1/78
complet
Name | Mastery | Learn | Test | Matching | Spaced |
---|
No study sessions yet.
voie afférente
voie qui apporte les informations → sensitif
voie efférente
voie qui emmène les informations plus loin (aux muscules) → moteur
divisée en système nerveux autonome (sympathique/parasympathique) et système moteur avec le contrôle des muscles squelettiques
le système nerveux central comporte
encéphale
deux hémisphères avec un cortex (substance grise) et la substance blanche, le cervelet, le corps calleux, tronc cérébral, un noyau
la moelle épinère
les méninges
il y en a trois, depuis l’extérieur: dure-mère, arachnoïde, pie-mère
membrane recouvrant le système nerveux central, assure la protection contre les chocs notamment
système ventriculaire
les ventricules (un peu comme des trous dans le cerveau) ainsi que l’espace sous-arachnoïdien sont rempli d’un liquide, le liquide céphalorachidien (LCR)
fonctions:
amortissement et protection
évacuatition des molécules et de déchets
les lobes cérébraux
lobe frontal
lobe partital
lobe occipital
lobe temporal (2x)
lobe insulaire
lobe frontal
dessous le front,
Réflexion, planification, fonctions exécutives, motricité
lobe parietal
au sommet de l’encéphale
Conscience du corps, intégration des informations visuelles et somatospatiales
lobe occipital
derrière la tête, un peu au dessus du cervelet
la vision
lobe temporal
vers les tempes et les oreilles, il y en a deux
audition, mémoire, émotions
lobe insulaire
dessous le lobe temporal
Conscience, douleur, émotions, homéostasie
primarx motor cortex
c’est l’espace le plus en arrière du lobe frontal
Initiation of voluntary movement, Motor mapping - some regions of the body are represented in that part of the brain, the more sensitive the region, the greater the part it takes-, Motor learning, Motor control
primary sensory cortex
partie la plus en avant du lobe partietal
Sensory reception and processing, Somatosensory mapping - same as motor mapping-, Sensory discrimination -helps us to distinguish between light touch and a firm pressure- , Spatial awareness
aire de broca
centre de la langue, muscles of speech
aire de wernicke
compréhension du language parlé et écrit
les couches corticales
Moléculaire : Contient principalement des fibres (axones et dendrites).
Granulaire externe : Couche réceptrice (cortico-corticale).
Pyramidal externe : Couche effectrice (cortico-corticale).
Granulaire interne : Couche réceptrice.
Pyramidal interne : Couche effectrice.
Polymorphe : Rétroaction via le thalamus vers le cortex cérébral.
ipsilatéral
ipsilatéral
contralatéral
contralatéral
corps calleux
Connexions interhémisphériques
cervelet
Contrôle de l’équilibre et coordination des mouvements.
noyaux gris centraux
ganglions de la base: noyau caudé, putamen, globus pallidus (pallidum)
Rassemblement de neurones situés profondément à l’intérieur des hémisphères. Ces noyaux participent à des réseaux neuronaux moteurs, cognitifs et émotionnels, en connexion avec le cortex frontal via le thalamus.
ganglions de la base
noyau caudé, putamen, globus pallidus (pallidum)
Régulation des mouvements volontaires.
Exemple de dysfonctionnement: Maladie de Parkinson.
thalamus
Partie dorsale du diencéphale
Structure “relais” pour l’information sensorielle entre la périphérie et le cortex cérébral
hypothalamus
Partie dorsale du diencéphale
Structure “relais” pour l’information sensorielle entre la périphérie et le cortex cérébral
hypophyse
Glande endocrine qui répond aux stimuli de l’hypothalamus en synthétisant des hormones spécifiques, qui sont libérées dans le sang.
diencéphale
composé du corps calleux, du thalamus et de l’hypothalamus
Amygdale
Un système fonctionnel pour les émotions, taille d’une amande
13 noyaux chez le primate
les 13 noyaux de l’amygdale
Lateral (L)
Basal (B)
Accessory basal (AB)
Central (CE)
Medial (M)
Paralaminar (PL)
Intercalated (I)
AAA, NLOT, COa, PAC, COp, AHA
est ce qu’il faut les connaitre ?
