Psychologie cognitive : Annales - Correction
Bonjour Ă tou.te.s et bienvenu.e sur le drive concernant les annales de psychologie cognitive ! Ici, nous allons tenter de faire une correction commune des annales sans avoir la prĂ©tention dâappeler cela une correction officielle.
NâhĂ©sitez pas Ă y participer et Ă intervenir si vous nâĂȘtes pas dâaccord avec certaines rĂ©ponses ou si vous trouvez des erreurs ! (NâhĂ©sitez pas Ă mettre Ă©galement des âpreuvesâ avec soit une citation de votre cours ou alors un screen, etc..)
Les questions dont la rĂ©ponse est âsĂ»reâ seront mises en Ă©vidence.
Exemple:
Q1. La terre est carrĂ©e â FAUX
Q2. âCâ est la 4Ăšme lettre de lâalphabet â VRAI
Q3. Victor Hugo est lâauteur de âNotre Dame de Parisâ â VRAI
Q4. La tomate est un fruit â VRAI
â Dans ce cas, les questions 1 et 4 ont Ă©tĂ© vĂ©rifiĂ©es par des Ă©tudiants (avec arguments svp), tandis que les autres non. Ainsi, nous ne prĂ©tendons pas ĂȘtre 100% sĂ»r des rĂ©ponses aux questions non-fluotĂ©es !
1) Dans la thĂ©orie de Michel Corballis (2002), le langage sâest dâabord dĂ©veloppĂ© Ă partir dâun systĂšme de communication tel quâon lâobserve chez les grands singes, et qui est essentiellement gestuel.
2) Les morphÚmes dérivationnels servent à exprimer des contrastes grammaticaux dans des phrases.
â Ce sont les morphĂšmes flexionnels. Les morphĂšmes dĂ©rivationnels permettent de construire de nouveaux mots (prĂ©fixes, suffixesâŠ)
3) Noam Chomsky a proposé la notion de syntaxe générative: un ensemble fini de rÚgles permettant de produire un ensemble infini de structures (propriété de récursivité).
â Syntaxe gĂ©nĂ©rative : un ensemble fini de rĂšgles permettant de produire un nombre infini de structures (propriĂ©tĂ© de rĂ©cursivitĂ©)
4) Un mot est reconnu plus vite si il a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ© dâun mot sĂ©mantiquement reliĂ© quâun mot non sĂ©mantiquement reliĂ©
â expĂ©rience de Nicol et Swinney: tĂąche d'amorçage faire preceder un stimuli et on veut savoir si cela influence la façon dont lâinformation va ĂȘtre traitĂ©e/ amorçage sĂ©mantique, le mot est reconnu plus vite sâil est prĂ©cĂ©dĂ© dâun mot sĂ©mantiquement reliĂ© quâun mot non sĂ©mantiquement reliĂ© = amorçage
5) La nasalitĂ© caractĂ©rise les consonnes pour lesquelles le flux dâair passe par les fosses nasales.
6) Le modĂšle cohorte (Marslen-Wilson & Welsh, 1978) met lâaccent sur le dĂ©roulement temporel de lâaccĂšs au lexique.
Le temps de reconnaissance dâun mot est supposĂ© correspondre au moment oĂč le mot reste lâunique candidat Ă ĂȘtre activĂ© dans la cohorte j
7) Le modĂšle TRACE (McClelland & Elman, 1986) dĂ©finit deux composantes: un processus dâactivation et un processus de compĂ©tition.
âPermet dâexpliquer la segmentation lexicale (=rĂ©sultat de la compĂ©tition lexicale) et les effets lexicaux sur la perception des phonĂšmes
8) Lors du phĂ©nomĂšne de restauration phonĂ©mique (Warren, 1970) un phonĂšme dâun mot est remplacĂ© ou superposĂ© par du bruit mais les sujets entendent le mot intacte.
Le phĂ©nomĂšne de restauration phonĂ©mique(Warren, 1970) : Quand un phonĂšme dâun mot est remplacĂ© ou superposĂ© par du bruit, les sujets entendent le mot intact
9) Jade va dans un nouveau restaurant qui vient dâouvrir en ville. Au moment de payer le patron du restaurant lui offre un bon pour un futur cafĂ© gratuit avant mĂȘme que Jade ne lui dise quâelle reviendra manger dans son restaurant. Par la suite, la probabilitĂ© du comportement dâaller dans ce restaurant augmente. Câest un exemple de renforcement positif.
â Renforcement positif = Apparition dâun stimulus appĂ©titif qui augmente la probabilitĂ© quâun comportement se reproduise
10) Ă table, Sarah demande Ă sa mĂšre de lui passer lâeau. Sarah remercie poliment sa mĂšre avant mĂȘme que sa mĂšre ne lui passe lâeau. La mĂšre de Sarah sâexĂ©cute en lui donnant lâeau. SuitĂ© Ă cet Ă©vĂ©nement, Sarah sera plus souvent polie lorsquâelle demandera quelque chose. câest un exemple de renforcement positif.
â Renforcement positif = Apparition dâun stimulus appĂ©titif qui augmente la probabilitĂ© quâun comportement se reproduise
11) Un maĂźtre demande Ă son chien de âdonner la patteâ. quand le chien lĂšve la patte le maĂźtre lui donne parfois une friandise, mais le plus souvent il lui donne une friandise sans que le chien lĂšve la patte. En consĂ©quence, le chien donnera plus souvent la patte Ă son maĂźtre. Câest un exemple de renforcement positif.
Fonctionne pas car le plus souvent il lui donne une récompense sans que le chien produise le comportement
12) Tom ayant reçu des bons de réduction va dans un magasin pour la premiÚre fois. Ces bons de réduction ont renforcé positivement la premiÚre visite à ce magasin.
-> Un renforcement ne peut se faire que si un comportement a déjà été réalisé.
13) Les enfants naissent avec la capacitĂ© de ressentir et dâexprimer les Ă©motions primaires comme les a dĂ©crit Plutchik, il suffit quâils atteignent lâĂąge de trois Ă quatre mois pour que lâon puisse le constater.
il est Ă l'origine de la thĂ©orie des Ă©motions primaire et secondaire et il dit bien que les 8 Ă©motions primaires sont innĂ©es et peuvent ĂȘtre observĂ©es sur les bĂ©bĂ©s de 3 mois notamment au niveau des expressions faciales
14) Le constructivisme âĂ©motionnelâ suppose que les Ă©motions comme la peur, ou la honte se sont dĂ©veloppĂ©es chez lâhomme de maniĂšre phylogĂ©nĂ©tique par nĂ©cessitĂ© de survie face Ă lâenvironnement.
Elles sont apprises et construites en société
15) Observer une forme en mouvement peut activer des processus cognitifs émotionnels.
ex: mouvement de parabole = émotions négatives
mouvement de vague = émotions positives
16) La prise en compte dans les interprĂ©tations Ă©motionnelles de lâintentionnalitĂ© et/ou dâun rĂ©fĂ©rentiel externe ne se ferait pas chez lâenfant avant lâĂąge de 6 ans.
ThĂ©orie de lâesprit. Entre 6 et 8 ans.
17) DâaprĂšs la ThĂ©orie de lâintĂ©gration organismique (Deci & Ryan, 1985), un feedback positif et informationnel peut renforcer la motivation intrinsĂšque mĂȘme en cas dâĂ©chec, sâil permet dâaugmenter le sentiment de compĂ©tence
â thĂ©orie de l'Ă©valuation cognitive
18) LâĂ©chelle du bien-ĂȘtre psychologique de Ryff & Keyes (1995) se situe dans lâapproche eudĂ©moniste du bien-ĂȘtre.
19) DâaprĂšs la thĂ©orie des orientations de causalitĂ© (Deci & Ryan, 1985), qui porte sur les diffĂ©rences interindividuelles dans lâorientation motivationnelle, lâorientation vers le contrĂŽle correspond Ă un profil de personnes prĂ©sentant une tendance globale Ă agir en fonction des pressions externes et/ou internes.
def du cours
20) Le modÚle hiérarchique de la motivation de Vallerand (1997) distingue trois niveaux : situationnel, social et universel.
Les trois niveaux sont:
- la motivation situationnelle
- la motivation contextuelle
- la motivation globale
21) DâaprĂšs le modĂšle de la mĂ©moire de travail de Baddeley et Hitch (1974, 2000), lâadministrateur central est un systĂšme de stockage qui a pour fonction de conserver momentanĂ©ment des informations soit dans un format phonologique (boucle phonologique), soit dans un format visuo-spatial (ardoise visuo-spatiale).
Administrateur central = câest un systĂšme de traitement dâinformations gĂ©rant le systĂšme secondaire permettant le stockage momentanĂ© dâinformations. Il est responsable de leur manipulation et de la mise en place de procĂ©dure spĂ©cifique (coordonne les activitĂ©s, rompt les automatismes, sĂ©lectionne les informations qui doivent ĂȘtre traitĂ©es et active-maintien-manipule les informations stockĂ©es en MLT)
22) DâaprĂšs le modĂšle MNESIS dâEustache et Desgranges (2003), le processus de sĂ©mantisation correspond Ă une rĂ©troaction entre la mĂ©moire Ă©pisodique et la mĂ©moire sĂ©mantique. Les souvenirs font lâobjet dâun processus de sĂ©mantisation au fil du temps.
âą SĂ©mantisation: les souvenirs font lâobjet dâun processus de sĂ©mantisation au fil du temps, par des expĂ©riences vĂ©cues. IdĂ©e que des Ă©vĂšnements vĂ©cus nous permettent dâaccĂ©der Ă de lâinformation qui va devenir une connaissance abstraite, indĂ©pendante de lâexp vĂ©cue. (ex: guerre 14-18, on connaĂźt car a Ă©tĂ© vĂ©cu et transmis)
23) La loi de Fitts est une loi qui prĂ©dit la durĂ©e dâun mouvement dâatteinte Ă partir de lâindex de difficultĂ© dâune tĂąche. Cet index notĂ© ID est Ă©gal au log2(2T/D) oĂč T est la taille de la cible et D la distance sĂ©parant les cibles.
