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quels sont les trois piliers dans image et narration ?
1- gros plan
2- la continuité
3- le 4e mur
à quoi correspond le gros plan ?
matériel du montage, anti naturel, une des spécificités du cinéma
faire une émotion par la technique: effet kouletchov
à quoi correspond la continuité ?
c’est le montage entre 2 plans (pas une évidence)
qu’est-ce qu’a dit Eisenstein ?
“les perspectives cinématographiques sont telles qu’un cafard filmé en gp, il paraît sur l’écran 100x plus redoutable qu’une 100enne d’éléphants prit en plan d’ensemble”
le cinéma fait quoi ?
transforme la réalité: les perspectives sont ≠ de celles du réel → option de modification
le montage exprime quoi ?
un avis politique
qu’avons nous vu dans le film The Big Sleep ?
montage linéaire, plan raccord regard/mouvement/ sonore/ dans l’axe
ambition de nous faire oublier le montage
raccord axe + mouvement: deux mouvements dans l’axe en 1
ellipse par le fondu enchaîné (rupture temporelle évidente ou non) ≠ de E
gp: pas réaliste contrairement à l’arrivée du parlant
qu’avons nous vu dans le film Notorious ?
plans plutôt larges, se resserrent de + en + puis plans serrés (go visage/clé)
semi objectif et subjectif
personnages dans environnement objectif → quand on change de plan il devient subjectif (pas le choix on doit regarder son visage)
éviter décors etc, pas de liberté de mvt
+subjectivité temporelle
baise main: scène protocole qui devient obscène
on est presque regardé par la mère
réalisme est différent de ?
vraisemblance
qu’avons nous vu avec il était une fois dans l’ouest ?
règne du go, du groupe avec membres qui s’éloignent
Léon vs Ford
qu’avons nous vu dans le fil La jeune fille et l’eau ?
pas de c-c-c car pas de rapport
cadre= cache → transformer irl rapport vérité (Bazin)
qu’avons nous vu dans Je tu il elle ?
pas de c-c-c , pas dans sa subjectivité mais on sait qu’il n’a personne à qui s’adresser par le manque de c-c-c
pourquoi garder les mouvements supposés intéressants, documentaire de la vie qu’on ne pourrait pas voir avec un autre cinéaste
perso principal hors cadre
le trou= enjeu de la narration
→ long plan, cohost concrete, acteurs donnent personne
Qui est Dedet Ian ?
un monteur qui construit de manière particulière le montage
que dire sur À nos amours de 1981?
instants de vie + ellipse+ narratif: déroulé de la journée
lutte contre scénario, scène déjà commencée + on part avant que ça finit : assez développé pour spectateur comprenne sans avant/fin → coupe du dialogue
rester connecter au présent des personnages, pas besoin démonstration
exister en dehors de la scène
rester avec elle et ses émotions
filmer jusqu’au sourire qui se défait
fenêtre ouverte : altérité avec les cheveux, sensualisme, entre le monde qui bouge à l’EXT et elle INT
manière de Pialat (presque héritier des Lumières)de relier l’affectif:
+émotion que narration/ compréhension: on coupe la scène avant que ce soit trop conclusif: dimension scénario
montrer des blocs d’affect et d’émotions
in media res :
action déjà commencée, constamment plonger dans personnage→ rigoler puis ensuite s’en empêche : côté moral: d’où vient sentiments/paroles (double sens)
Que dire de Pialat ?
il aime la peinture (impressionnisme) + pouvoir émotionnel couleurs: projet esthétique
→ véhicule émotion: plongée nuit
réinventer un film par le montage:bousculer tournage
ne porte pas de jugement pour ce qu’il filme : pas de prise de position
la vérité documentaire : inspiration irl
PEU IMPORTE FAUX RACCORD TANT PAS FAUX RACCORD ÉMOTION
montage: rapport organique entre les plans
rapport dialectique % scènes violentes
que dire de Loulou en 1980 ?
contrechamp déceptif, commencer par perso secondaire: coeur sujet film sur rejet→ est-ce que attirance physique suffit ?
changement lumière radical
montage: pas de rencontre → importance ailleurs: dansent ensemble → se joue dans regard/ langage corps
coupe avec 2 prises: passe de l’autre côté: forme de vérité documentaire→ temps long dans plan
2 couleurs séparation des 2
plan large à plan rapproché: intimité + dispute → eux 2 centrés même si bruits autour: Loulou fait intrusion intimité
2e jumpcut: accentue violence gifle+ arrivée plan inattendue
tentation c-c-c mais besoin pas la car mise en scène
monter par l’émotion
tête personnage fait pivot entre les 2
jeu (trop) intense pour mettre au second plan le faux raccord → jeu pur au ressenti des acteurs : dépasser les limites
plan perso secondaire : manque empathie dans regard: se rattacher à la fiction car voir que c’est réel: pb éthique car on sort de la diégèse
pierre bresson et pickpocket ça dit quoi ?
manière de jeu des modèles pas des acteurs
50’s acteurs théâtraux → contrepied, jouer neutre
20-30-40 prises: perdre l’intention→ highlight sur la forme
pas de plan moyen qui prouve que sa main a lui volé à elle
entre la tête et les mains: cliver
enlever tout ce qu’il estime n’est pas nécessaire
réduire pour nous concentrer et monter en intensité
rythme visuel avec le sursaut mais séparation entre haut/bas
montage qui induit plutôt que montre
reconstruire événement dans nos têtes : importance montage
qu’est-ce que la logique poétique et où on la retrouve ?
c’est de croire avoir vu un évènement c’est pas si éloigné de l’effet Kouletchov et ca se retrouve dans Pickpocket de Robert Bresson
que dire de une femme douce de Robert Bresson ?
comment filmer sa mort sans que ce soit direct ?
avec l’écharpe blanche: possibilité métaphorique/ poétique
quel est le film qu’on a étudié de Claire Denis ?
The intruder en 2004 qui porte sur un évènement qui ne s’est pas passé
qu’est ce qu’on a vu dans le film L’argent de Robert Bresson ?
passer par un raccord pour ne pas filmer une action
répugnance à la violence directe
puissance iconique d’une plan: main/ poing
se concentrer sur le + important/ essentiel
échange entre 2 termes, 2 persos qui se comprennent même si séparation → pas de raccord regards
double fond: 5 noisettes/ 5mirts (métaphore des vies arrachées)
le noir de sa veste : un mort qui arrive: entre le symbolisme et le réalisme
passer d’un moment calme jour à un passage de violence la nuit : négatif : 3 voiles blancs/ noirs, pas de transition
montage sanglant et brutal: adoucir par le son
déshumanisé par le fait qu’il n’est pas montré