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Identifiez le ou les facteurs de risque de l’IRC présent(s) chez Monsieurs McLoed.
Âge, Prise d'Ibuprofen, Hyperplasie de la prostate
Appartenance ethnique, Diabète, IMC à 34, Tabagisme, HTA
HTA, Diabète, Âge
A- Âge : OUI, il a plus de 60 ans
B- Prise d’Ibuprofen (Advil) : NON, il n’en prend pas régulièrement, c’est plutôt un facteur contributif de l’IRA dans sa situation
C- Hyperplasie de la prostate : NON, il faut que l’obstruction des voies urinaires soit très importante pour entraîner une conséquence au niveau rénal, et il s’agirait d’une cause d’IRA si tel était le cas
D- Appartenance ethnique (Écossais) : NON, les populations plus à risque sont les autochtones et les noirs américains
E- Diabète : OUI, le diabète est un facteur contributif très important des néphropathies
F- IMC à 34 : NON, ce facteur influence d’autres pathologies (ex : affection cardiovasculaires)
G- Tabagisme : NON, ce facteur influence d’autres pathologies (ex : affection cardiovasculaires)
H- HTA : OUI, à long terme, une HTA non contrôlée peut endommager le réseau vasculaire rénal
Monsieur McLoed ne comprend pas bien la différence entre l’IRA et l’IRC. Indiquez lui quelles informations sont vraies parmi les suivantes.
Dans les 2 cas, la créatinémie est le meilleur indicateur pour évaluer la gravité de l’atteinte rénale.
L’IRC peut être réversible, si l’on arrive à en identifier la cause et à la traiter.
L’IRA est d’apparition soudaine et l’IRC se développe sur plusieurs années.
L’IRC et l’IRA sont évaluées en fonction du degré d’atteinte à la fonction rénale : stade 1 (atteinte minime) à 5 (atteinte terminale)
La cause la plus fréquente de l’IRA est la glomérulonéphrite aiguë
Les personnes atteintes d’IRC sont plus à risque de décéder des suites d’une maladie cardio-vasculaire
Dans les 2 cas, il est primordial d’effectuer une surveillance des électrolytes afin de prévenir des complications potentiellement fatales
L’hémodialyse est utilisée pour traiter exclusivement les patients atteints d’IRC terminale
L’IRA est d’apparition soudaine et l’IRC se développe sur plusieurs années.
Les personnes atteintes d’IRC sont plus à risque de décéder des suites d’une maladie cardio-vasculaire
Dans les 2 cas, il est primordial d’effectuer une surveillance des électrolytes afin de prévenir des complications potentiellement fatales
Explanation:
A- FAUX : seulement pour l’IRA
B- FAUX : les dommages en lien avec l’IRC sont irréversibles
C- VRAI
D- FAUX : seulement l’IRC est évaluée de cette manière. L’IRA est évaluée avec la classification RIFLE et selon sa cause (pré, intra ou post-rénale)
E- FAUX : la cause la plus fréquente d’IRA est la nécrose tubulaire aiguë (NTA). Celle-ci est le plus souvent d’origine ischémique ou néphrotoxique
F- VRAI
G- FAUX : Bien que cela ne soit pas très courant, l’hémodialyse peut aussi être utilisée pour traiter les patients atteints d’IRA, le temps que la fonction rénale se rétablisse
H- VRAI : les déséquilibres électrolytiques causés par l’IR, Aiguë ou Chronique, peuvent avoir de graves conséquences, particulièrement ceux touchant le K+. Une infirmière compétente devrait toujours faire de la surveillance des électrolytes une priorité de soin dans ces pathologies.
L’infirmière vous donnant le rapport vous dit que Monsieur McLoed est dans la phase oligurique de l’IRA. Quelles sont les caractéristiques cliniques pouvant correspondre à cette phase?