=> câest Log2(2D/T)
24) Afin de programmer un mouvement avec dominance du contrĂŽle temporel (comme par exemple un mouvement de saisie), notre systĂšme va fixer comme invariant la durĂ©e dâapplication de la force et ajuster la force initiale appliquĂ©e en fonction de lâamplitude du mouvement Ă accomplir.
=> Variation de la force initiale (invariant = durĂ©e dâapplication de la force) Mouvement avec dominance du contrĂŽle temporel (saisie)
25) Les paramĂštres et invariants sont stockĂ©s au sein dâun programme moteur gĂ©nĂ©ralisĂ© correspondant Ă une classe de mouvement.
=> Certains Ă©lĂ©ments restent invariants alors que dâautres Ă©lĂ©ments vont varier (les paramĂštres). Les paramĂštres et les invariants sont stockĂ©s au sein dâun programme moteur gĂ©nĂ©ralisĂ© correspondant Ă une classe de mouvement. Ce qui reprĂ©sente dans le cerveau le programme moteur gĂ©nĂ©ralisĂ©.
26) Lors de la rĂ©alisation dâune action volontaire, lâĂ©tape de planification consiste Ă dĂ©finir le geste (ou la sĂ©quence de gestes) qui correspond Ă la mise en Ćuvre de lâintention motrice. Cette Ă©tape sâopĂšre au sein de lâaire motrice supplĂ©mentaire.
=> Planification = dĂ©finir le geste ou la sĂ©quence de gestes qui correspond Ă la mise en Ćuvre de lâintention motrice. Le lieu dâexĂ©cution diffĂšre en fonction du type de motricitĂ© ;
27) Lorsque nous demandons Ă un individu de produire plusieurs mouvements de pointage en direction dâobjets positionnĂ©s Ă diffĂ©rentes distances dans son espace dâaction, nous observons que le temps nĂ©cessaire Ă produire ces mouvements est globalement constant.
=> loi de Fitts, la durĂ©e du mouvement dĂ©pend de la taille de la cible et de la distance Ă parcourir (alors si les objets sont positionnĂ©s Ă diffĂ©rentes distances les temps pour produire les mouvements ne sont pas les mĂȘmes).
28) Une pathologie altérant le fonctionnement du lobe frontal, comme la schizophrénie, perturbe de maniÚre plus importante la motricité volontaire prédictive. Par exemple, le patient va avoir des difficultés à imaginer le mouvement et à adapter son comportement en conséquence.
Chez les sz: rĂ©sultats similaires aux contrĂŽles dans la condition mouv rĂ©el. En revanche, pas d'effet d'anticipation dans mouv imaginĂ©. Sâil faut planifier et faire quelque chose, vu que lâorigine de la sz serait un dysfonctionnement frontal, ce ne serait pas possible.
29) Pour un mouvement de flexion du coude, le pattern tri-phasique observable sur les muscles du bras se caractĂ©rise par une succession dâactivation des muscles : Triceps brachial - Biceps brachial - Triceps brachial.
=> câest activation : biceps, triceps, biceps
30) AppliquĂ© Ă la motricitĂ© graphique, le principe dâisochronie rend compte dâun temps de mouvement invariant pour un mĂȘme exemplaire de lettre produit indĂ©pendamment de la taille de ce dernier.
31) Le trait sémantique est une représentation de la signification de taille inférieure au mot.
â LâunitĂ© de base dâun trait sĂ©mantique nâest pas le mot, câest une unitĂ© cognitive de format infĂ©rieur
32) Dans un réseau sémantique tel que celui de Collins & Quillian, la représentation est représentée sous forme de traits.
â Sous forme dâarbre taxonomique avec des noeuds et de liens (= arcs)
33) W. James dĂ©finit lâattention comme : âTout le monde sait ce quâest lâattention. Câest lâapprĂ©hension par lâesprit, dâune maniĂšre claire et active dâinformations perçues uniquement dans lâenvironnement extĂ©rieur.â
DĂ©finition de lâattention de William James : âTout le monde sait ce quâest lâattention, câest lâapprĂ©hension par lâesprit dâune maniĂšre claire et active dâinformations perçues dans notre environnement extĂ©rieur ou parmi un flux de pensĂ©es donc intĂ©rieur.â
34) La sĂ©lection attentionnelle nâest observĂ©e que dans lâespace.
Dans lâespace et dans le temps.
35) La Négligence Spatiale Unilatérale est un syndrome neuropsychologique consécutif à un trouble du contrÎle attentionnel.
La nĂ©gligence spatiale unilatĂ©rale est un trouble de lâorientation de lâattention.
36) Lâattention sĂ©lective permet de traiter indĂ©pendamment des stimuli enchevĂȘtrĂ©s.
=prĂȘter attention et traiter chaque stimuli malgrĂ© le fait quâils nous arrivent tous en mĂȘme temps
37) Les stratégies conscientes apparaissent vers 5 ou 6 ans et favorisent les performances en mémoire.
=> StratĂ©gies de mĂ©morisation efficaces dĂ©butent vers 5-6 ans. CatĂ©gorisation : pas avant lâĂąge de 8 ou 9 ans.
38) Ceci, Loftus, Leichtman et Bruck (1994) retrouvent des faux souvenirs chez les enfants. Ce qui démontre que la conscience ne garantit pas la véracité.
39) La métacognition renvoie à une opération de la pensée sur la pensée et constitue un facteur favorisant la performance des élÚves.
=> La mĂ©tacognition = fait rĂ©fĂ©rence au concept de conscience, un Ă©tat de conscience de ses propres processus cognitifs (la connaissance sur ses connaissances, la maĂźtrise de ses compĂ©tences). Hart (1965), Flavell, (1979). OpĂ©ration de la pensĂ©e sur la pensĂ©e, comme un moyen dâamĂ©liorer la performance de lâĂ©lĂšve.
40) L'entraĂźnement mĂ©tacognitif peut-ĂȘtre utilisĂ© Ă lâĂ©cole mais Ă©galement en clinique.
1) Selon le modĂšle de la communication humain de Roman Jakobson (1963), la fonction conative est la fonction relative Ă lâĂ©metteur
fonction relative au rĂ©cepteur (ce quâil rĂ©ceptionne) et lâĂ©metteur câest la fonction expressive
2) Le langage écrit est continu et variable
langage écrit discret et constant
3) Le phonĂšme est la plus petite unitĂ© discrĂšte que lâon puisse extraire de la chaĂźne parlĂ©e (voyelles et consonnes), plus petite unitĂ© linguistique, non porteuse de signification
def du cours
4) dans le phĂ©nomĂšne de restauration phonĂ©mique, le contexte sĂ©mantique influence lâidentitĂ© du phonĂšme perçu
Le phĂ©nomĂšne de restauration phonĂ©mique (Warren, 1970) : Quand un phonĂšme dâun mot est remplacĂ© ou superposĂ© par du bruit, les sujets entendent le mot intact Mieux encore, le contexte sĂ©mantique influence lâidentitĂ© du phonĂšme perçu
5) une procĂ©dure dâextinction pavlovienne peut diminuer une phobie. Cette procĂ©dure consiste Ă arrĂȘter de prĂ©senter le SI suite au comportement â extinction : extinction de la rĂ©ponse conditionnĂ©e quand la rĂ©ponse conditionnĂ©e diminue progressivement en raison de la non prĂ©sentation du stimulus inconditionnĂ© Ă la suite du stimulus conditionnĂ© -> cela veut dire que une fois que le conditionnement est acquis, il faut rĂ©guliĂšrement rappeler le conditionnement.
6) Manon aime poster des photos dâelle sur les rĂ©seaux sociaux. Mais de plus en plus de messages haineux sont postĂ©s en commentaires, Manon dĂ©cide dâarrĂȘter de poster des photos dâelles. Câest un exemple de punition nĂ©gative.
â punition positive car ajout dâun stimulus aversif : les commentaires haineux
7) Selon Bridges, le dĂ©veloppement des Ă©motions chez lâenfant se fait en fonction du dĂ©veloppement viscĂ©ral et squelettique
Bridges: qd bĂ©bĂ© nĂ© il ne connaĂźt quâun seul Ă©tat Ă©motionnel: lâexcitation. Sinon calme. Puis apprend Ă distinguer 2 Ă©tats: dĂ©sespoir et plaisir. Ăa se construit Ă cause du viscĂ©ral, je ne reçois pas les mĂȘmes infos (jâai faim, jâai mangĂ©). Ămotions se dĂ©v car notre squelette est de plus en plus fort. Qd je marche je dĂ©v des Ă©motions comme la peur..Emotions dĂ©v par logique et non par gĂ©nĂ©tique.
8) ce que par anthropomorphisme nous appelons âĂ©motions â chez les autres animaux ne pourrait ĂȘtre quâune rĂ©action rĂ©flexe face Ă un stimulus.
Oui par exemple des oies qui voient un prĂ©dateur, elles ressentent pas de lâĂ©motion comme nous mais ce serait juste un rĂ©flexe pour survivre
9) DâaprĂšs la thĂ©orie de lâĂ©valuation cognitive (Deci, 1975), la motivation intrinsĂšque est tributaire dâun locus de causalitĂ© perçu interne. Dans ce cadre, une intervention de lâenvironnement social peut ne pas nuire Ă la motivation intrinsĂšque, par exemple sâil s'agit dâun feedback positif et informationnel
def cours
10) DâaprĂšs le modĂšle hiĂ©rarchique de la motivation de Vallerand (1997), le niveau contextuel correspond Ă une motivation pour une tĂąche donnĂ©e Ă un moment donnĂ©e
confusion avec situationnel
11) DâaprĂšs le modĂšle de Tulving (1985), la mĂ©moire Ă©pisodique est caractĂ©risĂ©e par un niveau de conscience âautonoĂ©tiqueâ dans lequel lâindividu est conscient de sa propre identitĂ©.