Formation hippocampique
Un système fonctionnel pour la mémoire
les parties de la Formation hippocampique
Entorhinal cortex
Dentate gyrus
Hippocampus proper
CA3
CA2
CA1
Subiculum
Presubiculum
Parasubiculum
tronc cérébral
Passage des voies motrices et sensitives. Interconnecte les informations provenant des deux hémisphères et du cervelet. Remplit une fonction d'intermédiaire dans le cadre de l'éveil et de l'attention. Participe à la régulation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle, de la respiration et de la température corporelle.
contient:
mésencéphale
pont
bulbe/medulla oblongata
racines dorsales
axones sensortiels
racines ventrales
axones moteurs
arc reflexe
le stimulus touche les récepteurs
ceux ci se déclenchent et portent l’information par la racine dorsale jusqu’au milieu de la moelle épinière
l’information est transmise au neurones moteur mais aussi à l’encéphale grâce à un neurone d’association
le neurone moteur qui passe par la voie ventrale déclenche le refléxe
système nerveux somatique
contrôlé et volontaire sur les muscles squelettiques
système nerveux autonome
pas volontaire
sympathique (mobilisation, activation)
Parasympathique (repos, digestion)
les nerfs crâniens
il y en a 12 paires, reliée à l’encéphale. La plus part dirige le visage.
voir neuroanatomine pour leur nom et fonction
les nerfs rachidiens
31 paires de nerfs rachidiens qui forment une organisation segmentaire de la moelle épinère
8 paires de nerfs cervicaux, 12 paires thoraciques, 5 paires lombaires, 5 paires sacrés (un peu le dessous des jambes et les parties génitalee) 1 paires coccygien
celluoles ependymaires
cellules gliales qui favorise la circulation du liquide encéphalorachidien
quels sont les autres noms pour la zone gâchette
segment initial, cône d’implantation, cône axonique
potentiel post synaptique gradué
dépolarisation de la membrane au niveau des dendrites
les deux types de messages des neurones
chimique avec les neurotransmetteurs
éléctrique avec la dépolarisation de l’axone
potentiel membranaire au repos
l’intérieur du neurone est négatif -70 mV
cette charge est établie car il y a plus de [Na+] à l’extérieur de la cellule et plus de [K+] dedans mais [Na+] > [K+]
potentiel d’action
dépolarisation par ouverture des canaux Na+ voltage dépendant, entrée du sodium, le pic est atteint autour de +30mV
la repolarisation a lieu grâce à la sortie du K+. Les canaux voltage dépendant restent ouvert un peu plus longtemps provoquant l’hyperpolarisation et empêche un retour en arrière de l’influx nerveux
les ions se replacés au bon endroit grâce aux pompes sodium-potassium
le potentiel d’action dure environs 2msec
comment est signalé l’intensité du stimulus?
