Histoire de la psychologie

I-                  Genèse de la psychologie

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Le paradigme est un nouveau type de pensée. Un paradigme perdure car bcp n’arrive pas à changer d’idée.

Doute cartésien utilisé pour sujet non interrogé.

C’est quoi la connaissance.

2 nouveaux courants de pensées qui s’interrogent sur le statut de la connaissance : le rationalisme et l’empirisme.

Seule façon de produire des connaissances : discuter philosophiquement. Produire des connaissances à toujours été fait de manière philosophique jusqu’au 17 e siècle.

5-15 ème siècle

Entre 15 et 20 e siècle : Renaissance

è Changement Vient des arts. Mais science commence à se développer aussi.

Pensée mécanisme crée rupture entre science et philosophie

Nature fonctionne comme ça pas comme une machine. Les philospohes pour qui philosopher était la meilleure façon ils disent : « il faut observer et expérimenter »

Ø  Empirisme /= Rationnalisme (toute connaissance vient de la raison, Descartes) :

Le raisonnement permet pas de savoir absolument les choses car comment savoir que la raison est vraie.

Ils demandent des preuves empiriques.

Ils vont contester le fait qu’il soit nécessaire de raisonner pour connaître le monde qui nous entoure car toute connaissances dérivent de nos sens. Il faut pouvoir toucher, connaître ….Issu de mon expérience sensible

Pour connaissance : connaître les choses nécessairement passé par expérience sensible. Ce n’est qu’en observant réellement que je peux connaître cette chose.

Accumuler connaissance et quand on a fait plein d’observations on peut en extraire des lois général en induisant du concret à l’abstrait

Ø  Démarche cartésienne/ rationnalisme :

Rechercher arguments rationnel issus de la seule réflexion sur ce qui doit être en raisonnant, je peux savoir ce qui est.

Pour rationalisme : pensée, la raison qui permet de connaître et pas les sens

Il fait de la déduction : on part de l’abstrait pour déduire ce que doit être la réalité

Ø  Associatisme :

Pensée par les empirisme à la base

Emmanuel Kant va résoudre cet dichotomie ( 18^e sicèle)

2. 18^ème siècle : siècle des lumières

Beaucoup de Philosophes s’affrontent. Philosophes des lumières : raison qq chose d’universelle. Rationalistes : Tous les Hommes vêtus de raison et donc tous égaux. àGrand changement de paradigme par rapport au paradigme théologique.

Lumières car ont posé l’égalité entre les hommes. Conviction se double du fait que la raison est omnipotente. MAIS ils ne sont que raison, ils réduisent l’humain au sujet rationnel  

On admet l’idée du laïcisme, que Dieu n’est pas responsable de tout.

Les philosophes dominants : Homme que raison et nient le poids du sentiment de l’intime /VS/ d’autres philosophes qui contredisent cela.

Ø  Le romantisme :

-          Conteste cette omnipotence et connaissance ne réside pas seulement de la raison. Ex : « je suis amoureux » à Peut-on rationnellement prouver qu’on est amoureux ? on ne peut pas

-          On peut accéder à la connaissance aussi par intuition et émotion

-          Défense du sentiment contre la raison

-          Contre l’égalité, le romantisme revendique l’unicité des personnes. Chacun est unique avec son propre « MOI » …

-          Leibniz : s’oppose à l’empirisme et Lock ; s’oppose à la doctrine cartésienne. Dit qu’il faut reconnaitre importance de l’activité spirituel dont il faut tenir compte car donne accès à la connaissance. Il démontre cela en partant de l’aperception auquel on accède par nos sens. L’aperception n’est pas toujours accompagnée de nos sens, on est pas toujours conscients de ce que nos sens nous fournissent.

La raison n’appréhende pas toujours clairement le monde environnant. En permanence on est soumis à une multitude de sensation dont on n’a pas conscience, la raison n’intervient pas, qui affectent notre âme.