âLa mĂ©moire Ă©pisodique est caractĂ©risĂ©e par un niveau de conscience autonoĂ©tique. => Lâindividu y est conscient de sa propre identitĂ©, de son existence, du temps subjectif.
12) La loi puissance â est une loi du mouvement qui exprime une relation entre la vitesse dâexĂ©cution dâun mouvement et la courbure de sa trajectoire. Cette loi rĂ©git comment un individu produit un mouvement mais Ă©galement la maniĂšre avec laquelle il interprĂšte les mouvements des autres.
13) Au cours dâun mouvement, lâintensitĂ© de la contraction musculaire du muscle agoniste dĂ©termine la vitesse de dĂ©placement du segment corporel. â Relation entre lâintensitĂ© de lâactivitĂ© et la vitesse du mouvement
14) Lors de la rĂ©alisation dâune action volontaire, lâĂ©tape de programmation consiste Ă dĂ©finir la coordination des activitĂ©s musculaires qui vont permettre la rĂ©alisation de lâaction. Cette derniĂšre sâopĂšre au sein de lâaire motrice supplĂ©mentaire en relation avec les ganglions de la base.
def cours
15) DâaprĂšs lâexpĂ©rience de Held and Hein sur les chats (1963), lorsque nous privons les chats de leur capacitĂ© Ă bouger dans leur environnement aprĂšs 6 semaines de vie, ces derniers vont brutalement voir leur capacitĂ© visuelle dĂ©croĂźtre et se comporter comme des chats aveugles â cĂ©citĂ© visuo-spaciale =/= aveugle, leur capacitĂ© visuel ne dĂ©croĂźt pas !!
16) l'étude de LENY et LE TAILLANTER sur l'apprentissage de phrases avec des termes spécifiques et généraux montre que c'est la fréquence lexicales qui joue un rÎle plus que le nombre de traits
Meilleures mémorisation avec les traits sémantiques que les mots (lexiques)
17) La sĂ©lection attentionnelle sâobserve dans la dimension spatiale et dans la dimension temporelle
Def cours
18) Le traitement des stimuli visuels enchevĂȘtrĂ©s dĂ©pend en partie de lâattention sĂ©lective
Câest un des caractĂ©ristiques mis en avant par Johnston et Dark (1986)
19) Ceci, Loftus, Leichtman et Bruck (1994) retrouvent des faux souvenirs chez les enfants. Ce qui démontre que la conscience garantit la véracité.
lâaccĂšs Ă la conscience ne garantit pas la vĂ©racitĂ©
20) La métacognition renvoie à une opération de la pensée sur les opérations mentales et constitue un facteur favorisant la performance des élÚves.
Q1 La phonétique existe dans la langue des signes
=> PhonĂ©tique (=sons) = seul Ă©lĂ©ment qui nâapparaĂźt pas dans la langue des signes. câest la phonologie qui existe dans la langue des signes
Q2 la différence fondamentale entre le modÚle de Jakobson (1963) et celui de Shannon et Weaver (1949) repose sur le référent
Q3 il y a une priorité phylogénétique du langage écrit
=> Priorité phylogénétique et ontogénétique du langage oral.
Q4 les mots grammaticaux sont des mots porteurs dâune signification trĂšs descriptive
=> Classe fermĂ©e : Mots grammaticaux, i.e. un mot dont la fonction est dâassurer la grammaticalitĂ© de la phrase (dĂ©terminants, prĂ©positions, pronoms, auxiliaires) ; peu nombreux, ils sont porteurs de spĂ©cifications sĂ©mantiques plus abstraites (temps, aspect, type de proposition), ils sont trĂšs stables en diachronie, et ils ne sont pas affectĂ©s par la morphologie dĂ©rivationnelle.
Q5 Selon le modĂšle de Trace la reconnaissance du phonĂšme /p / pourrait amener la fois aÌ lâactivation de candidats lexicaux dont le phonĂšme initial est /p/ et aÌ lâactivation de candidats lexicaux pour lesquels le phonĂšme /p/ se trouve Ă nâimporte quelle position dans le mot
Q6 en anglais, lorsquâun segment ambigu entre les phonĂšme /d/ et /t/ est perçu plus souvent comme le phonĂšme /t/ dans le contexte /ask/, cela signifie quâaÌ lâĂ©coute du contexte /ask/ il y a eu une activation lexicale affectant lâactivation des phonĂšmes
â Segment ambigu entre /d/ et /t/ est plus souvent perçu /d/ dans le contexte /.ash/
â Segment ambigu entre /d/ et /t/ plus souvent perçu /t/ dans le contexte /.ask/
Dash â Tash
Dask â Task
Q7 en absence de vibration des cordes vocales, les consonnes voisées ne sont pas produites
=> Le voisement se manifeste par la vibration des cordes vocales. Les consonnes sont soit voisées (sonores), soit non voisées (sourdes).
Q8 lâencodage phonologique est un processus au cours duquel un seul mot est sĂ©lectionnĂ© juste aprĂšs lâĂ©tape de conceptualisation lors de la production orale du langage.
=> câest lâĂ©tape de la sĂ©lection lexicale
Q9 Arthur sâest mis en colĂšre contre Rachel qui lui reprochait dâĂȘtre trop Ă©goĂŻste. Depuis, il nâa plus de nouvelles de Rachel. Le comportement dâArthur est renforcĂ© positivement par le fait de ne plus entendre de reproches, mais puni positivement par la perte de communication.
=> il sera puni nĂ©gativement car il aura MOINS de âRachelâ mais le comportement peut Ă©galement ĂȘtre renforcĂ© nĂ©gativement puisque il y a le retrait du stimulus aversif ( les reproches ) qui peuvent augmenter la probabilitĂ© du comportement.
Q10 Si Rachel avait rĂ©agi Ă cet accĂšs de colĂšre, en se mettant elle-mĂȘme en colĂšre contre Arthur, sa rĂ©action aurait constituĂ© une punition nĂ©gative Ă la colĂšre dâArthur
=> punition positive car elle sâest Ă©nervĂ©e donc a âajoutĂ©â qlq chose = stimulus aversif.
Q11 Enfin, Arthur finit par prĂ©senter ses excuses et se montrer plus Ă lâĂ©coute des problĂšmes de Rachel. Il renforce ainsi positivement le comportement de Rachel consistant Ă punir nĂ©gativement Arthur en interrompant la communication.
â renforcement car augmente lâoccurrence du comportement et positivement puisque on a lâajout dâexcuse et il est plus Ă lâĂ©coute ( on ajoute des actions positives)
Q12 Une maniÚre de traiter les phobies serait de ne jamais plus exposer le patient aux stimuli qui provoquent la peur mais plutÎt de faire des séances de relaxation.
=>pour traiter une phobie on peut utiliser le contre-conditionnement qui consiste Ă associer le SC Ă des stimuli positifs, donc on expose le patient au stimulus qui lui provoque la peur.
Q13 DâaprĂšs la thĂ©orie de lâintĂ©gration organismique (Deci & Ryan, 1985) un feedback positif et informationnel peut-ĂȘtre bĂ©nĂ©fique Ă la motivation intrinsĂšque mĂȘme en cas dâĂ©chec
=> dâaprĂšs thĂ©orie de lâĂ©valuation cognitive
Q14 DâaprĂšs la thĂ©orie des orientations de causalitĂ© (Deci & Ryan, 1985) qui porte sur les diffĂ©rences inter-individuelles dans lâorientation motivationnelle, lâorientation vers le contrĂŽle correspond Ă un profil de personnes ayant besoin dâexercer un contrĂŽle important sur leur environnement
- Orientation vers le contrĂŽle : tendance globale Ă agir en fonction des pressions externes et/ou internes, par ME.
Q15 LâĂ©chelle du bien-ĂȘtre psychologique de Ryff & Keyes (1995) se situe dans lâapproche eudĂ©moniste du bien-ĂȘtre
Q16 DâaprĂšs le modĂšle hiĂ©rarchique de la motivation de Vallerand (1997), le niveau contextuel correspond Ă une motivation pour une tĂąche donnĂ©e Ă un moment donnĂ©.
=> contextuel = liĂ© Ă un domaine dâactivitĂ© / situationnel = activitĂ© donnĂ©e Ă un moment donnĂ©e
Q17 Le modĂšle SPI de Tulving (1985), nâinclut que 3 systĂšmes de mĂ©moire : mĂ©moire Ă©pisodique, mĂ©moire sĂ©mantique et mĂ©moire procĂ©durale.
â Il y a 5 systĂšmes: les trois prĂ©cĂ©dents + aussi la mĂ©moire de travail et un systĂšme de reprĂ©sentations perceptives
Q18 DâaprĂšs le modĂšle de Tulving (1985) la mĂ©moire Ă©pisodique est caractĂ©risĂ©e par un niveau de conscience « autonoĂ©tique » dans lequel lâindividu est conscient de sa propre identitĂ©
âLa mĂ©moire Ă©pisodique est caractĂ©risĂ©e par un niveau de conscience autonoĂ©tique. => Lâindividu y est conscient de sa propre identitĂ©, de son existence, du temps subjectif.
Q19 DâaprĂšs le modĂšle de Mnesis dâEustache et Desgranges (2003), le processus de sĂ©mantisation correspond Ă une rĂ©troaction entre la mĂ©moire Ă©pisodique et la mĂ©moire sĂ©mantique. Les souvenirs font lâobjet dâun processus de sĂ©mantisation au fil du temps.
âą SĂ©mantisation: les souvenirs font lâobjet dâun processus de sĂ©mantisation au fil du temps, par des expĂ©riences vĂ©cues. IdĂ©e que des Ă©vĂšnements vĂ©cus nous permettent dâaccĂ©der Ă de lâinformation qui va devenir une connaissance abstraite, indĂ©pendante de lâexp vĂ©cue. (ex: guerre 14-18, on connaĂźt car a Ă©tĂ© vĂ©cu et transmis)
Q20 Les expériences de Basili (1978, 1979) montrent que trÚs vite aprÚs la naissance les oiseaux connaissent la peur.