pas par un influx nerveux plus “puissant” mais par une fréquence d’influx plus grande
conduction saltatoire
l’influx nerveux saute de noeud de ranvier en noeud de ranvier (ce sont dont les neurones myélenisés)
vitesse de propagation quand:
myélinisé: 5-120 m/sec
non myélinisé: 3m/ sec
influence du diamètre de l’axone sur la vitesse de propagation
plus le diamètre est important plus l’influx est rapide
maladies liées à la myélinisation du SN
SNC: Sclérose en plaques—démyélinisation des axones dans le système nerveux central
SNP: Syndrome de Guillain-Barré — démyélinisation des nerfs périphériques
Exemples de substances agissant sur les canaux sodiques
Tétrodotoxine (TTX): bloqueur sélectif des canaux sodiques. Toxine qui se trouve dans le poisson fugu
Lidocaïne: inhibiteur des canaux sodiques. On s’en sert pour des anesthésies locales
type de synapes
neurone - neurone
neurone - muscle
neurone - glande
synapse éléctrique: L'influx nerveux se transmet sans intervention de neurotransmetteur
synapses électriques
elles ne font pas intervenir de neurotransmetteurs, l’influ passe directement au prochain neurone grâce à des jonctions étroite formées par des protéines — les connexons— la transmission de l’information est bidirectionnelle
c’est rare de trouver ça chez les vertébrés
Les synapses chimiques
celles qu’on connait habituellement
arrivé de l’influx nerveux ce qui provoque une augmentation de la [Ca2+] dans le bouton synaptique
fusion des vésicules contenant les neurotransmetteurs et de la membrane présynaptique ce qui libère les NT
liaison des NT avec les récepteurs du neurone post synaptique qui peut avoir différent effet selon le NT (est il activateur ou inhibiteur)
→ transmission unidirectionnelle
la fente synaptique mesure ~ 20-50 nm et le délai synaptique de 0,5 à 1 msec
les deux grandes catégories de récepteurs
récepteur canaux - ionotrope - qui sont ligand dépendant
récepteur couplés aux protéines G - métabotrope
le NT arrive et se lie à une protéine transmembranaire ce qui active la protéine G liée à la première protéine (GDP → GTP)
la protéine G activée va jusqu’à une troisième protéine - adénylate cyclate - qui transforme l’ATP en AMPc.
l’AMPc ouvre les canaux ioniques fermés et en plus il a d'autres effet sur le métabolisme comme l’activation d’enzyme ou la modification d’expression de certains gènes
comment sont éliminés les NT de la fente synaptique après leur action
Dégradation par des enzymes présentes dans la fente synaptique.
Recaptage par le bouton synaptique.
Diffusion hors de la fente synaptique, p. ex. dans le sang.
Elimination par les cellules gliales présentes autour de la synapse.
Potentiel Post-Synaptique Excitateur (PPSE)
Ouverture de canaux à Na+, provoque une légère dépolarisation de la membrane
Potentiel Post-Synaptique Inhibiteur (PPSI)
ouverture des canaux à Cl- (ils entrent) ou à K+ (ils sortent)
provoque une hyperpolarisation de la membrane et si un PPSE arrive, il n’aura pas son effet habituel
Modes d’action des médicaments/drogues sur les récepteurs:
Effet agoniste
Effet antagoniste
Inhibition de recapture
Modulation
contrôle des muscles squelettiques (volontaire)
l’information passe par deux neurones moteur, le premier du cortex cérébral à la moelle épinière, le second de la moëlle épinière au muscle. Le deuxième neurone passe par la racine ventrale et viennent de la corne ventrale
Somatotopie
Les motoneurones ne sont pas distribués de manière aléatoire dans la corne ventrale, mais selon la position sur le corps des muscles qu’ils contrôlent.
unité motrice
unité de base du contrôle moteur, c’est l’ensemble motoneurone, axone et fibres musculaires qu’il contracte
comment contrôler la force du muscle?
sommation spatiale: recrutement d’un nombre gradué d’unités motrices
sommation temporelle: dans chaque unité motrice, en variant le nombre de PA émis par le motoneurone
quel est le neurotransmetteur des motoneurones?
l’acétylcholine
récepteur de l’acétylcholine
cholinergique nicotiniques
laisse passer les ions sodium et potassium ?
un antagoniste compétitif est le curare
plaque motrice
membrane postsynaptique au niveau de la fibre musculaire
elle est maximisée pour augmenter le contact entre l’axone et les fibres musculaires
composantes de la fibre musculaire
myofibrilles - structure contractile
tubules T- propagation des potentiels d’action
réticulum sarcoplasmique - accumulation et libération de Ca2+
sarcolemme - membrane excitable des fibres musculaires
étape de l’excitation d’une fibre musculaire
Un potentiel d’action se propage sur l’axone d’un motoneurone α.
L’ACh est libérée au niveau de la jonction neuromusculaire.
L’activation des récepteurs nicotiniques dépolarise le sarcolemme (membrane excitable) de la fibre musculaire.
Un potentiel d’action est généré et se propage dans le sarcolemme et les tubules T.