A Le débit urinaire commence à augmenter graduellement
B Durant cette phase la fonction rénale s’améliore, mais cela peut prendre jusqu’à 12 mois avant de se stabiliser
C Le débit urinaire est encore de moins de 400 ml / jour
D Cette phase dure en moyenne de 10 à 14 jours
E Les reins du patient ont retrouvé leur capacité à filtrer les déchets, mais non à concentrer l’urine, donc, il est à risque d’hypovolémie et d’hypotension
Cette phase dure en moyenne de 10 à 14 jours
Le débit urinaire est encore de moins de 400 ml / jour
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A-Phase diurétique
B-Phase de rétablissement
C-Phase oligurique
D-Phase oligurique
E-Phase diurétique
Laquelle de ces affirmations reflète la priorité de soin la plus pertinente face à ces résultats
A Je vais discuter avec l’assistante afin d’instaurer une perfusion de NaCl 0.9% à 60 ml/h pour rétablir graduellement le taux de sodium sanguin
B Je vais aviser le médecin que l’urée et la créatinine sont élevées, car cela signifie que la fonction rénale n’est pas rétablie
C Je vais aviser le médecin que le patient est en alcalose métabolique, car cela implique que l’on doit traiter le patient pour rétablir l’équilibre acido-basique
D Je vais aviser le médecin que le taux de potassium est élevé, car cela demande un traitement rapide afin de prévenir d’éventuelles arythmies
E Je ne vais rien faire car tous ces résultats sont attendus dans un cas clinique comme celui de Monsieur McLoed
Je vais aviser le médecin que le taux de potassium est élevé, car cela demande un traitement rapide afin de prévenir d’éventuelles arythmies
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Explanation:
A- Vous ne pouvez débuter une perfusion ainsi sans ordonnance, même si l’assistante était d’accord
B- Le médecin risque de trouver que vous lui faites perdre son temps, ces résultats sont attendus dans la situation et l’augmentation de l’urée et de la créatinine ne présentent pas de risque imminent pour le patient
C- Le médecin risque de vous trouver incompétent : le patient est en acidose métabolique, et non en alcalose métabolique
D- C’est la meilleure réponse! :) L’hyperkaliémie est en effet la priorité de soins # 1 face à ces différents résultats, dans ce cas clinique. Après avoir mentionné ce résultat au médecin, vous pourrez en profiter pour lui glisser un mot sur l’acidose également ;)
E- Ces résultats sont attendus, mais cela ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire! On s’attend à ce que vous réagissiez lorsque vous constatez une hyperkaliémie aussi significativeJ
La FSC de Monsieur McLoed indique une hémoglobine (Hb) à 82 mmol/L (normalité 140-180 mmol/ L). Quelle est la cause la plus probable de cette problématique et comment y répondre?
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A- Cela est relié à l’effet de dilution attribuable à la rétention de l’H2O dans l’IRA : les choses rentreront dans la normalité avec la reprise de la filtration rénale
B-Une altération chronique de la fonction rénale entraîne un déficit en érythropoïétine: il faudra s’assurer qu’un traitement hormonal de remplacement est prescrit
C-Monsieur McLoed a peut-être un saignement gasto-intestinal en lien avec la prise d’Ibuprofen (Advil), car ce médicament peut-être la cause d’ulcères gastriques : il faudra faire une recherche de sang dans les selles
D-L’IRC cause des nausées et vomissements qui peuvent conduire à la malnutrition. La cause est donc probablement un manque de fer : il faudra en parler avec l’équipe traitante demain afin qu’ils prescrivent les labos appropriés
E- Peu importe la cause : il faudra faire une transfusion sanguine au patient si le résultat de l’Hb continue de baiser et que Monsieur McLoed devient symptomatique
Une altération chronique de la fonction rénale entraîne un déficit en érythropoïétine: il faudra s’assurer qu’un traitement hormonal de remplacement est prescrit
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Explanation:
A- La dilution peut expliquer une légère baisse de l’Hb, mais pas à ce point
B- Oui! Ce problème est présent chez toutes les personnes atteintes d’IRC à un stade avancé (Monsieur McLoed est au stade 4 selon la vignette clinique)
C- Il est possible que ce soit le cas, mais pas probable. On peut demeurer vigilant face à cette possibilité, mais ce n’est pas le meilleur choix de réponse ici
D- La malnutrition peut en effet entraîner des carences en fer. Mais rien dans la vignette ne laisse croire que le patient s’alimente et s’hydrate peu en général. Il s’agit plutôt d’un problème ponctuel. Et même s’il avait une carence en fer, son Hb est à 82, ce qui est très bas et s’explique mal avec seulement une anémie ferriprive
E- C’est vrai, mais ce n’est pas la meilleure réponse! Le traitement de remplacement hormonal avec érythropoïétine synthétique est privilégié avec les patients atteints d’IRC, car ceux-ci tolèrent généralement moins bien la surcharge volumique qui vient avec une transfusion sanguine.
Vous devez commander une diète pour Monsieur McLoed.
Quelles restrictions allez-vous indiquer au service de nutrition?
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A-Réduite en sodium
B- Réduite en potassium
C- Réduite en azote
D- Réduite en sucre
E- Réduite en phosphore
F- Réduite en lipides à
G- Réduite en calcium
Réduite en lipides
Réduite en phosphore
Réduite en sucre
Réduite en potassium
Réduite en sodium
Explanation:
A- Réduite en sodium : oui, pour IRA, IRC et HTA
B- Réduite en potassium : Oui, pour IRA et IRC
C- Réduite en azote : non, ça n’existe pas!
D- Réduite en sucre : oui, le patient est diabétique
E- Réduite en phosphore : oui, pour IRA et IRC
F- Réduite en lipides : oui, même si la dyslipidémie n’est pas nommée dans les antécédents du patient, à ce stade de l’IRC, elle est très courante et on peut présumer que c’est le cas. Réduire les lipides ne peut pas nuire à Monsieur McLoed!
G- Réduite en calcium : non, les patients atteints d’IRC ont souvent une problématique d’hypocalcémie, car le tractus intestinal est incapable d’absorbé le calcium en l’absence de vitamine D
En lien avec l’état d’acidose métabolique du patient, quelle manifestation clinique précoce et spécifique pourrait vous indiquer une détérioration de l’état du patient?