Lorenz
Q21 De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, on dĂ©compte plus rapidement lorsque lâon est dans une humeur joyeuse.
Quand on est dans une humeur +, on décompte plus rapidement.
Q22 Les expĂ©riences de Point-Light Walker montrent quâil est impossible de dĂ©terminer lâĂ©motion dâun individu sans voir son visage
lâĂ©motion peut se voir au travers du corps Ă©galement
Q23 La perception dâun mouvement spĂ©cifique dans lâenvironnement peut influencer nos traitements cognitifs et, par exemple, nous orienter vers des interprĂ©tations de type Ă©motionnels, sans mĂȘme que nous en ayons conscience.
Quoi quâil arrive tous les stimulus sont interprĂ©tĂ©s Ă©motionnellement.
Q24 La loi de Fitts est une relation linĂ©aire entre le temps de mouvement et la taille des cibles aÌ atteindre
=> Le temps de mouvement est linéairement relié à ID (Indice de Difficulté).
=> non linéaire = augmentation de la durée du mouvement avec la distance
Q25 PrivĂ©e dâinformations sensorielles effĂ©rentes, la patiente G.L souffre de troubles du toucher alors quâelle conserve la capaciteÌ aÌ rĂ©aliser des actions complexes
=> Maladie qui a atteint lâensemble des voies sensorielles, les voies affĂ©rentes, elle nâa pas de retour sensoriel.
Les informations efférentes, du cerveau au muscle, ne sont pas touchées.
Q26 Une pathologie altĂ©rant le fonctionnement du lobe pariĂ©tal, telle que lâataxie optique, perturbe de maniĂšre plus importante la motricitĂ© volontaire rĂ©active, c'est-aÌ-dire celle basĂ©e sur les stimuli visuels.
Ex : Ataxie optique, dysfonctionnement pariĂ©tal, erreur massive dans les tĂąches dâatteinte manuelle dâobjets visuels, surtout en vision pĂ©riphĂ©rique. Pas de dĂ©ficit visuel, moteur, ou somatosensoriel. Voie dorsale touchĂ©e. Aire 5-7-19 touchĂ©e. DifficultĂ© Ă situer sa main dans l'espace
Q27 Lâobservation dâun pattern triphasique lors de la production dâune action inefficace, câest aÌ dire lorsque le dĂ©placement des segments corporels est empĂȘchĂ© par une contrainte mĂ©canique, tĂ©moigne de lâexistence dâune forme de mouvement Ă©lĂ©mentaire entiĂšrement programmeÌ aÌ lâavance
â Walmain observe le pattern triphasique en condition libre et en condition contrainte ! Un mouvement Ă©lĂ©mentaire est donc un mouv entiĂšrement programmĂ© en avance sous la forme dâun pattern triphasique.
Q28 DâaprĂšs lâexpĂ©rience de Held and Hein sur les chats (1 963) lorsque nous privons les chats de leur capaciteÌ aÌ bouger dans leur environnement aprĂšs 6 mois de vie, ces derniers vont brutalement voir leur capaciteÌ visuelle dĂ©croĂźtre et se comporter comme des chats aveugles.
=> AprĂšs 8-12 semaines dans lâobscuritĂ© et 6 semaines de mouvements ou non.
Q29 Lorsque nous demandons aÌ un individu de produire plusieurs mouvements de saisie en direction dâobjets positionnĂ©s aÌ diffĂ©rentes distances dans son espace dâaction, nous observons que le temps nĂ©cessaire aÌ produire ces mouvements est globalement constant.
=> Principe dâisochronie (mĂȘme temps). Je peux saisir lâobjet peu importe la distance, mais ce qui va rester constant câest la durĂ©e que je mets pour le prendre.
Q30 Un systĂšme de contrĂŽle rĂ©troactif (ou en boucle fermĂ©e) permet dâadapter la commande motrice programmĂ©e aÌ lâavance au cours de lâexĂ©cution de lâaction en fonction des informations sensorielles captĂ©es. â SystĂšme rĂ©troactif = SystĂšme capable de traiter les informations de l'environnement, identifier les changements, pour modifier lâaction motrice de base, pour s'adapter Ă la situation. SystĂšme en boucle fermĂ©e.
Q31 La loi de puissance 2/3 est une loi du mouvement qui exprime une relation entre la vitesse dâexĂ©cution dâun mouvement et la courbure de sa trajectoire. Cette loi rĂ©git comment un individu produit un mouvement mais Ă©galement la maniĂšre avec laquelle il interprĂšte les mouvements des autres.
Q32 Si un stimulus apparaĂźt seul dans notre environnement ou avec dâautres stimuli perceptivement similaires, alors certains neurones attĂ©nuent leur activitĂ©
Q33 Dans le paradigme de Posner, lâeffet de validitĂ© positif rend compte de lâattention endogĂšne
=> câest lâattention exogĂšne (validitĂ© positive) =/= attention endogĂšne (validitĂ© nĂ©gative)
Q34 Le SystĂšme Attentionnel Superviseur intervient pour des actions simples, ne nĂ©cessitant pas dâĂ©laborer des stratĂ©gies particuliĂšres
=> intervient pour des actions complexes nécessitant une stratégie particuliÚre (semi-automatique ou complexe)
Q35 Le modĂšle de Heilman suggĂšre lâexistence de deux faisceaux attentionnels provenant de lâactivitĂ© de lâhĂ©misphĂšre droit
ModĂšle de Heilman : utilise la notion aussi de faisceau attentionnel
Q36 En psychologie cognitive, la catĂ©gorisation sâapparente Ă une forme de reconnaissance, et qui comporte une dĂ©cision
=> CatĂ©goriser câest prendre une dĂ©cision. (note: câest diffĂ©rent de la mĂ©morisation oĂč le stimulus est identique Ă celui auquel on a dĂ©jĂ Ă©tĂ© confrontĂ©, il nây a pas de prise de dĂ©cision dans ce mĂ©canisme ci)
Q37 Dans un réseau sémantique, les arcs représentent les éléments de signification de concepts
=> les arcs sont les liens entre les nĆuds (qui sont eux, les concepts).
Q38 Dans la théorie des traits sémantiques, les traits ont une réalité représentationnelle.
Dans la théorie des traits sémantiques on se base sur le trait et non sur le mot, c'est l'unité porteuse de sens et donc ayant une réalité représentationnelle.
Q39 LâexpĂ©rience de Bauer (2022) montre le rĂŽle de la conscience dans le dĂ©veloppement et lâacquisition de nouveau comportement
Câest expĂ©rience oĂč lâexpĂ©rimentateur joue avec un jouet devant enfant, enfants vont reproduire comportement de l'expĂ©rimentateur par la suite.
Q40 LâaccĂšs Ă la conscience ne garantit pas la vĂ©racitĂ© des souvenirs
â faux souvenirs dans les tĂ©moignages oculaires
Q1 : Le langage écrit présente une priorité ontogénétique par rapport au langage oral
Langage oral a la priorité ontogénétique et phylogénétique.
Q2 : Selon le modÚle de Dell, il y a des connexions bidirectionnelles entre les différents niveaux de traitement.
Q3 : Pour produire des phrases les mots doivent ĂȘtre insĂ©rĂ©s dans un cadre syntaxique et prosodique.
â Les mots doivent ĂȘtre insĂ©rĂ©s dans un cadre syntaxique et prosodique particulier
Q4 : LâhypothĂšse syllabique est utilisĂ©e pour traiter toutes les langues du monde
=> chaque langue a son adaptation. ex: français = syllabique, anglais = phonémique
Q5 : Selon le modĂšle de TRACE, les mots parlĂ©s sont dĂ©sactivĂ©s lors de la phase de sĂ©lection quand les mots ne sâapparient plus avec le signal de parole
=> je dirais le modÚle Cohorte pour la désactivation ; inhibition dans le modÚle de TRACE
Q6 : Les mots parlés ayant un faible nombre de voisins phonologiques sont reconnus plus rapidement que les mots parlés ayant un nombre important de voisins phonologiques
Q7 : Le langage Ă©crit est apparu dĂšs lâapparition de lâhomo sapiens langage oral
Q8 : Dans un modĂšle interactif en reconnaissance de mots parlĂ©s, le traitement de lâinformation de haut niveau peut contraindre lâactivation de lâinformation de bas niveau
=>bidirectionnelle
Q25 : Dans le cadre de la ThĂ©orie de lâAutodĂ©termination (Deci et Ryan, 1985,2002,2017), le besoin dâautodĂ©termination est dĂ©fini comme un besoin pour lâindividu de se sentir efficace dans ses activitĂ©s.
Besoin de compĂ©tence = besoin de se sentir efficace dans les activitĂ©s entreprises. Les perceptions dâefficacitĂ© lors dâune activitĂ© procurent une satisfaction qui va accroĂźtre la motivation Ă poursuivre cette activitĂ©.
Q26 : Dans le cadre de la ThĂ©orie de lâAutodĂ©termination (Deci et Ryan, 1985,2002,2017), la rĂ©gulation identifiĂ©e concerne des activitĂ©s rĂ©alisĂ©es Ă la fois de façon autodĂ©terminĂ©e et pour des raisons instrumentales.
Q27 : DâaprĂšs la ThĂ©orie de lâAutodĂ©termination (Deci et Ryan, 1985,2002,2017), travailler dans le cadre de ses Ă©tudes pour faire plaisir Ă son entourage relĂšve dâune rĂ©gulation externe, qui est une motivation non-autodĂ©terminĂ©e.
=> Il sâagit dâune rĂ©gulation introjectĂ©e (dĂ©sirabilitĂ© sociale)
Q28 : La thĂ©orie de lâĂ©valuation cognitive (Deci & Ryan, 1985) dĂ©crit les consĂ©quences positives de la motivation intrinsĂšque sur le fonctionnement cognitif.
