les facteurs principaux de criminalité

théorie criminaliste

pol criminelles et inefficience des sanctions pénales.

Idéologie sécuritaire : pol criminelle contemporaine peu dissuasive et nourri donc la criminalité. Taux de criminalité tiens à présence de super-délinquants récidivistes plutôt que de l’arrivée sur le marché de nouveaux délinquants.

Faut qu’I° puissent mettre en œuvre pol mais difficile en cas d’absence de moyens.Q° des systèmes de ctrl extra-pénaux =DURKHEIM recours sanctions légales que si les autres sont insuffisantes.

théorie socio-économique

Influence du facteur économique (⚠≠ théorie économique calcul cout/bénéfice infraction), facteurs éco influence sur tendance évolution des infractions contre les personnes et les biens.

MARX et ENGELS érigent pauvreté comme facteur lourd de criminalité.

théorie culturaliste - théorie

= conduites des indiv sont orientés par un système de valeur socio-morale, criminalité que le reflet d’une défaillance dans ce système.

Défaillance: décalage DP et exigences morales sct.

1. DP doit correspondre aux exigences morales de la pop sinn insatisfait et délinquance se multiplie

2. révolution industrielle bouleverse et nulles exigences morales

3. DP et I° répressives ont pas su suivre

théorie culturaliste - éclatement des valeurs éthiques

jusque récemment consensus sur règles à adopter et observer, hors bouleversement avec diversification et individualisation des sct au détriment de règles d’ensemble, « mosaïques de règles socio-morales ».

France tradition égalitariste mais ajd coexiste des législations groupusculaires eg; peine de mort, adoption du mariage pour tous…

Éclatement conduit à affaiblir les contrôles(sociaux, fam, pénaux) donc émergence desous cultures délinquantes, rassemblements…

auteurs - éclatement des valeurs

PINATEL d’une criminalité dans sct dominée par individualisme, sct portent comme obj fondamentaux le prestige social/argent

MERTON strain theory

histoire - éclatement des valeurs

Années 70s critiques de la morale traditionnelle, émergence de morales individuelles et idée tournées vers la transgression de règles pénales Eg; banaliser usage de stup, mise à mal autorité parentale…

→Affaiblissement des ctrl donc autres formes de transgression.

→ Libéralisation des mœurs et acceptation de comportement autrefois incriminés eg; IVG en 1975, homosexualité retirée maladies mentales de l’OMS en 1991.

capitalisme et criminalité

délinquance en col blanc, prospérité qui multiplie les opportunités criminelles (biens à voler)… Mais en mm temps atténuation du besoin, pénurie qui était terreau majeure de criminalité eg; fin marché noir.

catalyse v catharsis

• Catalyse: habitude d’assister à des scènes de violence finirait par déclencher un acte de violence.

• catharsis: violence médiatique purgerai les individus de leur frustration, vaux mieux se déchainer sur les jeux vidéo que dans la vraie vie.

données sur enfance et écran

• Age de 18ans enfant à déjà assisté à 16 000 meurtres et 200 000 actes de violences sur le petit écrans. 

• Violence a tjrs existé mais ce qui est nouveau est le développement par les médias (nombre et forme).

  • 9/10 ménages ont accès à internet en France

  • enfants regardent 20/30h d’écran par semaine

  • moyenne de 12h par semaine à la pratique des jeux vidéo

  • 6,3 écrans par foyer

Films suivis de crimes 

• Scream 2002 un lycéen de Nantes s’était déguisé et avait poignardé une amie.

• Tueur né retrace odyssée criminelle d’un couple qui se sert des médias pour devenir stars de l’actualité, dénoncé pour ultraviolence. 1994 couple parisien Florence Ray et Audry Mopin s’embarque dans épopée sanglante dans Paris, de Nation à Vincennes. 1998 Florence condamnée à 20ans RC, affiche retrouvée au domicile du couple

• tentative assassinat Reagan insipiré par de Niro dans Taxi driver

impact physique des écrans - théorie

Mécanisme d’amorçage=

• distorsion réalité = violence plus présente donc peur et souhaite se protéger. syndrome du grand méchant monde

• habitude = serait moins choqué face à violences réelles

impact physique des écrans - études

Académie américaine de pédiatrie, violence dans les médias un des facteur rp des agressions et des violences réelles = enfants âgés de 2-5ans chaque heure de programme violent quadruplerait probabilité d’observer troubles du comportement de manière immédiate et dans les 5ans qui suivent.

Blandine BARRET-KRIGEN la violence à la télévision, impact de la diffusion de scène violente sur comportement des + jeune et retard France par rapport autres pays européens.

jeux video et interne

Jeux vidéos. Impact violence est plus profond (affaire bois de Boulogne). Lié au rôle actif du joueur,  récompense encourage indiv à persévérer. + jouer en réseau qui conduit à débordement. Produit chez indiv de la dopamine, cortex préfrontal en sous activité donc régule plus aussi bien ses émotions.

Internet. Terrain d’action infini pour les délinquants, recel numérique. Relai et support pour infractions commises physiquement, se en conta. Mise en contact d’individus, apprendre comment réaliser infractions…

phénomène de contagion

(cf TARDE imitation).

Effet Carpentras : profanation sépultures juives à Carpentras, médiatisation conduit à ce qu’actes actes similaires se reproduisent.

Pourquoi médiatiser si risque de donner des idées ? imitation à travers copy-cat crimes : crimes commis par mimétisme juste pour battre un record eg; st silvestre incendier un certain nombre de voitures.

explication multifactorielle - CUSSON

1. importance classe d’âge 14-25 ans et degré intégration soc

= conjoncture fam/sco/entrée marché travail. De + en + isolés

2. ampleur des occasions de délinquance

= réunion lieu, moment, circ favorables

3. sens de l’évolution du système repressif

= inefficacité croissante systeme de rp pénale