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A-Des convulsions
B-Des respirations profondes et rapides
C-Des nausées et des vomissements
D-De la tachycardie
E-Un astérixis
F-Une leucocytose
Correct Answer:
Des respirations profondes et rapides
Explanation:
A- Des convulsions : manifestation de troubles neurologiques
B- Des respirations profondes et rapides : Oui!! Ça s’appelle la dyspnée de Kaussmaul
C- Des nausées et des vomissements : non spécifique
D- De la tachycardie : non spécifique, plutôt signe de compensation par rapport à une hypovolémie
E- Un astérixis : manifestation de troubles neurologiques
F- Une leucocytose : dénote un trouble hématologique, mais n’est pas une manifestation de toute façon, c’est un résultat de labo!
Vous consultez le FADM (feuille d’administration des médicaments) de Monsieur McLoed. Quelles prescriptions vous semblent adéquates?
A Furosémide (Lasix) 150 mg PO BID
B Hydrochlorothiazide (HCTZ) 25 mg po DIE
C Sulfate ferreux 300 mg PO DIE
D Sevelamer (Renvela) 400 mg PO Q6H
E Erythropoïétine (Eprex) 40 000 UI s/c q jeudi
F Calcitriol (Rocaltrol) 0.5 mcg PO DIE
G Atorvastatine (Lipitor) 20 mg PO HS
H Ramipril (Altace) 10 mg PO DIE
I Ibuprofen 400 mg PO QID PRN
Correct Answers
Sulfate ferreux 300 mg PO DIE
Erythropoïétine (Eprex) 40 000 UI s/c q jeudi
Calcitriol (Rocaltrol) 0.5 mcg PO DIE
Atorvastatine (Lipitor) 20 mg PO HS
Ramipril (Altace) 10 mg PO DIE
Explanation:
A- Furosémide (Lasix) 150 mg PO BID: Non, lorsque l’IRA est installée, des diurétiques, surtout à forte dose, sont inefficaces, voire néfastes
B-Hydrochlorothiazide (HCTZ) 25 mg po DIE: Non, un diurétique épargneur de potassium n’est certainement pas indiqué avec une hyperkaliémie à 5.7
C- Sulfate ferreux 300 mg PO DIE : Oui, Rx habituel dans les cas d’IRC avancée
D- Sevelamer (Renvela) 400 mg PO Q6H : Non, le problème dans cette prescription étant le moment d’administration, et non le Rx lui-même! Les chélateurs de phosphates doivent être pris aux repas / en mangeant, sinon ils ne sont pas efficaces étant donné leur mode d’action (voir guide des médicaments)
E- Erythropoïétine (Eprex) 40 000 UI s/c q jeudi: Oui, et même souhaitable avec un résultat d’Hb omme celui de Monsieur McLoed
F- Calcitriol (Rocaltrol) 0.5 mcg PO DIE: Oui, il est adéquat d’administrer la Vitamine D sous une forme déjà activée, étant donné l’IRC du patient
G- Atorvastatine (Lipitor) 20 mg PO HS: Oui, la dyslipidémie étant habituelle dans les stades avancés de l’IRC, une statine est très souvent prescrite
H- Ramipril (Altace) 10 mg PO DIE: Oui, étant donnée l’HTA du patient un anti-hypertenseur de la classe des IECA est un bon choix
I- Ibuprofen 400 mg PO QID PRN : Non, ne jamais donner d’AINS à un patient qui présente de l’IRA ou de l’IRA (rechercher pour comprendre pourquoi :) )
Quels sont les désavantages spécifiques de ce traitement?
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A Il nécessite un équipement plus complexe
B Il peut aggraver la dyslipidémie
C Il augmente les risques de péritonite bactérienne
D Il occasionne des pertes de sang additionnelles qui aggravent l’anémie
E Il nécessite une intervention chirurgicale pour la mise en place du cathérer
F Il peut occasionner des problèmes d’hypotension durant les traitements
Correct Answers
Il nécessite un équipement plus complexe
Il occasionne des pertes de sang additionnelles qui aggravent l’anémie
Il peut occasionner des problèmes d’hypotension durant les traitements
Explanation:
A- Il nécessite un équipement plus complexe : VRAI, plus complexe que la dialyse péritonéale
B- Il peut aggraver la dyslipidémie : FAUX, c’est spécifique à la dialyse péritonéale
C- Il augmente les risques de péritonite bactérienne : FAUX, c’est spécifique à la dialyse péritonéale
D- Il occasionne des pertes de sang additionnelles qui aggravent l’anémie : VRAI
E- Il nécessite une intervention chirurgicale pour la mise en place du cathérer : FAUX, ce n’est pas spécifique car la dialyse péritonéale aussi, simplement, l’un est pour assurer un accès vasculaire, l’autre abdominal
F- Il peut occasionner des problèmes d’hypotension durant les traitements : VRAI
Monsieur McLoed est de nouveau hospitalisé pour DEG (détérioration de l’état général). Il a perdu 20% de son poids en 1 mois et présente un déséquilibre alimentaire significatif. Quelles évaluations et interventions infirmières pouvez-vous mettre en place afin de faire face à cette problématique spécifique?