Son objectif est dâĂ©tudier un effet des renforçateurs externes sur lâintĂ©rĂȘt et le plaisir Ă rĂ©aliser une tĂąche (= sur la motivation intrinsĂšque).
Q29 : Dans le modĂšle hiĂ©rarchique de la motivation de Vallerand (1997), les besoins de lâindividu sont hiĂ©rarchisĂ©s par ordre dâimportance.
Q30 : Les buts de performance (Dweck et Legget, 198S) sont auto-référés : par exemple travailler pour améliorer son rang dans un classement.
BUTS DE PERFORMANCE: montrer sa compétence aux autres (faire mieux que les autres (ex: classement) = but hétéro-référé
Q31 : Dans lâĂ©tude de Vallerand et al. (1996), il apparaĂźt que la situation de coopĂ©ration sâassocie Ă davantage de persistance dans lâactivitĂ© (retour Ă la tĂąche) que la situation de compĂ©tition.
2 situations: une équipe doit trouver des mots (but de maßtrise) et de l'autre cÎté c'est chacun pour soi (but de perf), à la fin, il remarque que ceux en compétition restent plus longtemps aprÚs la tùche. ceux qui ont perdu se détournent
On ne lâa pas fait cet annĂ©e cette question est HORS PROGRAMME !!!!!
ââQ32 Le modeÌle de Prochaska et Di Clemente (1982) deÌcrit les causes et les conseÌquences de diffeÌrents stades de motivation au changement.
Q33 : LâĂ©tape de planification motrice consiste Ă dĂ©finir les coordinations des activitĂ©s musculaires nĂ©cessaires Ă la rĂ©alisation de lâaction.
2) Planification : Ă©tablir un scĂ©nario, une sĂ©quence de gestes qui correspond Ă la mise en Ćuvre de lâintention motrice, dĂ©composition
3) Programmation : dĂ©finir les coordinations nĂ©cessaires Ă la rĂ©alisation de lâaction
Q34 : Lors de la programmation de mouvement avec dominance du contrĂŽle temporel, tels que les mvts de saisie, le systĂšme dĂ©finit les caractĂ©ristiques du mvt en ajustant lâintensitĂ© de la force initiale tout en maintenant constante la durĂ©e dâapplication de cette force.
Q35 : Une pathologie altĂ©rant le fonctionnement du lobe pariĂ©tal, telle que la schizophrĂ©nie, perturbe de maniĂšre plus importante la motricitĂ© volontaire rĂ©active, câest-Ă -dire celle basĂ©e sur les stimuli visuels.
Ca câest lâataxie optique
Q36 : Pour un mouvement de flexion du coude, le pattern tri-phasique observable sur les muscles du bras se caractĂ©rise par une succession dâactivation des muscles : Triceps brachial- biceps brachial- Triceps brachial.
BicepsâTricepsâBiceps
Q37 : Sherrington a mis en Ă©vidence la loi dâinnervation rĂ©ciproque et a obtenu le prix Nobel de physiologie en 1932.
-> HORS PROGRAMME ?
Q38 : Sans informations affĂ©rentes, il nâest pas possible de bouger et dâagir.
Si, exemple avec patiente GL (désafférentée)
Q39 : Une boucle fermĂ©e sensorielle est constituĂ©e, entre autres, dâinformations effĂ©rentes, dâinformations affĂ©rentes et dâun comparateur.
Q40 : La diffĂ©rence entre un rĂ©flexe et une action, câest le degrĂ© de stabilitĂ© de lâenvironnement.
Q9 Jonathan reçoit un eÌnieÌme mot d'avertissement sur son carnet de correspondance aÌ cause d'insultes qu'il a l'habitude de profeÌrer envers un camarade. Ses parents lui avaient promis d'acheter un nouveau teÌleÌphone. Suite aÌ cet eÌveÌnement, ils deÌcident d'annuler cet achat. Il est treÌs en coleÌre et, la semaine suivante, il recommence aÌ insulter son camarade. C'est un exemple de punition neÌgative
Q10 Jonathan reçoit un eÌnieÌme mot d'avertissement sur son carnet de correspondance aÌ cause d'insultes qu'il a l'habitude de profeÌrer envers un camarade. Ses parents lui avaient promis d'acheter un nouveau teÌleÌphone. Suite aÌ cet eÌveÌnement, ils deÌcident d'annuler cet achat. Il se montre treÌs calme et, les semaines suivantes, il n'insulte pas son camarade. C'est un exemple de punition neÌgative
Q11 L'extinction dâun conditionnement pavlovien se manifeste par l'affaiblissement progressif de la reÌaction inconditionneÌe.
Q12 Une phobie manifesteÌe par un individu d'un groupe peut se reÌpandre aux autres membres du groupe : c'est la geÌneÌralisation de la reÌponse de peur.
Q13 Si vous eÌtes deÌrangeÌ par un ami qui aime bien vous taquiner (il aime vous voir vous eÌnerver), alors un moyen de stopper son comportement est de ne rien dire lorsqu'il vous taquine. Vous proceÌdez ainsi aÌ une extinction opeÌrante.
Q14 La reÌcupeÌration spontaneÌe de la reÌponse conditionneÌe montre que l'extinction n'a pas supprimeÌ la reÌponse conditionneÌe.
Q15 Une phobie post-traumatique de la conduite automobile reÌveÌle une extinction de la reÌponse conditionneÌe.
Q16 Samuel chante fort devant sa copine qui n'appreÌcie pas et lui demande d'arreÌter. A l'avenir, il s'abstiendra de chanter devant elle. C'est un exemple de punition positive.
Q17 Pour Janet lâeÌmotion est notre heÌritage dâun homme-animal archaiÌque qui reÌpondait aux situations sans reÌflexion.
Les Ă©motions sont un hĂ©ritage de lâHomme archaĂŻque que nous Ă©tions.
Q18 Plutchick dans son modeÌle propose huit eÌmotions primaires alors quâEkman en propose six.
Q19 Quand on parle dâhomeÌostasie on entend que tout organisme tend aÌ un eÌquilibre interne et agit pour le maintenir.
Q20 Les dote probe task permettent dâeÌtudier les variations dues aux eÌmotions des processus dâengagement et de deÌsengagement attentionnels.
Q21 Dans les eÌpreuves de meÌmoire eÌmotionnelle issues du modeÌle de Bower, on parle dâeffet de deÌpendance aÌ lâapprentissage et de congruence au rappel.
Q22 Un arousal physiologique nâest pas neÌcessairement lieÌ aÌ une « activation eÌmotionnelle de lâorganisme »
Q23 Un arousal eÌmotionnel pourrait juste eÌtre deÌclencheÌ par une reÌaction de lâorganisme face aÌ un stimulus
Q24 Des processus cognitifs en lien avec les eÌmotions peuvent eÌtre mis en action chez un individu sans meÌme quâil ne ressente dâeÌmotion.
Q32. Si un stimulus apparait seul dans notre environnement ou avec des stimuli perceptivement similaire, alors certains neurones atténuent leur activité.
Q33.
Q34.
Q35.
Q1 : Le systĂšme sous-glottique sert de soufflerie et dĂ©termine lâintensitĂ© de la voix
Q2 : Le point dâunicitĂ© phonologique est le phonĂšme Ă partir duquel un mot est le seul candidat possible
Q3 : Selon le modĂšle TRACE, quand un son est ambigu, le systĂšme cognitif ne peut pas utiliser les connaissances lexicales
Q4 : Un mot de basse frĂ©quence est reconnu plus rapidement quâun mot de haute frĂ©quence
Q5 : Si vous ĂȘtes dĂ©rangĂ© par un ami qui aime bien vous taquiner (il aime vous voir vous Ă©nerver), alors un moyen de stopper son comportement est de montrer de lâindiffĂ©rence lorsquâil vous taquine. Vous procĂ©dez Ă une extinction opĂ©rante
Q6 : Une rĂ©ponse conditionnĂ©e sâĂ©teint lorsque un le stimulus neutre est prĂ©sentĂ© trop peu souvent
quand le stimulus inconditionné est présenté trop peu souvent *
Q7 : Le rat, dans la cage de Skinner apprend à appuyer sur le levier grùce à un raisonnement hypothético-intuitif
=> grĂące au Shaping
Q8 : Samuel chante fort devant sa copine qui nâapprĂ©cie pas et lui demande dâarrĂȘter. A lâavenir, il sâabstiendra de chanter devant elle et chantera plutĂŽt seul sous la douche. Câest un exemple de punition positive
=> pas de punition car Samuel maintient son comportement.