L’aperception = ce qui vient de nos sens mais raison pas capable de voir ces perceptions. Raison capable seulement de réunir en une unité ces petites perceptions (ex : bruits des vagues)

Aperception /= Perceptions.

Pour lui pas de perceptions sans conscience

Anticipe hypothèse de l’inconscient

Mécanisme inconscient de l’ordre du non perçu.

On distingue 3 niveaux de conscience :

o   Anoétique : (noèse = pensée) niveau de conscience qui n’accède jamais à la prise de conscience. On n’a pas conscience qu’il y a qq chose dans notre conscience. (image subliminal : notre cervau capable de voir que 24 image pas s)

Physiologie va beaucoup se développer. Fechner. Connaissance sur l’influe nerveux

. Ce qu’il faut c’est observer les faits, les quantifier…

Faits de conscience : idées sentiments, tout ce que la personne éprouve. Idée de Wolff. Tout ça constitue la psyché. Avant il fallait étudier l’âme (trop vague) maintenant psyché = faits de conscience alors on peut développer une discipline qui les étudient. Psyché peut être observé car fait de conscience sont observables, mesurables. Empiristes abondent dans ce sens là mais pas encore une discipline à part entière. Seulement au 19^e que psycho devient une discipline autonome

II-                Le 19^e siècle : institutionnalisation de la psychologie en Europe

Début beaucoup de conflit mais changement de statut de l’humain qui devient un citoyen. La révolution industrielle a bien changé les choses aussi.

Révolution industrielle : changement des structures sociales. Paysans décident de partir de la campagne pour travailler dans grandes villes et usines. à Problèmes démographiques important. Avant toutes les générations vivaient dans le même toit, ceux en état physique travaillait la terre, et les vieux gardaient les enfantsà pas de problème d’Ephad ou de garde d’enfant. Maintenant on a plus de personnes pour garder les vieux ni les enfants. En ville : tout petit logement donc on va plus avoir de famille nombreuse à détruit modèle de la famille nucléaire.

Grosse pression sur savants philo pour expliquer la raison humaine. Avec tous les chamboulements du début du 19^e il y a un besoin de mieux comprendre l’humain. Empirisme a pris beaucoup de poids mais autres courants : positivisme.

Positivisme : tout les courants (empiristes et autres), seule les discipline étudiant par l’observation et des faits vérifier par expérimentation peuvent se voir accorder du crédit. August COMTE

Auguste Comte : rejette romantisme et idée intuitive. Il développe un système reconnu officiellement qui permet de distinguer discipline qui produisent connaissances vraies des disciplines produisant des fausses. à Sciences positives : sciences qui créent des vérités/connaissances vraies. Il a fait un classement : la plus positive de toute sont les mathématiques. Il va hiérarchiser les disciplines. (maths, physique…). Pour obtenir label positif : il faut adopter principe positiviste : observation et expérimentation et rejet de tout ce qui est intuitif. Ces lois doivent être obtenu par observation et expérimentation qui permettent d’expliquer la réalité de ces faits.

Position de COMTE : il faut créer une science pour s’occuper des problèmes humains. Homme = social. Invente la discipline de physique sociale. Il va encourager le développement de cette discipline. Ce n’est pas la psychologie que Comte encourage mais la sociologie.

Cependant cela n’a pas empêcher les scientifiques s’intéressant à la psychée de continuer leur chemin et de finir par se détacher de la sociologie. Pour cela il faut attendre les années 1880.

Psychologie devient discipline autonome qui se détache de sa science mère (sociologie) car époque propice, car cette science adopte démarche positive.

Psychologie a émané de pleins de savants venant de pleins de disciplines : on ne peut pas désigner 1 inventeur de la psycho, sauf si on se demande qui a posé les bases institutionnelles.