Correct Answers
Référer le patient à une nutritionniste
Prodiguer des soins de la bouche avant les repas
Évaluation la présence de nausées afin d’intervenir au besoin
Surveiller l’apport calorique
Explanation:
A- Surveiller les I / E : NON, + approprié pour excès de volume liquidien
B- Référer le patient à une nutritionniste : OUI, cela permettra une meilleure planification nutritionnelle tout en respectant le régime recommandé
C- Écouter le patient exprimer les difficultés qu’il vit en lien avec sa situation : NON, plus approprié pour faire face au problème de deuil
D- Prodiguer des soins de la bouche avant les repas : OUI, peut prévenir la stomatite, éliminer le mauvais goût et accroître l’appétit
E- Évaluation la présence de nausées afin d’intervenir au besoin : OUI, pertinent
F- Fournir un apport suffisant en vitamine D (poisson, lait, etc.) : NON, cela pourra améliorer l’absorption de calcium, mais pas l’état nutritionnel général
G- Surveiller l’apport calorique : OUI, très pertinent
H- Peser le patient DIE : NON, DIE = surveillance de la volémie! Pour surveillance de l’état nutritionnel 1 x semaine est plus approprié.
Steve Vanier, âgé de 18 ans, est hospitalisé pour un TCC et hypertension intracrânienne. Il obtient un résultat de 12 sur l'échelle de glasgow.
Quels critères d'évaluations correspondent à ce résultat?
A)Pupilles isométriques et réaction lente à la lumière . Réponse verbale : aphasique . Réponse motrice. Présence de spasme
B)ouverture des yeux : à un stimuli verbal . Réponse verbale: désorienté . Réponse motrice : localisation de la douleur
C)Ouverture des yeux : spontanée . Réponse verbale ; aucune . Réponse motrice: force asymétrique.
D)Ouverture des yeux : spontanée . Réponse verbale ; orienté . Réponse motrice : réponds aux ordres verbaux
E)Pupilles isométriques et réactions à la lumière, Réponse verbale : inappropriée, Réponse Motrice : réponds aux ordres verbau
Réponse correcte:
ouverture des yeux : à un stimuli verbal . Réponse verbale: désorienté . Réponse motrice : localisation de la douleur
Explication :
a) Faux . L'évaluation des pupilles n'est pas dans l'échelle de Glasgow, ni l'aphasie, ni les spasmes.
b) Bonne réponse. Bonnes évaluations et résultat logique.
c) L'évaluation de la réponse motrice n'est pas une évaluation de force motrice mais plutôt de réponses aux ordres verbaux
d) Bonnes évaluations mais ne serait pas représentatif d'un score de 12/15 . Cette réponse est le score maximal soit 15
e) Pas d'évaluation des pupilles dans Glasgow.
Steve Vanier, âgé de 18 ans , est hospitalisé pour un TCC et hypertension intracrânienne. Il obtient un score de 12 sur l'échelle de Glasgow. Il présente d'autres signes d'augmentation de la PIC.
Quels autres manifestations cliniques en lien avec son état clinique pourriez-vous évaluer chez M. Vanier. Sélectionnez tous les éléments possibles.
A-Valsalva
B-Hémiparésie
C-Céphalée
D-Triade de cushing
E-Anisocorie
F-Coma
G-Vomissement en jet
Réponses correctes
Vomissement en jet
Anisocorie
Céphalée
Hémiparésie
____________________
Explication :
a) Valsalva n'est pas une manifestation, c'est la manœuvre de retenir/bloquer sa respiration et forcer !
D) La Triade de cushing est un signe tardif. Le patient a quand même un glasgow à 12, la triad de Cushing se présente a un score bcp plus bas.
F) le patient n'est pas en coma, il parle (même s'il est confu) et ouvre les yeux avec un stimuli
Quels seront vos évaluations lors de l'examen des pupilles?
Réponses correctes
La taille
Réflexe photomoteur
La symétrie
Réflexe à l'accomodation
La forme
Réflexe consensuel
_________________________
Explication :
N'écrivez pas juste PERRLA à l'examen, cela ne me montre pas que vous connaissez l'évaluation des pupilles.
Donc:
La taille (en mm)
symétrie de pupilles (égale)
La forme (ronde)
réactive à la lumière et à l'accommodation.
Et le réflexe consensuel (réflexe photomoteur indirect)
Le médecin vous demande de surveiller l'apparition d'une triade de Cushing.
Quelles sont les modifications des signes vitaux attendues lors de la triade de Cushing ?
A)Pression systolique basse
B)Pression systolique élevée
C)Pression différentielle basse
D)Pression différentielle élevée
E)Tachycardie
F)Bradycardie
G)Tachypnée
H)Bradypnée
I)Pouls faible
J)Respiration irrégulière et bruyante
K)Respiration régulière et longues pauses
Réponses correctes
Pression systolique élevée
Pression différentielle élevée
Bradypnée
Respiration irrégulière et bruyante
Bradycardie
Quelles interventions pourriez-vous accomplir pour maintenir la PIC de M. Vanier la plus basse possible?.