Q9 : Pour Lewis le dĂ©veloppement des Ă©motions chez lâenfant dĂ©pend, durant la premiĂšre annĂ©e, du dĂ©veloppement des viscĂšres
Câest le modĂšle de Bridge
Q10 : Pour Ekman les Ă©motions ne peuvent ĂȘtre universelles puisque selon notre culture nous ne dĂ©veloppons pas tous les mĂȘmes Ă©motions
La grande majorité des émotions sont universels pour Ekman
[Malo-mĂ©mo: câest effectivement universel mais pas pour la bonne raison. Il dit que ça vient de la gĂ©nĂ©tique or pourrait venir de lâenvironnement a des bases communes dans la vie de chaque ĂȘtre humain]
Q11 : Dans le dĂ©veloppement des Ă©motions chez lâenfant, la valeur communicative de celles-ci n'apparaĂźt pas avant le dĂ©but de lâacquisition du langage (premiers babillages)
Q12 : Un arousal physiologique court-circuite un appraisal émotionnel
Lazarus:essayĂ© de dire que lâĂ©motion est avant tout une interprĂ©tation. Il a voulu prouver quâon peut court-circuiter les Ă©motions en leur donnant une interprĂ©tation avant â un appraisal avt lâarousal. ( exp: donne commentaire (ex: bordel comme ça fait peur) avant dâaller voir un film = interprĂ©tation a priori -> mĂȘmes mes physio mais Ă©val cog diffĂ©rente)
Q13 : Le concept ââorigine-pionââ (deCharms, 1968) concerne le contrĂŽle que la personne exerce sur son environnement et lâinfluence quâelle peut exercer sur les autres
Q14 : DâaprĂšs la thĂ©orie de lâAutodĂ©termination (Deci & Ryan, 1985, 2002), si Pierre travaille dans le cadre de ses Ă©tudes pour se montrer Ă lui-mĂȘme quâil est capable de rĂ©ussir, cela relĂšve de la motivation extrinsĂšque par rĂ©gulation introjectĂ©e
Jâaurai plutĂŽt dit âidentifiĂ©â
Q15 : Les buts de maßtrise (Dweck et Leggett, 1988) sont auto-référés : par exemple travailler pour améliorer son rang dans un classement
lâexemple correspond Ă un but de performance
- BUTS DE MAĂTRISE : progresser en compĂ©tence, s'amĂ©liorer (but auto-rĂ©fĂ©rĂ©)
- BUTS DE PERFORMANCE: montrer sa compétence aux autres (faire mieux que les autres (ex: classement) = but hétéro-référé)
Q16 : Dans le modÚle de la motivation au changement de Prochaska et Di Clemente (1982), le stade de pré-contemplation correspond au fait que la personne prend conscience de ses comportements problématiques. Une intention de changer de comportement apparaßt
Q17 : La planification motrice dâun mouvement est rĂ©alisĂ©e au sein dâun rĂ©seau mettant en jeu les ganglions de la base en relation avec lâaire motrice supplĂ©mentaire
Câest la programmation motrice qui met en jeu les ganglions et lâair motrice supplĂ©mentaire
Q18 : La loi de Fitts est une loi qui prĂ©dit le temps dâun mouvement dâatteinte Ă partir de lâindex de difficultĂ© dâune tĂąche. Cet index notĂ© ID est Ă©gal au log(2D/T) oĂč T est la taille de la cible et D la distance sĂ©parant les cibles
Q19 : Il existe 2 boucles fermĂ©es de contrĂŽle, une sensorielle et une interne, permettant dâadapter nos actions aux variations de lâenvironnement
Q20 : Sherrington a proposĂ© la thĂ©orie du programme moteur et notamment le concept de PMG â le programme moteur gĂ©nĂ©ralisĂ©
Q1 : La thĂ©orie physiologique ne peut pas expliquer lâorigine du langage
ThĂ©orie physiologique : abaissement de lâappareil phonatoire, production de sons.
Q2 : La communication animale se distingue de la communication humaine par le référent
=> le modĂšle de Jakobson
Q3 : Pour arriver Ă prononcer la consonne /f/, il est utile de faire vibrer ses cordes vocales et de bloquer le passage de lâair un instant avec ses lĂšvres
Q4 Lâeffet Ganong plaide en faveur dâune influence du lexique sur le traitement des phonĂšmes
=>Task et dash
Q5 Selon le modÚle de Trace, les informations reconnues à partir du signal de parole sont appariées avec tous les mots du lexique mental sans prendre en compte si ces informations se situent en début de mots
Q6 : Les mots parlĂ©s ayant un point dâunicitĂ© phonologique court sont reconnus plus rapidement que les mots parlĂ©s ayant un point dâunicitĂ© phonologique long
=>Le temps de reconnaissance dâun mot est supposĂ© correspondre au moment oĂč le mot reste lâunique candidat Ă ĂȘtre activĂ© dans la cohorte (câest la notion de point dâunicitĂ© phonologique (PU))
Q7 : Lâune des Ă©tapes du traitement de la production du langage oral est la reconnaissance des mots parlĂ©s
Q 8 : Dans un modĂšle parallĂšle, le traitement de lâinformation peut commencer seulement quand le traitement du niveau prĂ©cĂ©dent est fini
Q9 : Un professeur fĂ©licite un Ă©lĂšve pour avoir participĂ© Ă lâoral durant le cours. Les fois suivantes, il ne participe plus Ă lâoral. Câest un exemple de renforcement positif
punition positive
Q10 : Une personne dĂ©veloppe une phobie des chiens suite Ă morsure sĂ©vĂšre quâelle a subie. La phobie, ici, tĂ©moigne que le chien nâest plus un SN
Q11 : Une personne dĂ©veloppe une phobie des chiens suite Ă morsure sĂ©vĂšre quâelle a subie. Le SC correspond au chien.
Q12 : Une mĂšre dĂ©cide de ne plus porter attention Ă son fils et de ne plus cĂ©der (en lui achetant un jouet) lorsque celui-ci fait une crise au supermarchĂ© pour obtenir un jouet. Les crises sâintensifient, puis diminuent jusquâĂ disparaĂźtre. Câest un exemple dâextinction
Q13 : Une personne dĂ©veloppe une phobie des chiens suite Ă une morsure sĂ©vĂšre quâelle a subie. Le SI correspond au chien.
Q14 : Franck essaie de diminuer sa consommation de tabac. Il se fixe un premier objectif de diminuer le nombre de cigarettes quotidiennes de 25 Ă 23. Puis une fois quâil a atteint cet objectif, il dĂ©cide de diminuer de 23 Ă 21, ainsi de suite jusquâĂ atteindre 15 cigarettes par jour. Câest un exemple de façonnement (shaping)
Q15 : Une personne dĂ©veloppe une phobie des chiens suite Ă une morsure sĂ©vĂšre quâelle a subie. La phobie se manifestera de maniĂšre moins intense si on procĂšde Ă une extinction du chien
Q16 : GaĂ«tan va manger dans un restaurant et tombe malade. A la suite de cet Ă©vĂšnement, GaĂ«tan ira manger moins souvent Ă ce restaurant. Câest un exemple de renforcement nĂ©gatif du comportement qui consiste Ă aller au restaurant.
punition positive
Q17 : Dans les thĂ©ories faisant rĂ©fĂ©rence Ă une Ă©valuation cognitive, lâĂ©motion est issue dâun systĂšme cognitif dâinterprĂ©tation activĂ© par un arousal physiologique
Q18 : Une expĂ©rience de Lorenz montre que chez les oiseaux, dĂšs leur naissance un systĂšme cognitif dâinterprĂ©tation de lâenvironnement afin de lui donner une valeur Ă©motionnelle existe
Q19 : Il est possible dâenvisager les Ă©motions primaires comme des rĂ©actions prĂ©-programmĂ©es de lâorganisme activĂ©es par la perception de certains stimulus
Q21 : Les travaux dâEkman nous apprennent que le ressenti de lâĂ©motion est avant tout une perception de la modification de nos expressions faciales
Pourquoi câest faux ? Puisquâil dit que les changements minimes dans les expressions du visage permettent dâinterprĂ©ter des Ă©motions.
Q22 : On décompte de trois en trois plus rapidement dans un état émotionnel positif plutÎt que négatif
Q23 : Sans mĂȘme en avoir conscience nous accordons des poids Ă©motionnels Ă de nombreux stimulus de notre environnement qui pourtant peuvent paraĂźtre anodins
Q24 : Il nâest pas nĂ©cessaire de ressentir une Ă©motion pour que des processus cognitifs en lien avec les activations Ă©motionnelles soient mis en route
Q25 : Contrairement aux motivations sociales (secondaires), les motivations cognitives et affectives sont rĂ©gulĂ©es par un processus dâhomĂ©ostasie
Q26 : Les travaux de Berlyne (1960) montrent que pour une tĂąche donnĂ©e et un individu donnĂ©, il y a une complexitĂ© optimale qui engendre un intĂ©rĂȘt maximal. Lâoptimum de complexitĂ© pour lâagrĂ©ment correspond Ă une complexitĂ© lĂ©gĂšrement infĂ©rieure
Q27 : Selon White (1959), lâeffectance est le processus par lequel lâindividu se sent Ă lâorigine de ses comportements
Q28 : Dans le cadre de la thĂ©orie de lâautodĂ©termination (Deci & Ryan, 1985, 2002), le besoin de compĂ©tence est dĂ©fini comme un besoin de se percevoir comme la principale cause de ses comportements, dâen avoir le contrĂŽle
besoin dâautonomie
Q29 : Dans le cadre de la thĂ©orie de lâautodĂ©termination (Deci & Ryan, 1985, 2002), sur le continuum dâautodĂ©termination, la rĂ©gulation introjectĂ©e est la motivation extrinsĂšque la plus autodĂ©terminĂ©e
régulation externe -> régulation introjectée -> régulation identifiée -> régulation intégrée -> (MI)
Q30 : DâaprĂšs la thĂ©orie de lâautodĂ©termination (Deci & Ryan, 1985, 2002), si un Ă©lĂšve travaille une matiĂšre qui ne lâintĂ©resse pas en soi, mais le fait car il a bien perçu que câest utile vis-Ă -vis dâun projet important pour lui, cela relĂšve de la motivation extrinsĂšque par rĂ©gulation identifiĂ©e
Q31 : Les buts de maitrise (Dweck et Leggett, 1988) sont auto-référé : par exemple travailler pour améliorer son rang dans un classement
lâexemple correspond Ă un but de performance
Q32 : Dans le modĂšle de motivation au changement de Prochaska et Di Clemente (1982), le stade de prĂ©-contemplation correspond Ă une nĂ©gation du problĂšme : la personne nâa pas lâintention de changer son comportement
Q33 : La rĂ©alisation dâun acte moteur volontaire repose sur 3 Ă©tapes : formation dâune intention, programmation, exĂ©cution
Q34 : La motricité volontaire réactive permet de produire des actes moteurs basés sur des stimuli visuels
Q35 : La loi de Fitts est une loi qui prĂ©dit le temps dâun mouvement dâatteinte Ă partir de lâindex de difficultĂ© dâune tĂąche. Cet index notĂ© ID est Ă©gal au log2(2T/D) oĂč T est la taille de la cible et D la distance sĂ©parant les cibles
Q36 : Le pattern tri-phasique consiste en une triple activation des muscles agoniste-antagoniste agoniste
Q37 : Une boucle interne est constituĂ©e dâinformations effĂ©rentes, dâinformations affĂ©rentes et dâun comparateur
Q38 : Sans informations affĂ©rentes, il nâest pas possible de bouger et dâagir
Q39 : Sherrington a mis en Ă©vidence lâhomonculus du cortex moteur primaire
Q40 : La discipline des sciences cognitives développe des modÚles computationnels pour étudier et comprendre la cognition humaine dans des environnements numériques
Q1 : Le langage écrit et discret et stable
Q2 : La segmentation et lâacceÌs au lexique se font par lâintermeÌdiaire dâune uniteÌ infra- lexicale, appeleÌe la syllabe en anglais
â en français câest la syllabe mais pas en anglais
Q3 : Selon les Ă©tudes en syntaxe, le traitement dâune phrase prend en compte les relations hiĂ©rarchiques
=> comme dans le modĂšle de Chomsky
Q4 : Un graphĂšme convergent est une lettre pouvant amener Ă plusieurs phonĂšmes
=> câest la dĂ©finition dâun graphĂšme divergent c => k/s
Q5. Un patient schizophrÚne émet un discours délirant en présence de plusieurs infirmiÚres qui essaient souvent de le raisonner et d'argumenter sur le non-sens de ses propos. Mais en présence d'une autre infirmiÚre (infirmiÚre A.) il émet un discours plus sensé. Cette infirmiÚre a l'habitude d'ignorer ses discours délirants et de répondre avec bienveillance à ses discours sains. Le comportement d'émettre un discours délirant est renforcé négativement en présence de l'infirmiÚre A.