Ø  WUNDT(Allemagne)

o   A créée le 1^er institut de psycho en 1879 (Pas de date à l’exam), qui est un labo de psychologie expérimentale. Il devient officiellement le 1^er psychologue, et est le 1^er maître car forme pleins de psychologues dans son institut.

o   Il pose la 1ere pierre institutionnelle

o   Posent plein de connaissances vraies

o   Sa conception : élémentariste : conscience, psyché = ensemble de faits de conscience, qui sont tout autant d’éléments qu’il va falloir étudier et décomposer, les plus élémentaires possibles. Il faut décomposer le psychisme en sensations élémentaires.

o   Crée plein d’outils comme le tachytosquope( pour mettre des images inconscientes)

o   Etudie la perception du temps, l’effet du métronome sur nous

Ø  RIBOT  (France)

o   Fonde 1^er institut français

o   S’intéresse particulièrement à la pathologie

o   On avait compris en médecine qu’il y a certaine pathologie pour lesquelles on observaient aucunes lésions organiques. Ex : hystérie, symptomes mais rien au niveau nerveux. Les médecins ont développé un intérêt médico-psychologique. Hystérie est devenu LA grande névrose qui intéressait les médecins. Dans ce contexte : charcot, développe son intérêt pour l’hystérie.

o    Mais c’est Théodule Ribot, philosophe, qui est très investi dans sa mission de donné son indépendance à la psycho, il veut participer à une psycho objective. Il connaît très bien travaux de Wundt et Fechner, MAIS pas intéressé par faits de conscience mais choses plus larges difficilement mesurables. Il a cette idée que pathologie mentale = terrain expérimentale qui permet d’étudier le jugement…, c’est une situation spontanée de type expérimentale. Cette idée est toujours d’actualité car discipline neuropsychologie étudient les gens qui ont des troubles de la mémoire, attention…Il contribue à rendre psycho autonome.

o   Gros problème de Ribot : il n’est pas médecin mais philosophe. Il ne peut pas être à l’hôpital pour observer les patients. Il se base donc sur des cas présentés dans des traités de médecine. Notamment à la maladie mentale.

o    Reconnu pour la qualité qu’il produit. L’université de la sorbonne lui permet de créer le premier cours de psychologie expérimentale : 1885. Il délivre des connaissance obtenus pas observations de patients .

o   Collège de France : une chair de psychologie va être créé.

o   Il va avoir plusieurs élèves : Pierre Janet. Ils exigent d’eux de suivre une formation de médecine en même temps

o   Science de l’esprit. Adjectif pour « mind » : activité mentale. Ajd néologisme : le mental

III-             Le début du 20^e siècle en Europe : origine de la diversité

Psycho va se diversifier. Charcot évoque possibilité que trouble provient de souvenir traumatique. Le premier à parler de l’importance du souvenir dans l’hystérie. Ils cherchaient un traitement pour soigner les malades. Il a d’abord utilisé l’hypnose mais abandonne en raison des problèmes que cela crée. Cette Hypnose est à la source de 2 méthodes : clinique et psychanalyse ; qui sont promus par 2 de ses étudiants : Pierre janet et Sigmund Freud.

Ø  Pierre Janet  

o   Influence de Ribot.

o   Pathologie meilleur terrain pour comprendre vie mentale.

o   Fonde toute son étude mentale sur la pathologie

o   Il refuse méthodes introspectives telles qu’elles sont pratiquées en Allemagne. Il est très attaché au positivisme. Considère que la seule façon pour la psycho d’être expérimentale : pathologie et le comportement. Il observe la conduite des aliénés. Ce n’est pas la sensation car permet pas de comprendre le psychisme en entier. Il n’y a pas d’activité mentale sans une forme d’activité comportementale.

o   100 ans après cela : années 2010, la position de Janet constitue le cœur de la cognition incarné (le corps qui fait le traitement).

o   Il étudie aussi le langage car fait partie des conduites

o   Il a promut la psycho clinique, car préconisait l’écoute de ce que verbalisait les patients et observé les conduites du patient.

