Al Capone et la Prohibition
Figures emblématiques de l'ère des gangsters dans les années 1920.
Prohibition au Canada
Québec avait des lois moins strictes, permettant une certaine tolérance.
Exemples d'entreprises ayant prospéré : Seagram et la famille Bronfman.
Montréal et Hull
Villes de vice, où l'alcool était accessible.
Législation québécoise sur la prohibition
Loi provinciale en 1919 interdisant l'alcool, mais moins stricte que dans d'autres régions.
Exclusion de la bière, du cidre et du vin léger.
Promotion de « bières de tempérance » à faible teneur en alcool (moins de 2,5%).
Contrebande et production clandestine
Marché noir florissant : production d’alcools clandestins (e.g., moonshine, bagosse).
Personnes de tous horizons participaient à la contrebande.
Revenus élevés, exemples tels que Conrad Labelle.
Risques sanitaires dus à l'alcool frelaté.
Réseaux de contrebande
Nombre élevé de contrebandiers, appelés « bootleggers ».
Routes utilisées pour transporter l'alcool depuis les îles Saint-Pierre-et-Miquelon.
Système de vente: bar et maison close sur la frontière canadienne-américaine.
Corruption parmi les forces de l'ordre
Corruption généralisée, pertes de policiers aux mains de la criminalité organisée.
Échec des mesures d’application de la loi contre la contrebande.
Fin de la Prohibition
1933 : fin de la prohibition aux États-Unis, mais la criminalité persiste.
Diminution du tourisme à Montréal, où les bars étaient une attraction.
Certaines villes comme Verdun restent sèches jusqu'en 2011.
Conclusion
Réflexion sur l'impact durable de la prohibition et de la contrebande sur la société québécoise.
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Remerciements
Myriam Wojcik pour la rédaction de la vidéo.
Laurent Turcot, présentateur.