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Degrés de mob de la charnière lombo-sacrée L4-L5-S1
Mob sagittale ++ : 20°
Mob frontale - - (inclinaison : 2°)
Mob transversale - - (rotation : 3°)
Plus de mob dans cette région chez les sujets à courbures atténuées
Effets de la mise en tension du lgt ilio-lombaire
L’étage L5-S1 est très fixé, L5 très stabilisé donc tous les efforts de mob vont se reporter sur l’étage L4-L5
Effets de la prédominance fonctionnelle en flexion au niveau de la charnière lombo sacrée
sollicitation de L5 vers l’avt → phénomène de compression discale excessif → éventuellement phénomène de calcification unilatéral ou bilatéral
Syndrome de Baastrup
= kissing spine
Contact inter-épineux (L4-L5) qui va générer de la douleur
Spina bifida
ossification incomplète de l’arc post des structures vertébrales
Absence d’éléments post dc plus de risque de désaxations en convergence
Absence de leviers osseux ce qui va perturber le fonctionnement de la pince ouvrante
Phénomène dégénératif discal entre L5-S1
mécanismes qui favorisent l’instabilité au niveau L5-S1
plateau sacré orienté vers le bas et l’avt
Inclinaison du plateau sacré vaut en moyenne 45° → L5 a tendance à être emportée vers l’avt → contrôlé par les lgt ilio-lombaires + configuration du DIV
Lorsque pente sacrée > 50°, risque d’instabilité ant de la charnière L5-S1 → surcharge au niveau discal + excès de tension au niveau des lgts ilio-lombaires
Spondylolyse
Fracture traumatique au niveau des pcs arti de L5 → discontinuité au sein du massif articulaire
Phénomènes d’hyperextension favorisent ce type de fracture dc préférentiellement chez les gymnastes
spondylolisthésis
Glissement naturel du corps vertébral de L5 /r à la structure sacrée
Classification de Meyerding → plateau sacré divisé en 4 parties → 5 grades en fonction de la position du corps vertébral de L5 /r à la structure sacrée
Ttt conservateur
Touche principalement les sujets jeunes
Configuration du DIV L5-S1
Cunéiformisation structurelle : hauteur ant du DIV + importante que hauteur post
Sous l’effet des contraintes répétées, il peut perdre de la hauteur ant et déclencher instabilité ant (instabilité post plus rare)
Efficacité dans la suspension post
SA de S1 (facettes arti post qui s’articulent ac PAI de L5) + orientées vers l’arr ce qui offre un appui post + important à L5 dc limite glissement ant
Anomalie de Putti
Facettes arti post du sacrum trop sagittales ce qui favorise glissement vers l’avt + important de L5 sur S1 → risque de spondylolisthésis
Risque de la position de rétroversion pelvienne
Horizontalisation du plateau sacré → écrasement discal (DIV continuellement en compression) → cisaillement au niveau des SA → L5 naturellement repoussée vers l’arr → inefficacité au niveau du fonctionnement de la pince ouvrante → dérapage post de L5 /r à S1 = rétrolistésis
csq en cas d’hypertrophie des pcs transverse de L5
Pcs transverses de L5 fusionnent ac la zone sacrée → L5 devient fixe → ttes les contraintes se déposent sur l’étage L4-L5
Lombalisation
Formation d’un DIV entre S1 et les autres pièces du sacrum
Souffrance due à ce DIV surnuméraire
Mobilité excédentaire de la région sacrée
étage L4-L5
Présente moins de pb d’instabilité comparé à L5-S1
Mob sagittale +
Configuration charnière thoraco-lombaire
Th12-L1-L2 = zones vertébrales à déclivité post
Ttes les structures lombaires sont obliques vers le bas et l’arrière = déclivité post
csq de la déclivité post
L’instabilité post est l’élément pb
Rétrolisthésis en bloc = 1 étage recule comparativement à un autre
Rétrolisthésis en cascade = recul pluri-étagé
Facteurs déclenchant rétrolisthésis au niveau de la charnière thoraco-lombaire + csq
Déclivité post + inefficacité des muscles stabilisateurs/coaptateurs
Réduction de l’appui facettaire → contraintes ++ sur le disque → dégénérescence discale (due à convergence excessive) → pince ouvrante va moins bien fonctionner
Rétrolisthésis réduit l’appui arti/facettaire dc pince ouvrante va moins bien fonctionner
où sont projetés les douleurs en cas de pb au niveau de la charnière thoraco-lombaire
région sup de la fesse
région lat du grand trochanter
région inguinale
syndrome de Maigne
affection d’origine mécanique et nerveuse liée à un dysfonctionnement de la charnière thoraco-lombaire → symptomatologie d’ordre sensitif principalement → nerfs abdominaux génitaux (ilio-hypogastrique et ilio-inguinal affectés)