Ø   Sigmund Freud

o   Médecin installé à Vienne, en Autriche. Il est neurologue et a ouvert en 1886 son cabinet de neurologie et se dit spécialiste des maladies nerveuses.

o   Puis il se consacre uniquement aux maladie non organique : les névroses (qui n(ont pas de lésions). Il est à la recherche d’un traitement. Il est conscient de l’importance du passé qui constitue névroses. « Il faut trouver la bonne méthode ». Il va à la salpêtrière auprès de Charcot. Il utilise hypnose, puis méthode de la suggestion à problématique ; et enfin la méthode des association libres.

o   Au départ définit psychanalyse comme procédé médical, un traitement des maladies nerveuses non-organique. Puis progressivement il élabore cette théorie et crée cette sous-branche de la clinique : psychanalyse. Pour des raisons politiques, en France elle a pris beaucoup d’ampleur au point que psychologie et psychanalyse étaient confondu.

2) La mesure en psychologie, Galton et Binet, psychologie différentielle (fin 19^e – début 20^e)

-          S’intéresse aux différences psychologiques entre les personnes.

Ø  Sir Francis Galton

o   Il est mathématicien, médecin, médecin physiologiste, anthropologue, et psychologue.

o   Très intéressé par différences individuelle et la mesure

o   Il s’intéresse aux aptitudes (compétences).

o   Il invente la méthode des tests où on peut mesurer tout un tas de chose.

o   Il ouvre un cabinet de curiosité (gens bizarre). Il a fait la pub pour que tous les gens viennent pour qu’ils connaissent quelles étaient leurs aptitudes. Il a donc pu faire des mesures et a appliqués les statistiques à ces mesures. C’est lui qui a amené les statistiques à la psychologie.

Ø  Alfred Binet

o   Pas médecin, ni philosophe, a fait des études de droit. Il a un doctorat de science naturel.

o   Il a suivi un « stage » de médecine, élève de Charcot

o   Pas intéressé par la psychopathologie mais par les activités de haut niveau

o   S’intéresse à l’intelligence, la mémoire, la compréhension des mots.

o   Séparation Eglise et états 1905 : Jules Ferris demande scolarisation obligatoire pour tous les enfants. à Qu’est-ce qu’on fait des enfants en difficultés ? à ce à quoi réponde Binet

o   Travaille avec Simon sur mesure sous la forme d’une échelle (échelle Binet Simon) qui mesure l’intelligence et constate que les déficients mentaux ne sont pas déficients mais il leur faut un peu plus de temps. Echelle métrique

Ø  La psychologie du peuple, Gustave Le Bon

-         Wundt avançait déjà l’idée qu’il y avait qq chose de social chez l’humain et que sa façon d’étudier la conscience en la décomposant, mais disait « il y a tout un tas de phéno pas accessible seulement sur le psychisme d’un individu » Des phéno sont des produits collectifs, ex : le langage.

-         Esprit du peuple : on ne peut pas le réduire à la somme des psychismes individuel.

Ø  Gustave le Bon

o   Membre de la société d’anthropologie, médecin, publie « la psychologie des foules »

o   Se penche sur le comportement des individus lorsqu’ils sont dans une foule. Les gens vont avoir des comportements irrationnels.

o    Comme si les gens perdent leurs propres esprits individuels et endossent un esprit collectif qui est celui de la foule, qu’on ne peut réduire à la somme de chaque esprit individuel.

o   Cette foule agit comme une entité autonome

o   Impulsé d’une psychologie collective et a établit des liens entre foule et leader. Souvent elles sont menées par des meneurs.

o   Dès le début du 20^e on a toutes les racines qui deviendra la psychologie avec des formes très différentes qui feront l’un la psycho social, l’autre la psycho différentiel etc…

Le début du 20^e siècle aux Etats Unis d’Amérique

Ø  L’Europe a une très longue histoire et l’université aussi. Elle est là pour enseigner notamment la philosophie. On est là pour mettre en place la démarche cartésienne.

