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2 plèvres + def + rôle
Plèvre : enveloppe qui emballe les poumons
Plèvre pariétale : partie en contact ac la paroi costale
Plèvre viscérale : partie en contact ac tissu pulmonaire
Rôle de lubrifiant, elles vont permettre qu’il y ait du mvmt
plèvre et poumons vont plus bas en antérieur ou en postérieur
en postérieur
qu’y a-t-il entre les 2 plèvres
pas d’air, un peu de liquide pleural, pression négative qui colle pratiquement les 2 plèvres l’une à l’autre
Si plus de pression négative, écrasement/racrapotement du poumon
hémothorax
accumulation de sang entre les plèvres
pneumothorax (def + cause)
Air s’infiltre dans la cavité pleurale
Généralement causé par un trou dans la plèvre viscérale dc air passe du poumon vers cavité pleurale
pneumothorax spontané primaire
pas lié à une pathologie ou à un trauma
pneumothorax spontané secondaire
secondaire à une patho ou une dysfonction qui était déjà pste chez le patient (mucoviscidose, BPCO, asthme, emphysème)
Emphysème
Destruction progressive des alvéoles pulmonaires
pneumothorax traumatique
accident ou objet pénétrant (ex : coup de couteau)
pneumothorax iatrogène
intervention extérieure ex : patient intubé = sous ventilation mécanique
ponction pleurale
avec des aiguilles extrêmement fine, prélever de l’air ou du liquide dans la cavité pleurale (pr rechercher une infection, maladie inflammatoire)
Après intervention : risque de pneumothorax iatrogène
population à risque de dvp pneumothorax + décès ?
plus les hommes que les femmes
Dans la majorité des cas, pas de décès du patient
Facteurs favorisant pneumothorax
Tabagisme (altération de la qualité des tissus)
Fait d’être un homme
Morphologie (grand et fin)
Certaines act physiques
Exposition à musique forte (vibration des basses)
Facteurs climatiques et environnementaux (ex : modif Patm en plongée)
Symptômes pneumothorax
douleur d’apparition brutale
Douleur unilatérale (normalement 1 poumon est touché)
Douleur exacerbée par la respi
Dyspnée modérée et pas tjs pste
Réduction du murmure vésiculaire à l’auscultation ac stéthoscope (bruit du passage de l’air dans système respi)
Hyper résonnance lorsque l’on vient percuter thorax du patient
poumon s’afaisse dc une partie (gche ou dte) de la cage thoracique peut se soulever plus que l’autre (mais pas vraiment flagrant à l’observation)
Def dyspnée
sensation de difficulté respiratoire → subjectif
Formes graves de pneumothorax
écrasement/compression du médiastin par le poumon → diminution du retour veineux → hypotention artérielle → tachycardie (cas d’urgence médicale)
Si pneumothorax important/compressif d’un côté, médiastin peut être repoussé vers côté controlat
examen de choix pr mettre en évidence pneumothorax → voir cours page 2 !!
radio (éventuellement scanner pr voir si autres lésions)
Voir radio page 2 fiches + comment analyser qu’il y a pneumothorax
ttt d’un pneumothorax spontané primitif
< 2 cm, pas de dyspnée, pas de symptômes préoccupants : retour à domicile, repos
> 2 cm + dyspnée : exsufflation à l’aiguille voire drain pleural, techniques de talcage voire chirurgie si pas d’efficacité des premiers ttt
Exsufflation à l’aiguille
insérer une aiguille dans l’espace pleural pr permettre à l’air de se libérer et que le poumon vienne se recoller à la paroi
Succès si penumothorax se réduit → retour à domicile
drain pleural
drain inséré dans l’espace pleural pr retirer l’air accumulé → hospitalisation pr surveillance du drain
si exsufflation n’a pas suffit
une machine est connectée au drain pr aspirer l’air et rétablir pression négative
Preogressivement on va clamper le drain = réduire la pression négative exercée par le drain et voir si le poumon reste accolé à la paroi
Lorsque le poumon a bien recollé à la paroi, on met le drain sous eau = on regarde si psce de bulles dans l’eau pr voir si encore psce d’air dans poumon → si plus de bulles d’eau on peut retirer le drain
Si aucun ttt ne fonctionne → solutions chirurgicales
techniques de talcage
on utilise du talc pr qu’il agisse comme une colle qui viendra recoller les plèvres
précaution chez BPCO
avant d’utiliser ventilation non invasive (respirateur), vérifier que le patient n’a pas pneumothorax
Est-ce que j’ai un racrapotement du poumon en cas de penumothorax ?
