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Introduction à l'éthique médicale

L’éthique → donne l’intention du geste

L’esthétique → donne la forme

Éthique:

  • 1 ère définition: ethos : habitude usage, coutume de la cité → lois, code, droit

  • 2 ème définition: séjour, lieu habituelle, mœurs, manière d’être → comportement habituelle

Aristote : « les vertus morale qui détermine le caractère son file des bonne habitude »

Les grec suggère que la conduite a un rapport avec le lieu mais ici on parle d’éthique médical un lieu de soin ; clinique , médecine.

L’éthique médical est née après 2 ème Guerre Mondiale (camps extermination et de déportation) il eu des expérimentations médicales

Suite au procès de Nuremberg (1945) la notion de dignité va devenir un principe cardinal pour l’éthique et la bioéthique. En 1947 le code de Nuremberg inscrit le consentement éclaire comme un préalable absolue pour les recherche avec expérimentations

Puis UNESCO (1945) la DUDH (Déclaration Universelle des Droits de l’Homme)

En (1948) la DUDH réaffirme dans son préambule, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénable, constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

L’éthique médicale va poser plusieurs valeurs:

- le respect de la dignité de la personne

- le respect de son autonomie / consentement libre non contraint et éclairé

- le refus de la corruption / logique du profit (le principe de justice , d’équité , respect des connaissances , compétences « La non malfaisance = ne pas nuire »)

Principe des E.U. (1979) Beauchamps et Childress:

- Principe d’autonomie: implique de respecter le choix et les positions personnelles ainsi que les décisions qui en découlent, sauf si ces décisions cause, préjudice aux autres

- Le principe de bienfaisance : le bien des autres, faire et promouvoir le bien

- Le principe de non malfaisance : ne pas subir de ne pas faire subir de mal aux autres

- Le principe de justice ou d’équité: il vise à l’égalité d’accès aux soins sans discrimination

Définition de PAUL Ricoeur

Faut-il distinguer entre morale et éthique? A vrai dire, rien dans l'étymologie ou dans l'histoire de l'emploi des mots ne l'impose : l'un vient du grec, l'autre du latin, et les deux renvoient à l'idée de moeurs (ethos, mores); on peut toutefois discerner une nuance, selon que l'on met l'accent sur ce qui est estimé bon (éthique) ou sur ce qui s'impose comme obligatoire (moral). C'est par convention que je réserverai le terme d'« éthique » pour la visée d'une vie accomplie sous le signe des actions estimées bonnes, et celui de « morale» pour le côté obligatoire, marqué par des normes, des obligations, des interdictions caractérisées à la fois par une exigence d'universalité et par un effet de contrainte. On reconnaîtra aisément dans la distinction entre visée de la vie bonne et obéissance aux normes l'opposition entre deux héritages : l'héritage aristotélicien, où l'éthique est caractérisée par sa perspective téléologique (de telos, signifiant « fin ») ; et un héritage kantien, où la morale est définie par le caractère d'obligation de la norme, donc par un point de vue déontologique (déontologique signifiant précisément « devoir »)

Déontologie / législation:

Déontologie : Philosophe anglais Jérémie (philosophe qui est né au milieu du 18e est

mort milieu du XIXe siècle) la déontologie est synonyme de morale. Étymologiquement à

partir de ces racines grecques déon = devoir et logos = discours (science des devoirs ).

Droit positif : C’est le droit concret tel qui apparaît dans une organisation humaine à partir des texte écrit (code penal ,code civil) il fait référence à une institution judiciaire, qui fait vivre ses textes tribunaux avocat, administration judiciaire, qui fait vivre le droit par les juges, les greffier, toutes les sociétés du monde. On des droits positifs parfois différent (avortement, peine de mort ) chaque pays a ces législations. Nous sommes soumis a ce droit (droit du pays ) ce droit peut évoluer, ce modifier

Droit naturel: qui n’a rien à voir avec l’instinct ou le droit du droit naturel. C’est un droit universel dans le sens où l’ensemble des normes, prenant en considération la nature humaine, c’est l’ensemble des principes qui devrait apparaître nécessaire à l’être humainement pour vivre humainement. Le droit naturel est universelle (les paradoxes la justice est injuste). Parfois, on trouve que ce qui est légiférer ne ne nous donne pas un sentiment de justice. C’est un droit étalon (on essaye de toujours faire mieux)

Les moraliste: observe le monde décrive le comportement des hommes et ne s’excluent pas des moral qu’ils font. Il résiste au phrase moralisantes mais sont ils moral pour autant.