La dépolarisation des tubules T entraîne une libération de Ca2+ à partir du réticulum sarcoplasmique.
étapes de la contraction musculaire
Le Ca2+ se fixe sur la troponine.
Cela permet l’exposition des sites de fixation de la myosine sur l’actine.
Les têtes de la myosine fixent l’actine.
Les têtes de la myosine pivotent => mouvement de glissement des filaments les uns par rapport aux autres.
Les têtes de la myosine se désengagent au prix d’une consommation d’ATP.
Le cycle se poursuit tant qu’il y a du Ca2+ et de l’ATP disponible.
relaxation musculaire
Avec la fin du PPSE, le sarcolemme et les tubules T retrouvent leur potentiel de repos.
Le Ca2+ est recapturé par le reticulum sarcoplasmique, par un mécanisme dépendant de l’ATP.
Les sites de fixation myosine-actine sont à nouveau occupés par la troponine.
Arc réflexe monosynaptique
il est excitateur, contracte un muscle par exemple dans le reflexe rotulien quand le ligament patellaire relié au quadriceps est étendu, il envoie un signal à des récepteur sensoriel dans le muscle qui captent cet étirement soudain, l’information est amenée à la moelle épinière et la l’influ nerveux passe à un deuxième neurone, un neurone moteur excitant qui contracte le quadriceps
Contraction du muscle étiré suite à la percussion du ligament.
arc réflexe polysynaptique
inhibiteur, quand l’information d’un muscle soudainement étiré arrive à la moelle épinière, le neurone se divise: un axone est relié à un motoneurone pour la contraction et un axone est relié à un interneurone. C’est à celui-ci qu’on s’intéresse maintenant; il est entre autre connecté à un motoneurone qui va inhiber le muscle antagoniste du muscle étiré, permettant la contraction de celui ci
agoniste de l’acétylcholine
nicotine et muscarine
antagoniste de l’acétylcholine
curare et atropine
les deux types de récepteurs de l’acétylcholine
récepteur nicotinique et récepteur muscarinique
récepteur nicotinique
canaux ionique avec une action rapide qui provoque une dépolarisation → donc une excitation
récepteur muscarinique
Récepteurs métabotropiques couplées aux protéines G. Ils ont donc une action plus lente.
ils provoque soit une dépolarisation (→excitation) ou une hyperpolarisation (→inhibition)
système sympathique
partie du système autonome qui agit (fight or flight), plutôt sur le tiers central de la moelle épinière.
neurone préganglionnaire: Acétylcholine (ACh) récepteurs nicotiniques — comme l’autre système: noradrénaline
les ganglions se trouvent sur la chaine sympathique, proche de la moelle épinière
gère aussi les glandes comme la médulla surrénale qui libère de l’adrénaline et de la noradrénaline
système parasympathique
partie du système autonome qui relaxe et digère
sont localisé dans le tronc cérébral et tout au fond de la moelle épinière (partie sacrée)
neurone préganglionnaire: Acétylcholine (ACh) récepteurs nicotiniques — comme l’autre système
neurone postganglionnaire: acétylcholine (ACh) récepteurs muscariniques
les ganglions sont proche de l’organe cible
L’hypothalamus
L’hypothalamus fait partie du SNC. Il est le principal centre de contrôle et de régulation des fonctions homéostatiques.
Il agit comme un centre de contrôle réagissant aux divers stimuli perçus : hormonaux, nerveux, sanguins, etc.
Il est en connexion, souvent de manière réciproque, avec de nombreuses autres régions: hypophyse et épiphyse, tronc cérébral, moelle épinière, «système limbique», cortex cérébral.
il est de la taille d’une amande mais avec un structure très complexe et de multiples noyaux impliqués dans différentes fonctions: température corporelle, rythme circadien, sommeil, appétit et soif, pression sanguine, réponses émotionnelles, attachement, système immunitaire, fonctions sexuelles, etc.
complexe hypophyse et hypothalamus
gèrent la régulation de la libération d’hormones