A)Baisser sa tête de lit à plat pour favoriser une bonne irrigation cérébrale
B)Monter la tête de lit à 90 degrés pour favoriser un retour veineux
C)Positionner le patient en évitant les torsions du cou, du dos et la flexion des hanches
D)Encourager le patient à tousser pour éviter les augmentations de pression intrathoracique et abdominale.
Réponses correctes
Maintenir la tête du lit à 30 degré, pour l'équilibre entre un bon retour veineux de la tête et une bonne irrigation cérébrale
Positionner le patient en évitant les torsions du cou, du dos et la flexion des hanches
Explication :
un bon alignement corporel lors de la mobilisation contribue a contrôler la PIC
Il faut éviter de tousser et non encourager. la toux augmente la pression intrathoracique et diminue le retour veineux de la tête, augmentant ainsi la PIC.
90degré est déconseillé puisque cela diminue l'irrigation cérébrale.
À plat augmente la PIC en diminuant le retour veineux et en augmentant l'irrigation artériel.
M. Vanier devra subir une tomodensitométrie avec produits de contraste. Afin de préparer le patient à son examen, vous validez ses résultats de créatinine et urée. Ils sont élevés.
Que faites vous?
A)Aviser le médecin de l'insuffisance rénale du patient.
B)Envoyer le patient en tomodensitométrie.
C)Proposer un verre d'eau au patient avant la tomodensitométrie.
D)Demander un patient si il est allergique à l'iode
Réponse correcte:
Aviser le médecin de l'insuffisance rénale du patient.
Explication :
L'examen sera fait soit sans produit de contraste ou l'insuffisance rénale sera résolu avant l'examen si ce n'est pas urgent.
Le produit de contraste est éliminé par les reins. Si le patient est en insuffisance rénal, cela peut amener des complications
un verre d'eau pourrait aider à réhydrater le patient si c'est la cause de l'insuffisance rénale actuellement, on ne le sait pas et ce ne serait surement pas suffisant.
L'allergie à l'iode est à valider certe mais il faut aviser des résultats de créatinine et urée.
M. Vanier urine beaucoup, a très soif et ses excrétas quotidiens ont quadruplés.
Quels tests de laboratoire le médecin pourra prescrire pour diagnostiquer un problème de santé et dépister des complications.
Pensez-vous que c'est le diabète insipide ou le SIADH?
A)Analyse d'urine
B)Densité urinaire
C)Na+
D)FSC
E)Fonction rénale
F)osmolalité sérique
G)osmolalité urinaire
H)Diabète insipide
I)SIADH
éponses correctes
Diabète insipide
osmolalité urinaire
osmolalité sérique
Na+
Densité urinaire
__________________________
Explication :
B, F, G: Ces tests sont utilisés pour confirmer le diagnostic.
C: Le Na+ sera fait pour dépister un déséquilibre ( l'hypernatrémie dans ce cas de Db insipide) mais pas pour le diagnostic.
Le suivi du Na+ sera fait dans les cas de Db insipide et de SIADH et sera corrigé par des Rx si l'hyponatrémie ou l'hypernatrémie survient.
La fonction rénale , la FSC et l'analyse d'urine n'ont pas de lien direct avec le DI.
M. Vanier se voit prescrire des corticostéroïdes afin de diminuer l'oedeme cérébrale. Nommer deux choses à intégrer à votre enseignement auprès de m. vanier . ( il va mieux assurément :) )
A)Prendre le soir avant le coucher avec un grand verre d'eau
B)Éviter le sevrage brusque
C)Prendre à jeun
D)Surveiller ses mictions/excréta
E)Surveiller sa glycémie
Réponses correctes
Éviter le sevrage brusque
Surveiller sa glycémie
Explication :
Le médicament doit être pris en mangeant idéalement. Il peut causer de la faim et de l'agitation donc éviter HS. Les mictions ne sont pas a surveiller, il n'y a pas de lien avec l'élimination urinaire.
Les cortico, comme le décadron, causent souvent des troubles métaboliques comme des hyperglycémie
Le sevrage brusque peut créer une insuffisance surrénale
Diurèse aug ou baisse SIADH/DB insipide
SIADH: baisse
DB insipide: Aug
Densité urinaire aug ou baisse SIADH/DB insipide
SIADH: aug
DB insipide: baisse
Sodium sérique aug ou baisse SIADH/DB insipide
SIADH: baisse
DB insipide: aug
Osmolalité urinaire aug ou baisse SIADH/DB insipide
SIADH: aug
DB insipide: baisse
Osmolalité sérique aug ou baisse SIADH/DB insipide
SIADH: baisse
DB insipide: aug
manifestations triade de cushing
1. Détérioration neurologique : céphalée, ↓ état conscience (léthargie, délai réponses, ralentissement élocution), V en jet, Modif pupilles (taille/symétrie, compression nerf oculomoteur -> ↓réflexe photomoteur, réflexe lent, anisocorie, mydriase), signe de babinski, œdème papillaire fond d’œil, ↓ réaction dlr
2. Modif SV : affection centres respiratoires/cardiaques (Respiration Cheyne-Stokes ,bradypnée, bradycardie, ↑ PA), Élévation température (infection -> état clinique antérieur, problème de thermorégulation)
3.TRIADE DE CUSHING -> ↓FC ↓ FR ↑ PA (compression bulbe rachidien + sécrétion catécholamines = arrêt cardiorespiratoire, mort cérébrale, Mort)
Manifestations HTIC
-Céphalées
-Vomissements en jets ✗ Nausée
-Altération état de conscience
-Changements des signes vitaux
-Signes oculaires: dilatation ipsilatérale, réponse lente/ nulle à lumière, incapacité à diriger œil vers haut, ptose paupière
Pupille fixe + dilatée unilatéralement = urgence neurologique
Dysfonction nerfs crâniens = vision brouillée, diplopie, modifications mouvements abducteurs d’œil.