[Les normes] ont du sens certes, mais ces règles, une fois incorporées et prescrites socialement et professionnellement comme normes, peuvent venir s'immiscer vicieusement dans la relation de soin, régir les choix et les comportements des soignants. Elles peuvent annihiler la créativité qui donne au soin toute sa superbe, sa finesse, sa proximité avec la personne soignée.

La focale normative ne dépend donc pas du point de vue objectif soignant mais du point de vue de la subjectivité du malade : celui-ci pose des valeurs et hiérarchise des normes qui lui permettent d'exprimer ce qui est pour lui normal ou non, selon ce qu'il éprouve.

Le risque est celui de se laisser agir par un registre de normes préexistant à une situation médicale singulière et complexe au lieu de venir les définir et les orienter selon ce que cette situation, ce malade nous indique être normal ou non pour lui.

Des outils pour une démarche éthique

Écriture

  • Récursivité (langage d’une pensé à l’écrit )

  • Réflexivité ( ce qui est propre a la pensée , retour sur la pensé)

Collégialité

  • Discussion, délibération, décision

  • Consensus, compromis, dissensus

Apports méthodologiques et théoriques

  • Grilles d'analyse éthique

  • Lecture

Définition

Poesis: Chez Aristote, production d'œuvres qui relève du champ de la technique. Il s'agit ici des activités quin'ont de sens que par le produit fini qui en sera le résultat. Par exemple, les actes techniques du potier n'ont par exemple de valeur que parce qu'à la fin, on obtient une belle amphore.

Praxis: “Chez Aristote, domaine des activités qui trouvent leur finalité en elles-mêmes. Par exemple, la politique i.e. la confrontation des citoyens entre eux à travers le langage.

Préjugé: avis avant d'avoir un jugement

Récursivité: en linguistique désigne ce qui peut être répété un nombre indéfini de fois par application de la même règle.

Réflexivité: Propre à la réflexion, au retour de la pensée, de la conscience sur elle-même

Situation complexe: « situation inédite et hors-normes, c'est-à-dire une situation médicale qui ne répond plus aux normes usuelles de soin, un lieu où les outils communs ne sont plus adaptés ». Réf. GRODARD Ghislain Transcendance: étym. S'élever au-delà. Par exemple, Dieu est transcendant au monde signifie que Dieu est séparé du monde.

M

Introduction à l'éthique médicale

L’éthique → donne l’intention du geste

L’esthétique → donne la forme

Éthique:

  • 1 ère définition: ethos : habitude usage, coutume de la cité → lois, code, droit

  • 2 ème définition: séjour, lieu habituelle, mœurs, manière d’être → comportement habituelle

Aristote : « les vertus morale qui détermine le caractère son file des bonne habitude »

Les grec suggère que la conduite a un rapport avec le lieu mais ici on parle d’éthique médical un lieu de soin ; clinique , médecine.

L’éthique médical est née après 2 ème Guerre Mondiale (camps extermination et de déportation) il eu des expérimentations médicales

Suite au procès de Nuremberg (1945) la notion de dignité va devenir un principe cardinal pour l’éthique et la bioéthique. En 1947 le code de Nuremberg inscrit le consentement éclaire comme un préalable absolue pour les recherche avec expérimentations

Puis UNESCO (1945) la DUDH (Déclaration Universelle des Droits de l’Homme)

En (1948) la DUDH réaffirme dans son préambule, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénable, constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

L’éthique médicale va poser plusieurs valeurs:

- le respect de la dignité de la personne

- le respect de son autonomie / consentement libre non contraint et éclairé

- le refus de la corruption / logique du profit (le principe de justice , d’équité , respect des connaissances , compétences « La non malfaisance = ne pas nuire »)

Principe des E.U. (1979) Beauchamps et Childress:

- Principe d’autonomie: implique de respecter le choix et les positions personnelles ainsi que les décisions qui en découlent, sauf si ces décisions cause, préjudice aux autres

- Le principe de bienfaisance : le bien des autres, faire et promouvoir le bien

- Le principe de non malfaisance : ne pas subir de ne pas faire subir de mal aux autres

- Le principe de justice ou d’équité: il vise à l’égalité d’accès aux soins sans discrimination

