Technique, Science et Nature — Philosophes
L’homme souhaite sans cesse améliorer son confort personnel ; il tente, par conséquent, de rechercher tous les moyens possibles pour rendre son quotidien moins pénible.
Faible par nature, chétif, il a dû s’armer de ruse et d’inventivité pour pouvoir survivre. Cette inventivité n’est néanmoins pas synonyme d’intelligence. (Par exemple : On observe trop souvent qu’on va créer des nouvelles technologies qui n’apportent pas forcément quelque chose d’intelligent)
A l’état de Nature(à l’état de l’Homme dans une société sans état), il y a une différence entre l’Homme et l’animal. Les animaux ont de la force, pour compenser cela, l’Homme a des outils, la technique.
Cependant, cette technique n’est pas suffisante, il y a également besoin de science politique et de justice.
S’il n’y a pas de science politique, d’amitié, les individus se détesteraient, car chacun se croit plus intelligent que les autres, exigeant toujours plus, créant des conflits. Cela nuirait alors aux Hommes.
Le développement technique et scientifique n’est pas le problème en soi, s’il est encadré par la justice/des lois. Le problème est l’Homme, qui a une volonté d’avoir toujours plus.
Le problème ne réside donc pas dans le développement technique et scientifique en lui même, mais bien dans le tiraillement inhérent à la nature de l’Homme ; entre sympathie pour les autres d’une part et désir de puissance d’autres part.
Selon Ivan Illich, nous ne pouvons pas arrêter le développement scientifique, car il est dans la nature de l’Homme de sans cesse tenter de se dépasser. Un développement déraisonnable est nocif pour l’humanité.
Le développement technique et scientifique risque de faire perdre des emplois, et de nous faire perdre nos capacités intellectuelles, et donc ce qui est propre à l’être humain ; le raisonnement.
Si le développement technique et scientifique n’est pas mauvais en soi, c’est du côté de l’homme qu’il faut se pencher. Il est nécessaire de travailler à une sobriété heureuse.
Une sobriété heureuse : consommer que ce qu’on a besoin, et éviter de sur-consommer. Inviter les hommes à éviter l’excès.
Selon Hans Jonas, l'impératif moral fondamental est de préserver les conditions de la vie future sur Terre en protégeant l'environnement. Il soutient que l'humanité a une responsabilité éthique envers les générations futures et propose un devoir de précaution pour éviter les dommages irréversibles à la nature. Ce devoir doit selon lui guider nos actions pour préserver l'environnement et minimiser les risques technologiques.
Ce devoir de précaution repose sur l'idée que l'humanité doit agir de manière à éviter de causer des dommages irréversibles à l'environnement et à la biosphère.
Il met en garde contre les conséquences imprévisibles de la technologie et souligne la nécessité d'intégrer la responsabilité éthique dès la conception technologique.
Cependant, certains critiquent sa vision, la jugeant trop instrumentale envers la nature. Ils estiment que la protection de la nature devrait être un devoir en soi, indépendamment de l'existence humaine.
L’homme souhaite sans cesse améliorer son confort personnel ; il tente, par conséquent, de rechercher tous les moyens possibles pour rendre son quotidien moins pénible.
Faible par nature, chétif, il a dû s’armer de ruse et d’inventivité pour pouvoir survivre. Cette inventivité n’est néanmoins pas synonyme d’intelligence. (Par exemple : On observe trop souvent qu’on va créer des nouvelles technologies qui n’apportent pas forcément quelque chose d’intelligent)
A l’état de Nature(à l’état de l’Homme dans une société sans état), il y a une différence entre l’Homme et l’animal. Les animaux ont de la force, pour compenser cela, l’Homme a des outils, la technique.
Cependant, cette technique n’est pas suffisante, il y a également besoin de science politique et de justice.
S’il n’y a pas de science politique, d’amitié, les individus se détesteraient, car chacun se croit plus intelligent que les autres, exigeant toujours plus, créant des conflits. Cela nuirait alors aux Hommes.
Le développement technique et scientifique n’est pas le problème en soi, s’il est encadré par la justice/des lois. Le problème est l’Homme, qui a une volonté d’avoir toujours plus.
Le problème ne réside donc pas dans le développement technique et scientifique en lui même, mais bien dans le tiraillement inhérent à la nature de l’Homme ; entre sympathie pour les autres d’une part et désir de puissance d’autres part.
Selon Ivan Illich, nous ne pouvons pas arrêter le développement scientifique, car il est dans la nature de l’Homme de sans cesse tenter de se dépasser. Un développement déraisonnable est nocif pour l’humanité.
Le développement technique et scientifique risque de faire perdre des emplois, et de nous faire perdre nos capacités intellectuelles, et donc ce qui est propre à l’être humain ; le raisonnement.
Si le développement technique et scientifique n’est pas mauvais en soi, c’est du côté de l’homme qu’il faut se pencher. Il est nécessaire de travailler à une sobriété heureuse.
Une sobriété heureuse : consommer que ce qu’on a besoin, et éviter de sur-consommer. Inviter les hommes à éviter l’excès.
Selon Hans Jonas, l'impératif moral fondamental est de préserver les conditions de la vie future sur Terre en protégeant l'environnement. Il soutient que l'humanité a une responsabilité éthique envers les générations futures et propose un devoir de précaution pour éviter les dommages irréversibles à la nature. Ce devoir doit selon lui guider nos actions pour préserver l'environnement et minimiser les risques technologiques.
Ce devoir de précaution repose sur l'idée que l'humanité doit agir de manière à éviter de causer des dommages irréversibles à l'environnement et à la biosphère.
Il met en garde contre les conséquences imprévisibles de la technologie et souligne la nécessité d'intégrer la responsabilité éthique dès la conception technologique.
Cependant, certains critiquent sa vision, la jugeant trop instrumentale envers la nature. Ils estiment que la protection de la nature devrait être un devoir en soi, indépendamment de l'existence humaine.