olfaction

3 principales dimensions de l’odeur

intensité / force

qualité / identité

tonalité hédonique / (agréable ou désagréable)

composants d’une odeur

mélanges très élaborés

10aine à 100aine de composants

ex rose: 400 constituants

connaissances théoriques perceptions olfactives

loin d’être satisfaisante

> impossible de prévoir la qualité et l’intensité d’une odeur d’un mélange

organes qui abritent la muqueuse olfactive

2 cavités nasales

dont le toit est limité par la lame criblée de l’os éthmoïde dont les perforations laissent passer des filets nerveux olfactifs qui rejoignent le bulbe olfactif

cellules épithélium olfactif de la muqueuse olfactive

cellules de soutien

cellules basales

cellules neuroréceptrices = neurones olfactifs

cellules de soutien - épithélium muqueuse olfactive

> régulation environnement neurones olfactifs

juxtaposées entre les neurones olfactifs pour les isoler

régulation concentration ioniques (k+)

cellules basales - épithélium muqueuse olfactive

immatures > activité mitotique leur permettant de se transformer en neurones olfactifs immatures puis matures

sous systèmes olfactif

organe septal / de masera

organe voméronasal

organe septal / de masera

surface olfactive dans la portion ventrale du nez > exposée au flux respi principal

rôle de veille > alerte provoque éveil système principal

organe voméronasal

sensible à des molécules volatiles de faible poids moléculaire + molécules non volatiles et solubles dans l’eau

localisation système olfactif

PAS cavité nasale

muqueuse olfactive reçoit une innervation extrinsèque par le nerf trijumeau

neurones olfactifs - activité

absence de stimulus: émission potentiels d’action à une cadence basse aléatoire

neurones olfactifs - structure

dendrite unique dirigée vers la surface de la musqueuse et se terminant par vésicule avec une touffe de cils olfactifs baignant dans un mucus protecteur

perception de l’odeur

intéraction entre les molécules de la substance odorante et les protéines portées par les cils des cellules olfactives qui ressemblent à l’opsine

seuil substance odorante

besoin d’un nombre suffisant de molécules au contact des protéines pour sentir odeur

dépend de la solubilité des molécules dans le mucus qui constitue une barrière (traversable en se couplant avec des molécules OBP - odorant binding protein)

transduction olfactive

molécules odorantes agissent sur les protéines réceptrices → liaison

entraîne modification perméabilité au Na+ et K+ et génèse de PA propagés dans les neurones jusqu’au relais bulbaire

activation cellules olfactive

pour 1 odeur et à une certaine concentration: certaines cellules pas activées, mais majorité excités et rares sont inhibées.

un même neurorécepteurs peut être excité par nombreuses odeur > faible sélectivité mais différence de sensibilié en fonction de l’odeur et de sa concentration

motif d’activation global temporel des neurorécepteurs

unique à 1 odeur

> neurorécepteurs capables de spécifier l’identité d’une odeur

glomérules olfactifs

1er relais de transmission synaptique de l’info olfactive

structure close sans corps cellulaires à l’intérieur

organisation en colonnes anatomiques: rassemble l’ensemble des cellules mitriales, à panache et des interneurones qui innerve un même glomérule

reception des infos par les glomérules olfactifs

chaque glomérule reçoit les terminaisons axonales de plusieurs 10000aine de récepteurs > établissent contacts synaptiques avec arborisation dendritiques de cellules mitrale +réception dendrites des cellules à panache et des terminaisons d’interneurones locaux

codage de l’odeur

populationnel > par une population de cellules

spatial: odeur représentée par la carte spatiale de l’activité bulbaire > cortex olfactif

temporel: capacité à synchroniser les activités oscillatoires en fonction d’un stimulus olfactif donné

fin de la voie olfactive

en sortant du bulbe olfactif : faisceau d’axone = tractus olfactif latéral qui contacte le cortex olfactif primaire

pas de relais au niveau du thalamus

aires olfactives primaires

cortex piriforme

cortex orbitaire

cortex piriforme

3 couches histologiques > paléocortex

pas de carte spaciale d’activation particulière en réponse aux odeurs

hétérogénéité fonctionnelle antérieure / postérieure (mémorisation odeur)

fait des projection vers le néocortex via le thalamus ou non

néocortex / paléocortex

néo: cortex avec 6 couches histologiques

paléo: cortex avec 3 couches histologiques

cortex orbitaire

lobe frontal - région orbitaire

perception et discrimination olfactive

différence d’activation entre les régions droites et gauches > D prépondérant dans le traitement de l’info olfactive

densité émotionnelle de l’odeur

dimension émotionnelle pas spécifique aux odeurs (aussi audio, goût, etc)

système limbique: hippocampe - mémorisation et amygdale - perception et production états émotionnels

partie préfrontale du lobe frontal et cortex cingulaire antérieur

seuils perceptions odeurs

de détection et de reconnaissance

disposition anatomique de la muqueuse olfactive

étalée dans la cavité nasale

logée dans des sacs / chambres olfactives

portée par des plis / enroulement osseux = cornets qui augmentent la surface offerte aux échanges

en contact avec du fluide qui dilut les signaux chimiques qui composent les odeurs

seuils odeur

de détection et de reconnaissance