
Sublimation : utiliser énergie de façon constructive
PINATEL et noyeau criminalité
Pas de ≠ de nature mais de degré entre criminel et autres individus
Def le noyau dur de la personnalité criminelle:
égocentrisme = innée chez enfant mais éducation et socialisation.Si échec peine à s’adapter
labilité = incapacité à ressentir menace sanction pénale / mesure pas acte
agressivité = instinct pour éliminer obstacle
indifférence active = insensibilité morale
PINATEL et classification crime selon mobile
crime primitif : cas où trop plein, pas décelé de tendance préalable
crime utilitaire : intérêt perso pour résoudre difficulté
crime pseudo-judicier: idéal de vengeance
crime organisé: organisation prépare tt et obéit aux ordres