Les glucides dans l’alimentation des ruminants

Quel part a les glucides dans la maière sèche de la ration (MS)

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Le rumen est le …. À réceptionner le bol alim. Il est …. et riche en …. qui vont …. les

glucides pour leurs propres …… et les …., qui sont les …. des micro-organismes, sont utilisés par les ruminants. Certaines molécules sont retenues par les bactéries pour leurs besoins vitaux, d’autres sont libérées dans le rumen pour les besoins des RT : c’est une véritable …..

Le rumen est le premier organe à réceptionner le bol alimentaire. Il est volumineux et riche en microorganismes qui vont fermenter les

glucides pour leurs propres besoins énergétiques et les AGV, qui sont les déchets des micro-organismes, sont utilisés

par les ruminants. Certaines molécules sont retenues par les bactéries pour leurs besoins vitaux, d’autres sont

libérées dans le rumen pour les besoins des RT : c’est une véritable symbiose.

V(rumen) = …L bovin adulte, dont …L de volume utile

V(rumen) = 200L bovin adulte, dont 100L de volume utile

Phase solide Et liquide definition

Phase solide = particules qui viennent d’être ingérées qui vont ensuite être ruminées

phase liquide = particules qui sont vidangées et qui passent dans le reste des estomacs.

Ecosystème …érobie → CO2 et CH4 éliminés par …

- T° élevée (….-….°C) → pourquoi?

- pH …-… → tamponné grâce à ….

Ecosystème anaérobie → CO2 et CH4 éliminés par éructation

- T° élevée (39-40°C) → fermentations bactériennes exothermiques

- pH 5,6 – 6,8 → tamponné grâce à la salive riche en bicarbonates et phosphate de sodium

….. perpétuel dans le rumen, constant dans le tps (impossible de mettre un RT à jeun). Milieu

approvisionné en permanence par l’alim du RT : qd rumen remplit, il …… …. …, et …. (via les μ-org) puis

….. le rumen (évacuation de la partie liquide et langue de fourrage qui s’…..). Tant que vidange pas faite,

l'animal ne remange pas. Certains aliments + longs à digérer stagnent + longtemps et ingestion retardée.

Rq : il n’y a pas ….. ni …… synthétisées dans le rumen → tout est réalisé par les micro-organismes.

Brassage perpétuel dans le rumen, constant dans le tps (impossible de mettre un RT à jeun). Milieu

approvisionné en permanence par l’alim du RT : qd rumen rempli, il arrête de manger, et digère (via les μ-org) puis

vidange le rumen (évacuation de la partie liquide et langue de fourrage qui s'abaisse). Tant que vidange pas faite,

l'animal ne remange pas. Certains aliments + longs à digérer stagnent + longtemps et ingestion retardée.

Rg : il n’y a pas d’amylase salivaire ni d’enzymes digestives synthétisées dans le rumen → tout est réalisé par les

micro-organismes.

Les 3 microorganismes du rumen

Champignons, protozoaires, bactéries

Bactérie: combien d’espèce différentes, les deux grands types avec ph et rôle

200 espèces différentes ≈ 10 milliards/mL. On trouve :

- Bactéries fibrolytiques (cellulolytiques) → digestion fibres et les glucides pariétaux, favorisée à pH>6.

- Bactéries amylolytiques → amidon (majoritairement), favorisées à pH<6.

Protozoaires, nombre d’espèce, ph, rôle

20 espèces de ciliés ≈ 1million/mL, 6<pH<7→ régulation de la population bactérienne (amylolytique surtout) car

prédateurs des bactéries. Non indispensables.

Champi, nombreux ou pas nb, rôle

Minoritaires, 8% de la biomasse (peu nb mais gros). Digestions des constituants peu dégradables (lignine), mais

action très lente, donc n’ont pas le temps de digérer ces molécules avant la vidange du rumen.

Relations entre les micro-org

Etablissement de chaînes symbiotiques entre les μ-org : dysfonctionnement d’1 maillon perturbe tte la chaîne ➔

équilibre biologique stable mais fragile et très dépendant du substrat alimentaire

Où sont digérés les glucides, la lignine digérée ou non

Tous digérés dans le réticulo-rumen (glucides pariétaux et cytoplasmiques). Seule la lignine (pas un glucide) pas

digérée par les enzymes bactériennes → la capacité des microorganismes à digérer les glucides pariétaux dépend

donc de l’âge de la plante car, au cours du développement, les parois végétales s'imprègnent de lignine ce qui freine

la digestion par l'animal.

Rq : glucides cytoplasmiques → amidon lent

moins bien digéré que l’amidon rapide car

moins fermenté dans le rumen.

Def Fermentescibilité

Fermentescibilité = quantité fermentée (dégradée) / quantité totale :

capacité de digestion d’une molécule par les micro-organismes. Elle

est exprimée en % de substrat disparu par heure.

Pectine sucre et amidon rapide plus ou moins fermentiscible que hemicellulose, cellulose, amidons lents et lignine ?

Pectines, sucres et amidons rapides sont bcp + fermentescibles

que les hémicelluloses, celluloses, amidons lents et lignine.

Ou est digéré l’amidon résiduel et les fibres résiduelles?

Seront digérés dans l’intestin l’amidon résiduel (intestin grêle)

et les fibres résiduelles (gros intestin), comme chez les monogastriques

Le schéma est à comprendre mais pas de rapport

Amylose rapide et lente diff

amidon rapide : riche en amylopectine, il est donc très ramifié ce qui offre de

nombreux points d’attaque pour les amylases bactériennes. Exemples : les grains de maïs,

le sorgho ou encore la pomme de terre crue

→ amidon lent : riche en amylose, il est beaucoup moins ramifié et donc moins

accessible aux amylases bactériennes.

On peut en donner quelques unes à un ruminant mais on cherche à limiter.

- Les glucides simples libérés sont directement utilisés par les micro-organismes, donc

plus l’amidon est lent, moins il est fermenté dans le rumen.