Ø  Les USA : très jeune pays. L’université n’a pas une longue histoire et c’est un pays florissant au niveau économique. Tout est à faire. Le seul problème : matériel. Ils sont très pragmatiques et ce qu’ils demandent aux universitaires n’est pas de former aux esprits mais à pouvoir résoudre les problèmes pratiques que les américains rencontrent. L’université américaines est conçue pour répondre aux attentes professionnelles. Il faut que ces étudiants bossent correctement. Ce qui domine est la mentalité pragmatique. La vision de la psychologie est donc très différente. En France : la psycho a dû se battre pour être différencié de la philo. Aux USA : ils sont ouverts à tous tant que ça répond à des problèmes pratiques. La psycho ne rencontre donc aucune résistance. Elle est en jointe d’apporter solution aux problèmes sociétaux et des concitoyens américains, notamment la question de la scolarisation des enfants immigrés.

Ø  Titchener et structuralisme :

o   Fait partie des gens qui importent la psychologie

o   Elève de Wundt

o   S’intéresse à la psychologie

o   D’origine anglaise

o   Il cherche à dégager lois de l’esprit. Il a une conception élémentariste. Il faut dégager des structures de comment ces éléments sont organisés dans le psychisme. Soit le concept de structuralisme

o   Il est influencé par découvertes physique. Faits de conscience viennent de nos sens.

o   Les structuralistes vont donc décomposer la matière mentale en petites parties pour regarder comment cela s’organise et comment cela créer des expériences sensorielles

o    Il va former des nouveaux psychologues. Le problème qui va se poser pour lui : il ne rencontre pas les attentes des américains car sa psycho ne permet pas de répondre aux problèmes pratiques des américains. Il aura du mal a former. Il va se radicaliser

Ø  Williames James, Fonctionnalisme

o   Philosophe de formation, études de chimie, médecine

o   Considéré comme le père de la psycho américaine

o   A ouvert son labo avant Wundt, en 1975.

o   Correspondance avec Janet

o   Il ne va jamais adhérer à ce structuralisme, il considère que cette psychologie est très réductionniste puisqu’elle va tout limiter aux sensations (le sens qui détermine le psychisme). Selon lui dans cette vision là james dit que tous ce qui est humain comme dimension spirituel

o   Il s’intéresse à la théorie de l’évolution de Darwin

o   Il propose l’idée que la conscience= fonction de l’organisme qui permet à l’humain d’être adapté à son environnement. Pour lui si la conscience n’avait pas cette fonction elle n’aurait pas survécu à l’évolution. Elle est utile car sert à s’adapter.

o   Aujourd’hui on dit aussi que le comportement a une fonction adaptative.

o   Il faut cherche à quoi sert le psychisme : s’adapter et développe le courant : fonctionnalisme

o   Cette approche concorde beaucoup plus avec la mentalité américaine, de chercher à quoi servent les choses.

o   Dit que la psychologie est à la fois la science de psychisme, qu’elle repose sur méthode expérimentale (différence avec philo), mais aussi science pratique de la conduite, comportement.

o   Il écrit un énorme ouvrage « Psychologie » qui brasse toues les connaissances de l’époque et qui reste très moderne

o   Ce fonctionnalisme se propage très facilement car intéresse tous les américaines car répond à la question de l’adaptation à ce nouveau pays.

o   On s’intéresse à la fonction du comportement (comportement qui a une fonction et une signification)

o   Point commun avec Titchener : Méthode de l’introspection considéré comme méthode expérimentales

IV-            Le tournant : la psychologie comme science du comportement

1875, une trentaine d’année avant la fin du 20^e siècle un tournat va se produire. Contexte de marasme. Rien n’avait été produit de très intéressant jusque-là.