où sont localisées les douleurs en cas de lombalgie
entre Th12 et le pli fessier
causes lombalgie
contracture pelvi-trochantériens, trochantérite, pb sacro-iliaque, perturbations intervertébrales lombaires
Evaluation de l’atteinte de la racine L5
Evaluation de l’atteinte de la racine S1
L5 : marche talon (déficit de releveur du pied)
S1 : marche sur la pointe de pieds (faiblesse du triceps sural)
Lombo-cruralgie
lombalgie ac syndrome radiculaire qui concerne L2-L3 voire L4
Méralgie
Neuropathie due à la compression ou l’irritation du nerf cutané fémoral lat = un nerf purement sensitif qui sort des racines L2-L3
Lombalgie spécifique
Lien entre la lombalgie et un élément causal → élément traumatique comme une fracture, tumeur osseuse lombaire, phénomène infectieux au niveau du disque, pb vasculaire
Red flags lombalgie
Urgences neuro
Fracture traumatique
Pb vasculaires
Syndrome de la queue de cheval
Urgences neuro
altération de la commande motrice
perturbations de la marche
Altération de l’équilibre
pb sensitifs au niveau du périnée
incontinence urinaire ou fécale
Fracture traumatique
Y-a-t-il eu un trauma à hte intensité ?
tt trauma en psce d’une spondylarthrite ankylosante
pb vasculaires
pieds froids, diminution du pouls artériel périphérique
risque : rupture d’anévrisme aortique
syndrome de la queue de cheval (qu’est-ce que c’est ? causes ?
compression des racines nerveuses S1, S2, S3 → incidence sur la région du MI et du petit bassin
Troubles moteurs et sensitifs des membres inférieurs.
Anesthésie en "selle".
Incontinence urinaire et fécale.
Troubles sexuels.
Cause : hernie discale, canal lombaire étroit complications post chirurgicales, parésies
Drapeaux rouges semi-urgents lombalgie
Fracture ac trauma mineur (chez femme âgée ménopausée)
Prise chronique de corticostéroïdes (car fragilité osseuse)
Atcd de cancer
perte de poids inexpliquée, sensation de fatigue extrême
symptômes infectieux : fièvre, sensation de frissons, patient immunodéficient, perte de poids inexpliquée
ostéoporose
diminution de la densité osseuse au niveau cortical et au niveau spongieux
pb métabolique : carences
pb de fixation du calcium
chez femme ménopausée ou homme âgé
asymptomatique jusqu’à ce qu’une fracture survienne
examen clé = densitométrie pr évaluer densité osseuse au niveau du col fémoral
comment se manifestent les douleurs à composante tumorale
très très importantes/disproportionnées
La nuit + au réveil
sitution anormale si douleur qui résiste au ttt sur une période
> 6 semaines → réorienter vers spécialiste
Lombalgie non spécifique
on ne peut pas expliquer la cause de manière sûre et certaine, pas de dignostic clair, aucune cause grave (ex : dysfonction arti, spasme musculaire)
3 sous-catégories de lombalgies non spécifiques
grp rachidien
pb centrale
grp social
grp rachidien
douleur à composante mécanique
certains mvmts/situations vont déclencher douleur/inconfort
technique de thérapie manuelle très bénéfiques → 1ère phase du ttt conservateur
Médication, infiltration voire chirurgie par arthrodèse
pb centrale
Dysrégultion au niveau du SN → altération au niveau de la perception de la douleur
Ttt = thérapie cognitivo-comportementale + techniques de relaxation, gym douce
grp social
concerne dimension psychologique (drapeau jaune)
remise en mvmt/reconditionnement du patient extrêmement important
drapeaux jaunes
attitudes qui portent sur les croyances, les émotions et le cmpt /r à la douleur
craintes /r au mvmt, /r à l’aggravation de sa situation clinique = kinésiophobie
émotions disproportionnées /r à la situation clinique
drapeaux noirs et bleus
contexte socio-professionnel
type d’act pro peut être un frein /r à la récupération
drapeaux oranges
symptômes à caractère psychiatrique → dépression, tr de la personnalité
dérangement McKenzie qu’est-ce que c’est + stratégies de ttt
C’est dans une direction déterminée que le mvmt va provoquer la symptomatologie du P
Trouver le mvmt qui diminue/soulage la douleur du P et le répéter de manière régulière en charge ou en décharge
L’ext° sera le mvmt le plus fréquent pr soulager douleur du P (ex : position du sphinx en couché ventral)
Stratégies de ttt : répétition de mvmts soulageants/correcteurs
dysfonction McKenzie : qu’est-ce que c’est + stratégies de ttt
