Corona - Test
Mai 1884 — Les catholiques gagnent les éléctions législatives
Une Guerre scolaire survient, entre les étudiants catho. et les libéraux.
Les étudiants des “Écoles libres” portent la crapuleuse, nom péjoratif pour la penne.
Les calottins avaient des canes, ainsi que pipes et choppes
Les pennés avaient des gourdins puis des chaines.
Avec le temps, les calottins ont lâché leurs accessoires mais les pennés ont gardé leurs chaines.
Société Générale Bruxelloise des étudiants Catholiques, à Leuven
Crée en 1895 au sein de la SGBEC, assisté par Saint-Louis et l’ICHEC.
Ils veulent fédérer les étudiants catho. contre les libéraux.
Les étudiants catho. veulent alors se distinguer des voyous pennés.
Mais pas la faluche qui fait trop française, ni la penne qui fait trop gangster.
Emile Jourdin (sculpteur) propose alors une toque d’astrakan. Inspirée des bonnets des volontaires de 1830 (donc patriotiques) soit des colbacs des zouaves pontificaux (bonnet en laine noire avec un col rouge).
Bataillon volontaires Belges, Français et Hollandais qui ont été défendre, dans les années 1860, la souveraineté du Pape Pie IX face au Roi d’Italie (Victor Emmanuel II).
La SGBEC organise un un bal, dans une sale près de Caudenderg, qui sera tellement à pertes qu’ils font faillite. La société disparait et on voit donc moins de calottes à Leuven.
Parfois présenté comme seul créateur de la calotte, mais ca semble peu probable puisqu’il n’avait alors que 19 ans et était à Leuven depuis seulement 2 mois.
Il est retenu comme l’un des plus importants déjà parce qu’il était très charismatique.
Puis parce qu’il avait un certain prestige : il a été Secrétaire du Roi Leopold II et Grand Maréchal à la Cour du Roi sous le règne de Baudouin.
On le retient comme important car il a beaucoup voyagé et connaissait beaucoup de folklores à travers le monde.
C’est aussi son idée le colbac des zouaves pontificaux.
C’est une vraie guerre linguistique à Leuven, où les flamands portent plus des pennes et les wallons ont la tendance à la calotte.
En 1968, les protestations qu’on retiendra sous le nom de “Walen Buiten” portent leurs fruits et les étudiants francophones de Leuven se voient renvoyer. Ils trouveront bientôt refuge à LLN, dont la construction s’entame dès 1971.
Avec l’exode des étudiants il n’y a plus aucune Régionale à Leuven, sauf la Lux
Les étudiants qui s’inscrivaient en écoles catho. recevaient/pouvaient acheter une calotte, simplement pour marquer leur appartenance. Pas de passage ni de corona.
Il n’y avait pas de passage de corona, sauf dans certains ordres :
Ordre de St Michel
Ordre de Petase
Ordre de St Eloy
La calotte est un chapeau sale, un peu mal vu.
Il est porté par des guindailleurs extrêmes et pour l’obtenir il faut boire beaucoup, avoir affaire à de la pisse et se soumettre à des activités dégradantes.
Une renaissance de la calotte, parce que :
Renaissance de diverses Régionales
Arrêt des pratiques dégradantes
Création d’une série d’Ordres qui promeuvent la calotte par le passage de corona, inédit à l’époque. Ces ordres sont présent sur la première page des Bitu
Première corona à Namur.
Ils comptent leurs années de calotte àpd de cette date là.
Des étudiants refont une Régionale à Louvain “La Bruxelloise”
L’ordre est fondé au sein de La Gé Bruxelloise = SGBEC, en 1895.
L’Ordre disparait en même temps que la SGBEC en 1953
→ Fédérer les cercles/ordres/étudiants calottés
→ Distinguer ceux qui ont œuvré au rayonnement des valeurs des calottins
Avant c’était juste un ordre honorifique de la SGBEC.
Mais en 1985 il n’y avait que des Bruxellois (quasi) donc c’était un peu étrange de se prétendre fédérateurs de tous les calottins belges. Donc ils ont fait des efforts pour s’étendre et se diversifier.
L’OSC devient de plus en plus fédérateur, ils ont fondé le Conseil de la Calotte
Ouvert à tous les membres de cercles habilités à faire passer des calottes reconnues (CCS depuis 2019).
Deux directoires par an :
Discuter de l’Ordre (grosso modo une AG)
Elire un nouveau comité qui prendra place le jour du Banquet OSC
Le comité organise cependant des acti. toute l’année selon leurs envies.
Chaque année la région du Grand Maitre change (WAL, VLA, BXL).
Fraternités & sororités
Landmanschasten
Tuna
Portent des Faluches
Portent des Chapkas
Penne
Calotte
Penne conculaire (petite visière)
Beret d’art (Liège)
Birpet (Kippa)
Alto (penne sans visière)
Mai 1884 — Les catholiques gagnent les éléctions législatives
Une Guerre scolaire survient, entre les étudiants catho. et les libéraux.