Ø  John Broadus Watson :

o   1913 : parution article

o    Il introduit la révolution comportementaliste (behavioriste). Rien n’avait été produit d’intéressant jusque là

o   La psychologie doit abandonner le psychisme pour pouvoir être considéré comme science. Pour lui il faut un nouvel objet d’étude : le comportement. Prendre le modèle des sciences naturel. Pour lui il faut qu’elle se contente d’observer ce qui est observable, car l’introspection n’est pas une méthode des sciences naturelles.  Leur objets le psychisme : n’était pas directement observable, et leurs méthodes comportaient plein de biais jusque-là. Il faut inscrire la psychologie comme une science positive, elle ne peut donc pas observer le psychisme mais le comportement. Observer et Expérimenter sur le comportement pour formuler des lois. Démarche à adopter : 1 : observer et décrire. 2 : Expliquer, théories ; 3 : Prédire, expériences ; 4 : Contrôler le comportement

o   Il ne nie pas l’existence de la conscience mais dit qu’on ne peut pas y accéder.

o   Il est force de proposition méthodologique et théorique qui sont légitime car viennent d’autres sciences : se base sur travaux du comportement animal. Cette science animale ne s’embête pas avec la conscience des animaux. Donc psychologue doivent faire pareil avec l’être humain.

o   Force de proposition théorique car s’inspirent des travaux de Pavlov sur le conditionnement. Certainement la clé du comportement humain. Stimulus inconditionnel et conditionnel.

o   Il produit une expérience qui lui permet de produire de la légitimité, car a lui-même mené des expériences de conditionnement qui sont à la base des thérapies comportementaliste. Expérience la plus connu : conditionnement d’un bébé du surnom d’Albert. Il a aussi mené des expériences pour déconditionné les gens des peurs qu’ils avaient.

o   Il a dû quitter le monde universitaire précocément à cause d’une relation extra-conjugale avec sa secrétaire et s’est reconverti dans la pub.

o   Skinner prend le relais qui a eu une très longue carrière universitaire à Harvard. Le béhaviorisme va durer jusqu’au années 1970.

o   Schéma du béhaviorisme : SàR situation -réaction. On étudie le stimulus et la réponse à celui-ci. (Boite de Skinner). Réactions peut avoir réaction soit positive soit négative. Je vais apprendre que dans telles situations je dois reproduire un comportement ou non pour émettre réponse positive ou négative

o   Skinner a radicalisé le béhaviorisme. Pour lui les émotions n’existent pas, la pensée non plus.

o   Au bout d’un moment on s’est rendu compte que le béhaviorisme ne pouvait pas répondre à tous, comme l’acquisition du langage, les émotions etc.  

Ø  La 2^nd guerre mondiale :

o   De l’argent est mis pour répondre aux problèmes suscités par la guerre

o   Le psychodynamise : théorie psychanalytique … mais au moment du béhaviorisme on ne les entendait plus beaucoup mais on continué à évoluer.

Ø  Le courant humaniste : minoritaire mais plus entendu. Représenté par Maslow et Rogers. Considère que ce qui intéresse l’être humain est de se réaliser de s’épanouir. Il y a un déterminisme par l’instinct, pulsion qui nous pousse à agir. Opposé au béhaviorisme. Roger proposait des thérapies humanistes qui avait de résultats intéressants. Question du libre arbitre

Ø  Le courant Gesltatisme :

o   S’est développé en Allemagne hors labo de Wundt. En fin du 19^e, début 20^e. Ils étaient pas du tout structuralistes. Ils proposaient l’idée que le psychisme permet d’appréhender l’environnement sous la forme d’un tout. Le psychisme construit l’environnement.

o   Problème : la majorité étaient juif et pendant les années 30 ils comprenaient qu’Hitler leur voulait du mal. Ils ont migré aux USA qui les a accueilli mais ils ne leur ont pas permis de diriger des labo de recherche pour propager leur courant de pensées.

o   Ajd : On redécouvre les propositions des théoriciens gestaltiste et qu’il y a des choses très intéressantes et qu’il faut creuser avec des outils plus modernes.

o   Ils sont cognitivistes mais pas pareille qu’ajd

Ø  La révolution cognitivisme :

o   A partir de 1945 lentement, mais éclot surtout dans les années 1960.

o   Redonne sa place à la boite noir = psychisme. Il se passe quelque chose dans celle-ci.

o   Pour comprendre émotions langage, il faut comprendre qu’entre S et R il y a quelque chose.

Conclu : la psycho a un très long passé mais une très courte histoire