Hernie uncus = mydriase unilatérale
Œdème papillaire = signe non spécifique ↑ PIC
-Détérioration fonctions motrices
-Convulsions
Interventions non pharmacologiques HTIC
-Au besoin aspirer sécrétions accumulées
-installation canule oropharyngée facilite respiration + aspiration sécrétions client comateux (si trachéo)
-tête à 30 degrés
-toux
-sonde nasogastrique (contre-indication fracture crâniennes/ faciales -.> sonde orogastrique)
-faire bilan électrolytique DIE
-surveiller débit urinaire
-Mesure PIC
-ajuster position corps pour baisser PIC
-mobiliser client lentement/ délicatement
-utiliser judicieusement moyens de contention pour client agité
- fournir enseignement/soutient émotionnel patient/ famille
- ↓ stimulis,
-soulager fièvre
-maintenir perméabilité respiratoire
pourquoi donner manitol
↓ oedeme cérébral
glomérulaire inhibant réabsorption eau+ électrolytes
baisse oedeme = baisse PIC
pourquoi donner dextaméthasone
Prise en charge de l'œdème associé aux tumeurs cérébrales (baisse oedeme céré)
baisse oedeme = baisse PIC
surveillances manitol
SV, suivre symptômes déséquilibre électrolytiques survieller diurèse, noter état neurologique + PIC
surveillances dextaméthasone
Avant le traitement et à intervalles réguliers pendant toute sa durée, rester à l'affût des signes suivants d'insuffisance surrénalienne pouvant être due à un arrêt brusque : hypotension, perte de poids, faiblesse, myalgie, arthralgie, fièvre, nausées, vomissements, hyperkaliémie, anorexie, léthargie, confusion, étourdissements, desquamation de la peau, agitation, évanouissement. Ce type d'insuffisance relative peut persister jusqu'à 1 an après l'arrêt du traitement. Il faut reprendre la corticothérapie en cas de situation de stress.
Effectuer le bilan quotidien des ingesta et des excreta et peser le patient tous les jours. Suivre de près l'apparition d'un œdème périphérique, de râles et de crépitations ou de dyspnée, ainsi qu'un gain de poids constant. Prévenir le médecin ou un autre professionnel de la santé si ces symptômes surviennent.
Noter à intervalles réguliers la croissance chez les enfants.
Surveiller à intervalles réguliers la pression artérielle.
_________________
suivre apparition céphalée (schéma answer)
echelle glasgow
définition HTIC
PERRLA
types de TCC
lacération du cuir chevelu
Fx du crâne
TCC diffus
fracture crâne + commune
Base crâne
définition fracture base crâne
-Évolution en qq h
-ecchymoses périorbites (yeux raton)
-signe de Battle ( eccyhmose rétroauriculaires)
-rhinorrhée
-Otorrhée de LCS ou tissus cérébral (écoulement oreille) → risque ménigite élevé donc admin antibio
saillie membrane tympanique causé par sang ou LCS ; ; ;acouphènes ou problème d’audition ; paralysie faciale ;déviation conjuguée des yeux, vertige
Lacération du cuir chevelu
lacérations avec beaucoup de sang (blessure externe)
Fx du crâne
linéaires, comminutives, enfoncées, ouvertes ou fermées
TCC diffus
Traumatisme cranio cérébral : cerveau lésé (accompagné ou non de crane/ cuir chevelu lésé)
3 types tcc diffus
Commotion, LAD, Lésion focale
symptômes commotion
-brève perturbation de l’état de consience
-amnésie de l’évènement (amnésie rétrograde)
-céphalées
-photophobie
manifestation généralement courte durée
syndrome post commotionel
-2 semaines à 2 mois post trauma
-céphalées persistantes
-léthargie
-fatigabilité
-changements de personnalité + comportement
-capacité attention réduite
-baisse mémoire court terme
-changements touchant les capacités intellectuelles
LAD
dommage autour axones présents dans substance blanche sous-corticale des hémisphères cérébraux, noyau lenticulaire, thalamus, tronc cérébral(survient 12-24h après trauma)
Signes cliniques : ↓état conscience, hypertension intracrânienne, posture de décortication/ décérébration, œdème cérébral général (90% état végétatif)
surveillance vigilente signes HTIC
Lésion focale
contusion →l’ecchymose du tissu cérébral associé TTC fermé
Peut présenter zones d’hémorragie, infarctus, nécrose, œdème.