â punition ( rĂ©duction des discours dĂ©lirant en prĂ©sence de lâinfirmiĂšre A )
Q6 : Lâextinction de la RC se produit lorsque la RC est trop renforcĂ©e
Q7 : Un patient schizophreÌne eÌmet un discours deÌlirant en preÌsence de plusieurs infirmieÌres qui essaient souvent de le raisonner et d'argumenter sur le non-sens de ses propos. Mais en preÌsence d'une autre infirmieÌre, il eÌmet un discours plus senseÌ. Cette infirmieÌre a lâhabitude d'ignorer ses discours deÌlirants et de reÌpondre avec bienveillance aÌ ses discours sains. Le fait de se comporter diffeÌremment en preÌsence de diffeÌrentes infirmieÌres est un exemple de discrimination.
Q8 : Lâextinction de la RI se produit lorsque la RI nâest plus renforcĂ©e
Q10. Bower dans son modeÌle de la meÌmoire eÌmotionnelle propose que notre eÌtat eÌmotionnel aÌ un moment donneÌ est dâabord lieÌ aÌ la valence des informations que nous encodons en meÌmoire aÌ ce moment (effet de priming eÌmotionnel).
Q11 : Dans le modĂšle du dĂ©veloppement des Ă©motions de Bridges, lâapparition de certaines Ă©motions peut ĂȘtre liĂ©e au dĂ©veloppement squelettique de lâenfant
Q12 : Dans le modĂšle de Plutchik, les 8 Ă©motions primaires sâopposent les unes autres, ce qui expliquent quâon ne peut ressentir deux Ă©motions en mĂȘme temps
Q13 : Le concept de ââorigine-pionââ (deCharms, 1968) concerne le contrĂŽle que la personne exerce sur autrui
Q14. DâapreÌs la TheÌorie de lâAutodeÌtermination (Deci et Ryan, 1985, 2002), si Pierre aime lâhistoire, lire un livre dâhistoire peut lui procurer une satisfaction lieÌe au fait dâapprendre des choses nouvelles dans ce domaine : cela releÌve de la motivation intrinseÌque aÌ la connaissance
Q15. DâapreÌs la TheÌorie de lâAutodeÌtermination (Deci et Ryan, 1985, 2002), si Pierre travaille dans le cadre de ses eÌtudes pour se monter aÌ lui-meÌme qu'il est capable de reÌussir, cela releÌve de la motivation extrinseÌque par reÌgulation identifieÌe.
Q16 : Les buts de performance (Dweck et Leggett, 1988) sont hétéro-référés : par exemple, travailler pour améliorer son rang dans un classement
Q17 La planification motrice dâun mouvement est reÌaliseÌe au sein dâun reÌseau mettant en jeu les ganglions de base en relation avec lâaire motrice suppleÌmentaire
Q18 La loi de puissance 2/3 exprime la relation entre la taille dâun mouvement et la vitesse dâexeÌcution motrice
Q19 Il existe 2 boucles de controÌle permettant dâadapter nos actions aux variations de lâenvironnement
Q20 La diffeÌrence entre un reÌflexe et une action, câest le degreÌ de stabiliteÌ de lâenvironnement
Q1 : La thĂ©orie physiologique ne peut pas expliquer lâorigine du langage
Q2 : La communication animale se distingue de la communication humaine par le référent
Q3 : Pour arriver Ă prononcer la consonne /f/, il est utile de faire vibrer ses cordes vocales et de bloquer le passage de lâair un instant avec ses lĂšvres
=> le son f est non-voisée et fricative
Q4 : Lâeffet Ganong plaide en faveur dâune influence du lexique sur le traitement des phonĂšmes
Q5 : Selon le modÚle de TRACE, les informations reconnues à partir du signal de parole sont appariées avec tous les mots du lexique mental sans prendre en compte si ces informations se situent de début de mots
=>que ce soit en début ou en milieu de mot.
Q6 : Les mots parlĂ©s ayant un point dâunicitĂ© phonologique court sont reconnus plus rapidement que les mots parlĂ©s ayant un point dâunicitĂ© phonologique long
Q7 : Lâune des Ă©tapes du traitement de la production du langage oral est la reconnaissance des mots parlĂ©s
Q8 : Dans un modĂšle parallĂšle, le traitement de lâinformation peut commencer seulement quand le traitement du niveau prĂ©cĂ©dent est fini
-> Le modÚle Cohorte est un modÚle séquentiel : traitement possible uniquement depuis les niveaux inférieurs de traitement (acoustique), le début du mot, vers les niveaux supérieurs (traitement sémantique), vers la fin du mot.
Q9 : Un professeur dĂ©cide de rĂ©primander un Ă©lĂšve Ă chaque fois quâil interpelle le professeur sans lever la main. Le comportement diminue. Câest un exemple de punition nĂ©gative
punition positive
Q10 : Un comportement doit ĂȘtre renforcĂ© de maniĂšre continue sinon il sâĂ©teint
Q11 : Afin d'accroĂźtre la diversitĂ© alimentaire dâun jeune enfant, on augmente progressivement le nombre dâaliments diffĂ©rents quâil doit ingĂ©rer pour avoir accĂšs Ă un jouet prĂ©fĂ©rĂ©. Câest un exemple de façonnement (shaping)
Q12 : Le comportement de jeter des objets par terre est renforcĂ© par lâĂ©chappement Ă la corvĂ©e de devoir mettre la table. En effet, devoir ramasser les objets par jetĂ©s constitue un argument pour ne pas mettre la table. Selon un programme dâextinction, aucune consĂ©quence ne doit ĂȘtre donnĂ©e Ă ce comportement
Q13 : La peur dâun Ă©vĂ©nement exprimĂ©e par un membre dâun groupe peut se propager aux autres membres du groupe. Il sâagit de la gĂ©nĂ©ralisation de la rĂ©ponse conditionnelle de peur
Q14 : Le renewal effect montre que lâextinction ne supprime pas le conditionnement pavlovien
Q15 : Il faut changer de contexte visuel, auditif ou olfactif pour que la rĂ©cupĂ©ration spontanĂ©e (âspontaneous recoveryâ) dâune RC puisse sâobserver
Q16 : La réponse conditionnée est appelée ainsi car elle se produit suite à un conditionnement pavlovien
Q17 : Pour Socrate les Ă©motions ne sont pas partie constituante de lâHomme et seule la pensĂ©e est importante
citation de la L1: Les Ă©motions bien que partie constituante de lâHomme et de son Ăąme sont infĂ©rieures Ă la pensĂ©e qui peut les contrĂŽler
Q18 : Dans le modĂšle de Plutchik, les Ă©motions primaires sâopposent deux Ă deux et lorsque lâon vit deux Ă©motions primaires opposĂ©es en mĂȘme temps nous faisons lâexpĂ©rience dâune Ă©motion secondaire
Q19 : James et Lange sont Ă lâorigine de la thĂ©orie pĂ©riphĂ©rique des Ă©motions
Q20 : Pour Cannon, lâhomĂ©ostasie renvoie Ă lâĂ©quilibre de lâorganisme entre les stimulations internes et les stimulations externes
Q21 : Le syndrome gĂ©nĂ©ral dâAdaptation face au stress propose quâĂ la suite dâune phase dâalarme on considĂšre soit une phase de rĂ©sistance, soit une phase dâĂ©puisement
Q22 : Dans le modÚle de la mémoire émotionnel de Bower, il y a inhibition réciproque entre les réactions physiologiques et les réactions comportementales
Q23 : Lâeffet de congruence proposĂ© par Bower signifie que lâon rappelle prĂ©fĂ©rentiellement les informations congruentes Ă notre Ă©tat Ă©motionnel
Q24 : Dans les modĂšles dâĂ©valuation cognitive, lâArousal est une activation physiologique qui peut ĂȘtre indiffĂ©renciĂ©e
Q25 : Contrairement aux motivations physiologiques qui sont régulées par un processus homéostasique, les motivations cognitives et affectives sont considérées comme des motivations secondaires
Q26 : DâaprĂšs les travaux de Berlyne (1960), pour une tĂąche donnĂ©e et un individu donnĂ©, lâoptimum de complexitĂ© pour lâagrĂ©ment correspond Ă un niveau de complexitĂ© supĂ©rieur Ă lâoptimum de complexitĂ© pour lâintĂ©rĂȘt
PAS PROGRAMME
Q27 : DâaprĂšs Deci & Ryan (1985), les tĂąches qui suscitent le plus de motivation intrinsĂšque sont celles qui sont dĂ©jĂ bien maĂźtrisĂ©es
il faut un juste milieu, pas trop facile mais pas trop dur (cf perception de compétence)
Q28 : Dans le cadre de la ThĂ©orie de lâAutodĂ©termination (Deci & Ryan, 1985), les comportements rĂ©alisĂ©s pour Ă©viter un sentiment de culpabilitĂ© relĂšvent de la rĂ©gulation introjectĂ©e.