Définition de PAUL Ricoeur

Faut-il distinguer entre morale et éthique? A vrai dire, rien dans l'étymologie ou dans l'histoire de l'emploi des mots ne l'impose : l'un vient du grec, l'autre du latin, et les deux renvoient à l'idée de moeurs (ethos, mores); on peut toutefois discerner une nuance, selon que l'on met l'accent sur ce qui est estimé bon (éthique) ou sur ce qui s'impose comme obligatoire (moral). C'est par convention que je réserverai le terme d'« éthique » pour la visée d'une vie accomplie sous le signe des actions estimées bonnes, et celui de « morale» pour le côté obligatoire, marqué par des normes, des obligations, des interdictions caractérisées à la fois par une exigence d'universalité et par un effet de contrainte. On reconnaîtra aisément dans la distinction entre visée de la vie bonne et obéissance aux normes l'opposition entre deux héritages : l'héritage aristotélicien, où l'éthique est caractérisée par sa perspective téléologique (de telos, signifiant « fin ») ; et un héritage kantien, où la morale est définie par le caractère d'obligation de la norme, donc par un point de vue déontologique (déontologique signifiant précisément « devoir »)

Déontologie / législation:

Déontologie : Philosophe anglais Jérémie (philosophe qui est né au milieu du 18e est

mort milieu du XIXe siècle) la déontologie est synonyme de morale. Étymologiquement à

partir de ces racines grecques déon = devoir et logos = discours (science des devoirs ).

Droit positif : C’est le droit concret tel qui apparaît dans une organisation humaine à partir des texte écrit (code penal ,code civil) il fait référence à une institution judiciaire, qui fait vivre ses textes tribunaux avocat, administration judiciaire, qui fait vivre le droit par les juges, les greffier, toutes les sociétés du monde. On des droits positifs parfois différent (avortement, peine de mort ) chaque pays a ces législations. Nous sommes soumis a ce droit (droit du pays ) ce droit peut évoluer, ce modifier

Droit naturel: qui n’a rien à voir avec l’instinct ou le droit du droit naturel. C’est un droit universel dans le sens où l’ensemble des normes, prenant en considération la nature humaine, c’est l’ensemble des principes qui devrait apparaître nécessaire à l’être humainement pour vivre humainement. Le droit naturel est universelle (les paradoxes la justice est injuste). Parfois, on trouve que ce qui est légiférer ne ne nous donne pas un sentiment de justice. C’est un droit étalon (on essaye de toujours faire mieux)

Les moraliste: observe le monde décrive le comportement des hommes et ne s’excluent pas des moral qu’ils font. Il résiste au phrase moralisantes mais sont ils moral pour autant.

[Les normes] ont du sens certes, mais ces règles, une fois incorporées et prescrites socialement et professionnellement comme normes, peuvent venir s'immiscer vicieusement dans la relation de soin, régir les choix et les comportements des soignants. Elles peuvent annihiler la créativité qui donne au soin toute sa superbe, sa finesse, sa proximité avec la personne soignée.

La focale normative ne dépend donc pas du point de vue objectif soignant mais du point de vue de la subjectivité du malade : celui-ci pose des valeurs et hiérarchise des normes qui lui permettent d'exprimer ce qui est pour lui normal ou non, selon ce qu'il éprouve.

Le risque est celui de se laisser agir par un registre de normes préexistant à une situation médicale singulière et complexe au lieu de venir les définir et les orienter selon ce que cette situation, ce malade nous indique être normal ou non pour lui.

Des outils pour une démarche éthique

Écriture

  • Récursivité (langage d’une pensé à l’écrit )

  • Réflexivité ( ce qui est propre a la pensée , retour sur la pensé)

Collégialité

  • Discussion, délibération, décision

  • Consensus, compromis, dissensus

Apports méthodologiques et théoriques

  • Grilles d'analyse éthique

  • Lecture

Définition

Poesis: Chez Aristote, production d'œuvres qui relève du champ de la technique. Il s'agit ici des activités quin'ont de sens que par le produit fini qui en sera le résultat. Par exemple, les actes techniques du potier n'ont par exemple de valeur que parce qu'à la fin, on obtient une belle amphore.

Praxis: “Chez Aristote, domaine des activités qui trouvent leur finalité en elles-mêmes. Par exemple, la politique i.e. la confrontation des citoyens entre eux à travers le langage.

Préjugé: avis avant d'avoir un jugement

Récursivité: en linguistique désigne ce qui peut être répété un nombre indéfini de fois par application de la même règle.

Réflexivité: Propre à la réflexion, au retour de la pensée, de la conscience sur elle-même

Situation complexe: « situation inédite et hors-normes, c'est-à-dire une situation médicale qui ne répond plus aux normes usuelles de soin, un lieu où les outils communs ne sont plus adaptés ». Réf. GRODARD Ghislain Transcendance: étym. S'élever au-delà. Par exemple, Dieu est transcendant au monde signifie que Dieu est séparé du monde.