complications fractures crâne
infections + hématome
que faire si soupçon fx base du crâne
placer sonde nasogastrique PO pour éviter que le tube ne se loge par inadvertance dans le cerveau pendant installation
Comment se passe Diabète insipide
Hyposécrétion d’ADH ou pae diminution réponse rénale à l’ADH
Diabète insipide central
atteinte à l’hypothalamus, infundibulum ou hypophyse postérieure cause : tumeur cérébrale, trauma craniocérébral, chx cerveau, infections SNC
Diabète insipide néphrogénique
réponse rénale adéquate cause= RX, lésions rénales ou maladie rénale
Diabète insipide primaire
apport hydrique excessif cause= atteinte structurelle centre soir ou trouble psychologique
Manifestations cliniques Diabète insipide
-polydipsie et polyurie
-5-20 L d’urine/ jour
-faible densitié / osmolarité urinaire inf à 100 mmol/Kg
-hausse osmolarité sérique sup à 295 mmol/kg
Examen clinique neurologique
-Pupilles
-État mental
-Fonction motrice
-Masse+ volumes musculaires
-Tonus
-Réflexes pathologiques
3 types d’hématomes (complications)
-Hématome épidural
-Hématome sous-dural
-Hématome intracérébral
hématome epidural
siagnement espace épidural, origine artérielle ou veineuse, déchiré + souvent par fracture crâne. apparait vite, sousmis Haute pression→ urgence neuro
hématome epidural signes
période d’inconscience, intervalle lucidité, nouvelle ↓ état de conscience.
Céphalées, N/V, signes focaux
Hématome sous-dural
Saignement entre dure-mère + couche arachnoïdienne des méninges
+ souvent origine veineuse
24-48h post trauma
Hématome sous-dural signes symptomes
Dim état conscience + céphalées
Somnolence, confus, inconscience, pupille ipsilatérale se dilate, devient fixe si PIC ↑ bcp
Peut provoquer importantes lésions cérébrales sous-jacentes œdème cérébral concomitant.
Si chronique, apparait semaines / mois après TCC
+ commun chez personnes âgées
Hématome intracérébral
Cause : saignements intérieur tissu cérébral 16% TCC
Hématomes affectants lobes frontaux/ temporaux, découlent possiblement rupture vx intracérébraux lors de lésion
types d’hématomes sous-duraux, apparition consécutuibe de blessure, évolution des symptomes et traitements
échele AVPU
échelle de coma de glasgow
réactions pupillaires
isocorie
pupilles normales
mydriase
pupilles dilatées
myosis
pupilles contractées
anisocorie
pupilles dimension inégales réagissant différanment
pupilles moyennes fixes
pupilles moyennes fixes
PERRLA
Pupilles. Les pupilles sont au centre de l’iris, qui est la partie colorée de votre œil. Ils contrôlent la quantité de lumière qui pénètre dans l’œil en rétrécissant et en s’élargissant.
Égaux. Vos pupilles doivent être de la même taille. Si l’un est plus grand que l’autre, votre médecin voudra faire des tests supplémentaires pour comprendre pourquoi.
Ronde. Les pupilles doivent également être parfaitement rondes, de sorte que votre médecin vérifiera si elles présentent des formes inhabituelles ou des bordures irrégulières.
Réactif à. Vos pupilles réagissent à votre environnement pour contrôler la quantité de lumière qui pénètre dans vos yeux. Cette étape rappelle à votre médecin de vérifier les réactions de vos élèves aux deux éléments suivants de l’acronyme.
Lumière. Lorsque votre médecin fait briller une lumière dans vos yeux, vos pupilles devraient rétrécir. Si ce n’est pas le cas, il pourrait y avoir un problème avec vos yeux.
Logement. L’accommodement fait référence à la capacité de vos yeux de voir des choses qui sont à la fois proches et lointaines. Si vos élèves ne réagissent pas à l’accommodation, cela signifie qu’ils ne s’ajustent pas lorsque vous essayez de déplacer votre attention vers un objet situé à distance ou près de votre visage.
neuro anomalies courantes
État mental -> altération état consicence
Langage -> Aphasie/ dysphasie, Dysarthrie
Yeux -> aniscorie, Diplopie, Hémianopsie homonyme
Nerfs crâniens -> Dysphagie, ophtalmoplégie
Œdème papillaire
Système moteur-> Apraxie, Ataxie, Dyskinésie, Hémiplégie,Nystagmus
Système sensoriel-> Analgésie, anesthésie, paresthésie, Astérognosie
Réflexes-> modif reflexe cutané plantaire (réflexe babinski positif), modif réflexes ostéotendineux profonds
Moelle épinière -> paraplégie, tétraplégie
Dysfonctionnement vésical -> Atonie (SNA), hypotonie,hypertonie
Examens paracliniques neuro
-Analyse LCS-> ponction lombaire -> méningite
-Radiographies crâne + colonne vertébrale, TDM ou IRM cérébrale, TEP, ARM
-EEG,EMG ou potentiels évoqués
-Angiographie cérébrale (visualisation vx sanguins), doppler carotides/transcrânien, tomographie, miellographie
enseignement surveillances congé commotion cérébrale
Aviser MD si
-somolence accrue
-N/V
-Aggravation céphalées / raideur nuque
-Convulsions
-Problèmes vision
-Changement comportement
-problèmes moteurs (maladresse, difficulté marcher, troubles élocution, faiblesse bras/ jambes)
-anomalies sensorielles (engourdissement)
- FC inf à 60 batt/min si inhabituel
recommandations congé commotion cérébrale.