RĂ©gulation introjectĂ©e : le comportement est rĂ©alisĂ© pour montrer quelque chose aux autres (dĂ©sirabilitĂ© sociale, Ă©viter une culpabilitĂ©âŠ) ou Ă soi-mĂȘme (enjeu dâestime de soi). Davantage interne car lâindividu sâoblige cette pression/tĂąche.
Q29 : DâaprĂšs la thĂ©orie de lâĂ©valuation cognitive (Deci & Ryan, 1985), le locus de causalitĂ© perçu et les perceptions de compĂ©tence sont deux variables susceptibles dâaffecter la motivation intrinsĂšque
def cours
Q30 : DâaprĂšs lâĂ©tude de Vallerand et al (1996), ce sont les buts de maĂźtrise qui sâassocient Ă la meilleure persistance de lâintĂ©rĂȘt pour la tĂąche
Q31 : Avoir un but de maĂźtrise (Dweck & Leggett, 1988), câest chercher Ă affirmer sa maĂźtrise auprĂšs dâautrui
but de performance
Q32 : Le modÚle de Prochaska et Di Clemente (1982) oppose motivation autodéterminée et motivation contrÎlée dans le cadre des comportements de santé
â dĂ©crit 5 stades pour les motivations dans le cadre des comportements de santĂ© : prĂ© contemplation ( nĂ©gation du problĂšme ) - contemplation ( prise de conscience ) - prĂ©paration ( volontĂ© ) - action ( modification du comportement ) - maintien ( maintenir le changement)
Q33 : Lâintention motrice fait intervenir lâaire motrice supplĂ©mentaire (SMA) en relation avec le cortex moteur primaire
intention motrice = systĂšme limbique et aires frontales
Intention motrice : interaction aire frontale/systĂšme limbique
Planification : Décomposition dans cortex préfrontal (aire supp)
Programmation : ganglions de la base (aire supp)
Exécution : aire motrice > infos vers tronc cérébral/moelle épiniÚre
Action : correction du mouvement par le cervelet (avec pariétal)
Q34 : La motricité volontaire prédictive permet de produire des actes moteurs basés sur des stimuli visuels
Câest la motricitĂ© volontaire rĂ©active qui se base sur les stimuli visuels
â PrĂ©dictive, Ă©tapes faisables sans prĂ©lĂšvement dâinfos en retour (ex aller boire la nuit) : basĂ© sur la reprĂ©sentation de lâenvironnement
â RĂ©active, Ă©tapes identiques mais but diffĂ©rent, prĂ©lĂšvement Ă chaque interaction : basĂ© sur des informations visuelles prĂ©sentes dans lâenvironnement IRL, on combine les 2
Q35 : Pour les mouvements dâatteinte, le contrĂŽle est rĂ©alisĂ© en prenant comme invariant la force initiale et comme paramĂštre la durĂ©e dâapplication de la force
> Analyse cinĂ©matique dâun mouvement dâatteinte..
€ Invariant : Force dĂ©ployĂ©e dĂ©veloppĂ©e (pente dâaugmentation de la vitesse).
€ ParamĂštre : DurĂ©e dâapplication de la force. En dĂ©finissant le paramĂštre, je dĂ©finis la longueur du mouvement.
Q36 : La loi de puissance 2/3 exprime la relation entre la courbure et la vitesse dâexĂ©cution motrice
Loi de puissance 2/3 : Permet dâexpliquer les variations de vitesse en fonction des formes/courbes (mouv continus). Met en lien la vitesse du mouvement et le rayon de la courbe.
Q37 : La pattern tri-phasique consiste en une triple activation des muscles antagoniste-agoniste antagoniste
pattern tri-phasique = agoniste (biceps) - antagoniste (triceps) - agoniste (biceps)
Q38 : Une boucle ouverte est constituĂ©e dâinformations effĂ©rentes, dâinformations affĂ©rentes et dâun comparateur
comparateur seulement dans la boucle fermée ; programme dans la boucle ouverte
Q39 : Sans informations affĂ©rentes, il nâest pas possible de bouger et dâagir
Faux, preuve avec la patiente GL qui est dĂ©saffĂ©rentĂ©e c'est-Ă -dire sans informations affĂ©rentes, elle peut encore bouger mais elle ne peut plus percevoir les sensations provenant de son corps et si elle a les yeux bandĂ©s elle a les yeux bandeÌs elle est dans lâincapaciteÌ de preÌlever les infos sensorielles.
Q40 : Sherrington a mis en Ă©vidence la loi dâinnervation rĂ©ciproque et lâhomonculus du cortex moteur primaire
â PENFIELD
Q1 : Le langage oral est continu et variable
Q2 : On reconnaĂźt plus rapidement un mot parlĂ© ayant un nombre important de voisins phonologiques quâun mot parlĂ© ayant un nombre faible de voisins phonologiques
En reconnaissance des mots, une forte densité de voisinage phonologique a pour effet d'augmenter le nombre de réponses potentielles, rendant cette reconnaissance plus difficile : les mots à faible densité de voisinage phonologique sont reconnus plus rapidement que les mots à forte densité par de jeunes adultes
Q3 : Selon le modĂšle TRACE, les traits auditifs ne sâapparient pas avec le signal de parole sont activĂ©s par ceux s'apparient avec le signal de parole
Pas TRACE mais cohorte
Q4 : Le phĂ©nomĂšne de restauration phonĂ©mique peut sâappliquer par lâutilisation du contexte sĂ©mantique
Q5 : Une procĂ©dure de renforcement nĂ©gatif consiste Ă retirer un stimulus aversif contingentement Ă lâapparition dâun comportement
Q6 : Le fait de penser constitue un comportement
Q7 : Un enfant a lâhabitude de crier Ă©pisodiquement dans un magasin, mais il cesse immĂ©diatement ses cris lorsque sa mĂšre lui dit dâarrĂȘter. NĂ©anmoins, il recommence Ă crier quelques minutes plus tard. Câest un exemple de punition positive
Q8 : Un SN suivi dâun SI appĂ©titif aura tendance Ă rĂ©apparaĂźtre dans lâavenir
Câest un cpt qui va apparaĂźtre, pas le SN
Q9 : Le modĂšle de Weiner et Graham propose que les affects ressentis soient dĂ©pendants du rĂ©sultat dâune situation, de sa cause et entraĂźnent des tendances dâaction
Q10 : Selon Ekman, les émotions auraient une base universelle
Ekman: les 6 Ă©motions sont partagĂ©es par tous les ĂȘtres humains
Q11 : Les expĂ©riences dâHarris montrent quâil existe des stades de comprĂ©hension des situations Ă©motionnelles chez lâenfant
Harris: chien rentre dans sa niche, il y trouve soit un jouet soit une gamelle. On demande Ă lâenfant de dire ce quâil en pense. L'enfant en voyant le jouet est content et dĂ©goĂ»tĂ© devant la gamelle. En grandissant, lâenfant comprend que le chien est content devant gamelle.
Q12 : Depuis Bridge 1930, on sait que dĂšs la naissance (ou du moins aprĂšs quelques jours), lâenfant possĂšde dĂ©jĂ un panel Ă©motionnel comprenant les six Ă©motions primaires
Câest Ekman pas Bridge
Q13 : DâaprĂšs DeCharms (1968), lâeffectance est un processus qui pousse lâindividu Ă chercher Ă explorer et maĂźtriser son environnement
L'effectance : processus qui nous pousse à développer notre intelligence et nos compétences (curiosité).
Q14 : DâaprĂšs la thĂ©orie de lâautodĂ©termination (Deci & Ryan, 1985), si une personne affirme vouloir Ă©tudier le solfĂšge non par goĂ»t mais pour sâamĂ©liorer dans la pratique du piano, cela relĂšve de la rĂ©gulation identifiĂ©e
RĂ©gulation identifiĂ©e : les raisons du comportement sont liĂ©es Ă une bonne comprĂ©hension de son importance pour atteindre des objectifs autodĂ©terminĂ©s. (je nâaime pas le solfĂšge mais je veux mâamĂ©liorer au piano)
Q15 : Les buts de performance (Dweck & Leggett, 1988) sont hétéro-référés
BUTS DE PERFORMANCE: montrer sa compétence aux autres (faire mieux que les autres (ex: classement) = but hétéro-référé)
Q16 : Le modÚle de Prochaska et Di Clemente (1982) définit cinq formes de régulations motivationnelles
6 â Deci et Ryan
Q17 : La programmation motrice dâun mouvement est rĂ©alisĂ©e au sein dâun rĂ©seau mettant en jeu les ganglions de la base en relation avec lâaire motrice supplĂ©mentaire
Q18 : La loi de Fitts est une loi qui prĂ©dit le temps dâun mouvement dâatteinte Ă partir de la distance Ă parcourir et de deux fois la taille de la cible Ă atteindre (index de difficultĂ©)
ID = Log2(2D/T)
Q19 : Il existe 2 boucles de contrĂŽle permettant dâadapter nos actions aux variations de lâenvironnement
Boucle ouverte. Tout est anticipĂ©, lâaction du robot est anticipĂ©e. Pas de changements, de corrections dâerreurs.
Boucle fermée. Si message erreur, à ce moment la on peut aller changer notre commande motrice.
Q20 : La diffĂ©rence entre un rĂ©flexe et une action, câest le degrĂ© de stabilitĂ© de lâenvironnement