Oui, racrapotement du poumon puisque l’accumulation d’air dans la cavité pleurale fait perdre la pression négative qui garde le poumon collé à la paroi thoracique
pleurésie
= épanchement pleural
accumulation anormale de liquide (sang, pus) dans la cavité pleurale
La plupart du temps consécutif à une patho dc objectif des médecins est de trouver cause
patho moins fréquente qu’un pneumothorax
liquide transsudatif + dû à quelles pathos
pb de pression dans le corps, trop de liquide s’échappe des vsx et s’accumule dans la plèvre (pb de circulation du liquide mais il n’est pas bloqué)
Dû à insuffisance cardiaque, cirrhose, pb rénaux
liquide exsudatif + dû à quelles pathos
inflammation ou infection qui abîme la plèvre, le liquide reste bloqué dans la plèvre car l’organisme ne peut plus l’éliminer correctement
Dû à des pathos telles que pneumonie, cancer
symptômes pleurésie
Dyspnée
Douleurs thoraciques
Toux sèche
Perte de mobilité thoracique
Réduction/absoption des bruits respi (car poumon moins en contact ac paroi thoracique + ne se dilate plus correctement dc moins d’air circule)
Poumon se racrapote en cas de pleurésie ?
non mais il est aplati/écrasé par la pression exercée par le liquide dc il ne se dilate plus correctement, moins d’air circule
examen pr mettre en évidence pleurésie
radio ou scanner (pr plus de précisions)
echographie peut permettre de localiser précisément la zone où le liquide est pst
VOIR RADIO FICHES !
ttt pleurésie
évacuation à l’aiguille (ponction pleurale) ou au drain + repos et antalgiques, éventuellement talcage (après avoir ôté le liquide, si le poumon ne se recolle pas on va insuffler du talc dans la cavité pleurale)
Analyse du liquide pr retrouver l’origine causale (transsudat ou exsudat)
emphysème
complication grave d’un épanchement pleural infectieux (pneumonie infectieuse, intervention chir Th)
Du pus s’accumule dans la cavité pleurale
3 phases de l’emphysème
1- liquide clair s’accumule dans l’espace pleural, facilement drainable
2- liquide devient épais et contient du pus, des fibres commencent à se former et créent des cloisons (compartiments de liquide infecté)
3- perte de la fonction respi, poumon n’est plus capable de se réexpanser, chirurgie nécessaire
ttt emphysème
antibiothérapie
évacuer le liquide pr éviter qu’il se cloisonne
Stade ultime : chirurgie (ouvrir via thoracotomie + nettoyer les cloisons qui se sont remplies de tissus fibreux et de liquide infecté)
pathologies obstructives + recommandations
asthme et BPCO
Asthme : recommandations GINA
BPCO : recommandations GOLD COPD
difficultés en cas de pathos obstructives
difficultés à pouvoir sortir l’air dû à l’aug de mucus + bronchoconstriction
Dyspnée à prédominance expiratoire
expiration sera difficile et durera plus longtemps car bronche va être écrasée alors qu’elle est déjà obstruée
expi normale : phénomène actif ou passif ?
passif
Courbe débit volume patient obstructif vs patient sain → SAVOIR DESSINER !!
Courbe à l’expi creusée chez patient obstructif (pas de descente rectiligne comme chez patient sain) → car obstruction bronchique dc diamètre diminué
DEM
débit expiratoire moyen = vitesse moyenne à laquelle l’air est expulsé des poumons pdt l’expi forcée
Diminué chez patient obstructif
asthme chiffres + décès
touche 2-5% de la pop mondiale, 10% chez l’enfant (sous-estimation des chiffres)
10% des individus touchés en France
Décès surtout chez + 75 ans (dû à mauvaise observance du ttt = patient ne suit pas les recommandations médicales de son ttt)
Asthme tue très peu lorsqu’il est bien traité, important de faire comprendre au patient que s’il va bien c’est prcq il prend son ttt dc ne pas arrêter le ttt lorsqu’il va mieux
asthme est un frein à la pratique du sport ?
NON !!
inflammation chronique des bronches
parois des bronches inflammées et épaisses ce qui les rend plus sensibles à certains déclencheurs (allergènes, air froid) + sécrétion accrue de mucus → rétrécissement des voies respi (bronchoconstriction) qui entraineront les symptômes de l’asthme
symptômes asthme
Wheezing (sifflement perceptible sans l’aide du stéthoscope, encore plus important à l’effort car demande respiratoire)
Sifflement généré par le rétrécissement de la lumière bronchique
Sensation d’oppression au niveau Th
Toux
→ Symptômes vont varier en termes d’occurrence, de fréquence et d’intensité
VEMS def + chez patient asthmatique
VEMS : volume expiré maximal en 1 seconde, mesuré auu début de l’expi
Diminue chez le patient asthmatique
plusieurs types d’asthme
asthme allergique
asthme non allergique
asthhme à l’effort
asthme d’obésité
exacerbation
dégradation PROGRESSIVE de l’état du patient, peut survenir mm après le début du ttt
crise d’asthme
dégradation SOUDAINE, INSTANTANEE de l’état du patient, svt aigue, due à une bronchoconstriction majeure (impossible de sortir l’air des poumons)
Exacerbations et crises peuvent mener au décès du patient
Va arriver de manière tellement aigue qu’on sera incapable de l’anticiper (contrairement à l’exacerbation)
Questions à poser au patient pr voir s’il s’approche d’une phase d’exacerbation ou si ttt actuel est pris de manière incorrecte
Cb de fois par semaine est-ce qu’il a des symptômes de l’asthme
Réveils nocturnes ? (signe d’une perte de contrôle de l’asthme car normalement état de relâchement la nuit)
Limitation d’activités ?