Avoir qqn près
Éviter alcool
Éviter conduite, opérer machinerie lourde, sports de contact, bains chauds
analyses sanguines + liens TCC /chx intracrânienne
o FSC-> surveiller plaquettes, HB, hématocrites
o E+ : K+-> taux anormal = spasme musculaire, Na+ -> complication possible diabète insipide, urée, créat., glycémie -> surveiller hyperglycémie dexaméthasone, trauma crânien peut ↑ glycémie
o Densité urinaire -> lien diabète insipide (osmolarité)
Nommer les 4 rôles du rein
1- fonctions endocrines
2-régulation équilibre phosphocalcique
3- régulation équilibre acidobasique
4- régulation volume liquidien
5- excrétion des produits de dégradation métabolique
fonctions endocrines rein
1- érythropiétine= stimule prod GR par moelle osseuse rouge
2- vit D active= aug absorbtion intestinale du calcium + phosphate/ Favorise minéralisation osseuse
3 système rénine/ angiotensine → régulation PA, aug vasocontriction périphérique
hormones vasoactives (prostaglandine et P.A) = vasodilatation → aug DS rénal favorise excrétion Na +/ Abaissent RVS
apparition Insuffisance rénale aiguë (IRA
soudaine (1-7 jours) (peut se former en l’Absence d’affection rénale préexistante ou en présence d’une IRC →peut aussi progresser vers IRC)
Cause + fréquente IRA
Nécrose tubulaire aigue
critère diagnostic IRA
Élévation créatinimie ou réduction rapide du débit urinaire
cause de mortalité IRA
infection
apparition IRC
Graduelle, souvent nombreuses années
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stade 1: + de 90% fonction rein , fonction normale/ sup à normale
stade 2: 60-89% rein → fonction rénale inf à normale
stade 3a: 45-59% → insuffisance rénale de faible à modérée
stade 3b: 30-44% → insufissance rénale de modéreée à grave
stade 4: 15-29 % insuffisance rénale grave
stade 5: < 15% Insuffisance rénale terminale (IRT)
cause + freq IRC
Néphropatie diabétique
critère diagnostic IRC
DFG moins de 60 ml/min pendant plus 3 mois ou atteinte rénale depuis plus de 3 mois
cause de mortalité IRC
maladie cardiovasculaire
IRA: Expliquer les causes physiopathologiques Prérénales
IRA: Expliquer les causes physiopathologiques Intrarénales
IRA: Expliquer les causes physiopathologiques Postrénales
IRA: Expliquer et reconnaitre la phase oligurique d’évolution de l’IRA
IRA: Expliquer et reconnaitre la phase diurétique d’évolution de l’IRA
IRA: Expliquer et reconnaitre la phase rétablissement d’évolution de l’IRA
Décrire les manifestations cliniques d’une IRA
IRC: Expliquer les changements physiopathologiques (stade de la maladie) et à partir de quel stade il y a des symptômes et lesquels
1/2 :Asymptomatique
Labos: Mécanisme de compensation des néphrons (hyperfiltration) = azotémie, acides-bases, liquides et équilibre E+ maintenus dans les limites de la normales
3: Asymptomatique
Labos: ↑ créat, urée, PTH
Clinique: +/- fatigue (anémie)
4: Labos modérés: Détérioration DFG, anémie, acidose, hypocalcémie, hyperphosphorémie et hyperkaliémie
Clinique: possible S/S modérée mais c/p peut être tolérant car apparition graduelle
5: Aggravation des manifestations précédentes
Appelé aussi IRT = Insuffisance rénale TERMINALE
Si pas de prise en charge = syndrome urémique (ou urémie) = atteinte de plusieurs systèmes
IRC: Nommer facteurs de risques + faire les liens pathophysiologiques
Diabète, âge, HTA, hérédité, habitude de vie lien facteur socio-économique, substance néphrotoxique, maladie cardiovasculaire
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1 :Diabète! Néphropathie diabétique / dommages microvasculaires
# 2: HTA : prolongée et non contrôlée = dommages vasculaires
# 3: Vieillissement >60 ans: -1 ml / min / an de DFG à partir de 30 ans...
Normalité = 125 ml/min/1,73 m2
Mais les reins s’adaptent et compensent souvent ad 70 ans ☺
+ de 70 ans = ↓ du nombre de néphrons et de leur capacité de filtration
#4: ExpositionS à des substances
néphrotoxiques
#5: Multiples épisodes d’IRA : on ne
retrouve pas toujours 100% de sa
capacité de filtration!
#6: «Ethnicité»..