Les étudiants des “Écoles libres” portent la crapuleuse, nom péjoratif pour la penne.
Les calottins avaient des canes, ainsi que pipes et choppes
Les pennés avaient des gourdins puis des chaines.
Avec le temps, les calottins ont lâché leurs accessoires mais les pennés ont gardé leurs chaines.
Société Générale Bruxelloise des étudiants Catholiques, à Leuven
Crée en 1895 au sein de la SGBEC, assisté par Saint-Louis et l’ICHEC.
Ils veulent fédérer les étudiants catho. contre les libéraux.
Les étudiants catho. veulent alors se distinguer des voyous pennés.
Mais pas la faluche qui fait trop française, ni la penne qui fait trop gangster.
Emile Jourdin (sculpteur) propose alors une toque d’astrakan. Inspirée des bonnets des volontaires de 1830 (donc patriotiques) soit des colbacs des zouaves pontificaux (bonnet en laine noire avec un col rouge).
Bataillon volontaires Belges, Français et Hollandais qui ont été défendre, dans les années 1860, la souveraineté du Pape Pie IX face au Roi d’Italie (Victor Emmanuel II).
La SGBEC organise un un bal, dans une sale près de Caudenderg, qui sera tellement à pertes qu’ils font faillite. La société disparait et on voit donc moins de calottes à Leuven.
Parfois présenté comme seul créateur de la calotte, mais ca semble peu probable puisqu’il n’avait alors que 19 ans et était à Leuven depuis seulement 2 mois.
Il est retenu comme l’un des plus importants déjà parce qu’il était très charismatique.
Puis parce qu’il avait un certain prestige : il a été Secrétaire du Roi Leopold II et Grand Maréchal à la Cour du Roi sous le règne de Baudouin.
On le retient comme important car il a beaucoup voyagé et connaissait beaucoup de folklores à travers le monde.
C’est aussi son idée le colbac des zouaves pontificaux.
C’est une vraie guerre linguistique à Leuven, où les flamands portent plus des pennes et les wallons ont la tendance à la calotte.
En 1968, les protestations qu’on retiendra sous le nom de “Walen Buiten” portent leurs fruits et les étudiants francophones de Leuven se voient renvoyer. Ils trouveront bientôt refuge à LLN, dont la construction s’entame dès 1971.
Avec l’exode des étudiants il n’y a plus aucune Régionale à Leuven, sauf la Lux
Les étudiants qui s’inscrivaient en écoles catho. recevaient/pouvaient acheter une calotte, simplement pour marquer leur appartenance. Pas de passage ni de corona.
Il n’y avait pas de passage de corona, sauf dans certains ordres :
Ordre de St Michel
Ordre de Petase
Ordre de St Eloy
La calotte est un chapeau sale, un peu mal vu.
Il est porté par des guindailleurs extrêmes et pour l’obtenir il faut boire beaucoup, avoir affaire à de la pisse et se soumettre à des activités dégradantes.
Une renaissance de la calotte, parce que :
Renaissance de diverses Régionales
Arrêt des pratiques dégradantes
Création d’une série d’Ordres qui promeuvent la calotte par le passage de corona, inédit à l’époque. Ces ordres sont présent sur la première page des Bitu
Première corona à Namur.
Ils comptent leurs années de calotte àpd de cette date là.
Des étudiants refont une Régionale à Louvain “La Bruxelloise”
L’ordre est fondé au sein de La Gé Bruxelloise = SGBEC, en 1895.
L’Ordre disparait en même temps que la SGBEC en 1953
→ Fédérer les cercles/ordres/étudiants calottés
→ Distinguer ceux qui ont œuvré au rayonnement des valeurs des calottins
Avant c’était juste un ordre honorifique de la SGBEC.
Mais en 1985 il n’y avait que des Bruxellois (quasi) donc c’était un peu étrange de se prétendre fédérateurs de tous les calottins belges. Donc ils ont fait des efforts pour s’étendre et se diversifier.
L’OSC devient de plus en plus fédérateur, ils ont fondé le Conseil de la Calotte
Ouvert à tous les membres de cercles habilités à faire passer des calottes reconnues (CCS depuis 2019).
Deux directoires par an :
Discuter de l’Ordre (grosso modo une AG)
Elire un nouveau comité qui prendra place le jour du Banquet OSC
Le comité organise cependant des acti. toute l’année selon leurs envies.
Chaque année la région du Grand Maitre change (WAL, VLA, BXL).
Fraternités & sororités
Landmanschasten
Tuna
Portent des Faluches
Portent des Chapkas
Penne
Calotte
Penne conculaire (petite visière)
Beret d’art (Liège)
Birpet (Kippa)
Alto (penne sans visière)