douleur qui apparaît en fin de mobilité/en fin d’amplitude
Etirer/charger progressivement les tissus, mise en tension du système neural en exposant progressivement les tissus à l’étirement dans la direction douloureuse
ex : si extension terminale est douloureuse, on prescrit des extensions répétées et contrôlées (mvmt doit provoquer la douleur mais plus de douleur lorsque je reviens en position neutre)
postural
douleur liée à la position maintenue
Changer de position permettra de soulager la douleur
ttt : apprentissage de la bonne posture, correction et éducation de la posture
soutien au niveau de la région lombaire → coussin, serviettes lors de la position assise
Renforcement des multifides qui participent à l’auto-grandissement, activation du transverse de l’abdomen
Restaurer la fonction de la pince ouvrante car elle doit être efficace pr que l’extension soit efficace dc W sur l’aspect arti avt de faire du McKenzie
questions générales anamnèse
exclure le drapeaux rouges
tenir compte des facteurs psycho-sociaux
profession, loisir
Questions ouvertes pr laisser le P s’exprimer
douleurs où, quand (durée), comment, pk, qu’est-ce qui aggrave, qu’est-ce qui soulage, quelles sont les attentes du P
localisation de la douleur
Analyser les dermatomes, les myotomes, les réflexes ostéo-tendineux
Test de Lasègue, slump test → irritation ou compression des nerfs rachidiens
douleur peut-être projetée/référée
questionnaire en cas de douleur neuropathique
DN4
douleur en cas de problématique sacro-iliaque
douleur localisée au niveau de la zone de Fortin (moins d’1cm en dessous et en dds de l’EIPS + possible d’avoir des irradiations au niveau région fessière, région lat de la cuisse, pli de l’aine
trigonme lombaire : à considérer dans son ensemble lorsqu’on évalue une douleur lombaire, fessière ou cuisse
colonne lombaire + muscles paravertébraux + DIV + sacro-iliaque + hanche
dermatome L1
partie hte de la fesse, pubis, face interne de la cuisse
dermatome L2
partie externe de la fesse, face ant hte de la cuisse
dermatome L3
partie externe et post de la cuisse, face ant de la cuisse jusqu’au genou
dermatome L4
face ant et med de la jambe jusqu’à la malléole med
dermatome L5
face lat de la jambe et dos du pied
dermatome S1
face post de la jambe et bd externe du pied
tr qui implique la racine L4 est un trouble au niveau de quel étage vertébral
au niveau de l’étage L4-L5 puisque la racine L4 sort entre L4 et L5
myotome L2
Flexion de hanche
myotome L3
extension de genou
myotome L4
tibial ant : flexion dorsale de cheville
myotome L5
extenseur propre de l’hallux
myotome S1
flexion plantaire (en charge) → triceps sural
quand ? temporalité de la douleur en fonction d’une douleur mécanique ou inflammatoire
Matin : sensation de dérouillage
Court : mécanique
Long : inflammatoire
Journée
Aug de la douleur si mécanique
repos/immobilité provoque la douleur si inflammatoire
Soirée : douleur mécanique aug ++
Ttt si inflammatoire = médication
Douleur aigue, subaigue, chronique, récurrente
Aigue < 4 semaines (hyperaigue de 0 à 2 semaines)
Sub-aigue : 4 à 12 semaines
Chronique > 12 semaines
Douleur récurrente = flucatuations de la douleur
Comment ?
mettre en évidence les positions qui provoquent la douleur et les positions qui soulagent
promouvoir l’alternance de positions
couché dorsal
provocateur des douleurs lombaires mais coussin sous les genoux peut soulager
décubitus ventral
décubitus ventral ac coussin sous la région lombaire peut soulager → position antalgique, délordose → ouverture au niveau facettaire
décubitus lat du côté patho
patient hanche fléchies et genoux fléchis (chien de fusil) peut être intéressant car permet de générer ouverture post + décompression au niveau facettaire
Côté douloureux est appuyé, relâché et non étiré
station assise en flexion
disque en compression majeure dc inconfortable
assis en extension
auto-redressement
position debout statique
plutôt ptovocateur, surtout si pb discal
marche lente vs marche rapide
Marche lente = + de douleur, peu confortable, tendance à gravité post
Marche rapide nécessite act musculaire dc moins douloureux
changement de position ex : assis à debout ou couché à debout
généralement inconfortable
verticalisation
inconfortable
toux/défécation
hyperpression abdominale dc implication des structures lombaires dc peut être douloureux