médicament à action rapide dans le ttt de l’asthme
SABA
Facteurs de risque asthme
Comorbidités (obésité, RGO)
Pb socio-économiques majeurs (asthme diagnostiqué mais pas les moyens d’acheter le ttt)
Sévérité de l’asthme
En fonction des doses médicamenteuses que prend le patient
Athme modéré : on a besoin d’une médication légère pr contrôler les symptômes
Asthme sévère ou non contrôlé : fortes doses médicamenteuses ousévère car pas de ttt
Facteurs prédisposant asthme
Facteurs génétiques (pas un gène de l’asthme mais si parents asthmatiques, aug de la proba que les enfants soient asthmatique)
Allergènes (traversent les barrrières de protection et vont déclencher des réactions allergiques/inflammatoires)
Alimentation
RGO (remontée de gaz gastriques/acides à proximité des voies respi ce qui va les irriter et créer une zone inflammatoire)
Enfants nés par césarienne
Pb de poids (obésité chez l’adulte ou enfant né à terme mais ac poids inférieur à la moyenne)
Certains animaux domestiques (chiens, chats)
Irritants chimiques
Stress (peut déclencher ou exacerber l’asthme)
Temps froid et humide (car moins de brassage de pollution)
Certaines substances médicamenteuses
Sédentarité, manque d’activité
Anamnèse : questions à poser
Histoire familiale (parents asthmatiques, atcd d’asthme dans la famille ?)
Symptômes (sifflements, essoufflement)
Saisonnalité (symptômes accentués à certaines périodes de l’année ?)
Eléments déclenchants l’apparition des symptômes
→ Examen clinique svt peu concluant puisqu’au moment où l’on voit le patient il n’est pas forcément en période de crise
→ ATTENTION : TOUT CE QUI SIFFLE N’EST PAS DE L’ASTHME
Examen de choix pr identifier psce ou absence d’asthme
Faire une épreuve fonctionnelle respiratoire
Objectif : voir si le phénomène de bronchoconstriction est réversible (contrairement à la BPCO) → analyse du VEMS, du DEP, du DEM, de la CV avt et après inhalation Ventolin
Après ventolin : pas de modification au niveau de la courbe inspiratoire, modification uniquement au niveau de la courbe expiratoire
But du Ventolin + critères de réversibilité de l’obstruction bronchique
But du Ventolin : permettre vasodilatation des bronches
Valeurs du VEMS s’améliorent après Ventolin d’au moins 12% (enfant) au moins 12% et au - 200 mL (chez l’adulte)
Aug du DEP > 10% chez l’adulte et > 13% en pédiatrie
DEP
mesure le flux d'air maximal qu'une personne peut expulser des poumons en soufflant le plus fort et le plus vite possible après une inspiration profonde (mesuré avec débitmètre de pointe ou peak flow)
Valeurs de référence déterminées en fonction de la taille et du sexe
autres examens complémentaires asthme
Avis ORL (voir si pb au niveau des sinus)
Tests allergiques cutanés = prick test
PEC du patient asthmatique
Actuellement pas de ttt curatif (ce n’est pas prcq l’on prend le ttt que l’on va être guéri, ttt mis en place pr améliorer la qualité de vie, réduire les symptômes et l’exacerbation)
Objectif du kiné : apprendre au patient à prendre son ttt correctement
Incitation à la vaccination (grippe, Covid)
Bannir l’idée que le patient asthmatique ne peut pas faire d’éducation physique (mais attention aux sports à risque (plongée) ou sports allergisants (équitation)
Appli “my puff” pr kiné et pr patient
ttt patient asthmatique
Ttt de crise : bronchodilatateur de courbe durée d’action (SABA)
Ttt de fond : réduire l’inflammation bronchique chronique, prévenir les crises = médicaments : corticostéroïdes inhalés (anti-inflammatoires) + bronchodilatateurs de longue durée d’action (LABA)
Médecin initie le ttt ac des doses faibles, ne pas augmenter les doses si l’on voit que le patient est stabilisé
Patient doit connaître son ttt de fond et son ttt d’urgence, savoir dans quel cas il doit se diriger vers un service d’urgence
messages importants à faire passer aux patients asthmatiques
Arrêt du tabac
Hygiène de vie
Bouger
Lutter contre l’obésité