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poumons : responsable des échanges gazeux
nez : organe de l’olfaction
pharynx (naso-pharynx)
larynx
trachée
bronches
squelette cartilagineux flexible
divisé à l’intérieur en 2 cavités = les vestibules nasaux communiquant avec l’extérieur via par l’intermédiaire de la narine
glabre et se distingue de la peau chez tous les animaux sauf le CV
CN et petit ruminant : forme le planum nasal
BV : forme le planum naso-labial
PC : forme le planum rostral
planum divisé par un philtrum médian
maintenu humide par des glandes
adjacentes pour BV et PC
situées dans les cavités nasales chez le CN (principalement la glande nasale latérale)
forme, taille, nombre variables
extrémité rostrale du septum nasal
forme la séparation entre les cavités nasales G et D
chez le porc : inclut un petit os = os rostral
le bord libre donne attache aux autres cartilages qui supportent les bords dorsal et latéral des narines et déterminent l’ouverture
particulièrement développé
donne une forme de virgule à la narine
2 parties
ventrale = vraie narine
dorsale = fausse narine menant à un diverticule bordé de peau au niveau de l’échancrure naso-incisive
forme peut se modifier, surtout si on soulève l’aile externe du nez (ou sous l’action des M de la face lors d’une respiration difficile). La fausse narine peut alors être complètement comprimée
narine dilatée : arrondie, diverticule comprimé (apposition des parois du diverticule)
le cartilage alaire se poursuit par un cartilage septal
on note la présence de :
cartilage latéral dorsal peu développé
cartilage latéral ventral
cartilage accessoire
partie rostrale tubulaire
partie caudale s’élargit et la hauteur augmente
septum nasal :
partie caudale et dorsale s’ossifie
partie rostrale reste cartilagineuse : mobilité du nez
remplie de cornets
méats étroits
moitié crâniale
cornet nasal dorsal, simple, s’élargit caudalement
cornet nasal ventral, plus développé, richement vascularisé (grande surface d’échange), se poursuit en avant par le pli alaire qui se termine en faisant une dilatation bulbeuse (visible par les naseaux)
moitié caudale : ethmoturbinaux
2 cornets principaux et 3 méats
cornet dorsal : réduit, étroit, allongé
cornet ventral : très complexe, subdivisé par de nombreux replis
ethmoturbinaux = volutes ethmoïdales
très développés
premier endoturbinal forme un volumineux cornet moyen s’avançant jusqu’à mi-longueur des cavités nasales
organe voméro-nasal (Jacobson)
situé sur le plancher des cavités nasales
son conduit est branché sur le conduit incisif
conduit maxillaire
réduit
situé au-dessus des 3 dernières molaires supérieures
communique largement avec les cavités nasales
ethmoturbinaux remplissent la moitié caudale de la cavité nasale
plancher recouvert par la muqueuse olfactive
déforme le cornet nasal ventral
plus développé que cornet ventral et cornet dorsal
dza
lame papyracée
lame perpendiculaire
masses latérales
=> ethmoturbinaux
endoturbinaux : 3 de type “rameux”, le plus dorsal est le plus développé = cornet nasal moyen
ectoturbinaux
nez
entrée
sortie
parois
plafond
plancher
limite caudale
entrée : nez
sortie : choanes
parois : branche montante de l’os incisif, palatin, lacrymal, zygomatique, maxillaire
plafond : os nasaux + partie de l’os frontal
plancher : processus palatins de l’os palatin, maxillaire, incisif + vomer
limite caudale : ethmoïde
sinus frontal :
latéral : le plus grand (processus zygomatique de l’os frontal)
médial
rostral
sinus maxillaire : petit. Pas d’alvéole dentaire
communiquent avec le méat moyen
sinus vrais creusés dans des os
sinus conchaux (cavité fermée dans un cornet) que chez ongulés
communiquent avec le méat moyen
exception CV :
sinus conchaux (dorsal et ventral) s’annexent aux sinus vrais
certains sinus communiquent de manière indirecte avec le méat moyen → par l’intermédiaire d’autres inus
sinus conchaux : communiquent avec le méat moyen
sinus vrais (dans “os”) communiquent avec le méat moyen
sinus frontal caudal (3 compartiments)
moyen
rostral
caudal
compartiment cornual (processus cornual de l’os frontal)
compartiment orbitaire (processus zygomatique de l’os frontal)
compartiment nuchal (os pariétal et os occipital)
sinus frontal rostral (2-3 compartiments)
moyen
médial
latéral
sinus sphénoïdal
sinus maxillaire (2 compartiments)
latéral : récessus lacrymal
médial : récessus palatin
pas de communication entre conchaux et vrais
sinus frontal
rostral : petit, situé crânialement p/r à l’orbite → labyrinthe ethmoïdal
caudal (hyperdéveloppé) → aditus naso-frontal
aditus naso-maxillaire :
sinus maxillaire petit
sinus sphénoïdal
connexion entre la pharynx et l’arbre trachéo-bronchique
situé sous le pharynx, en arrière de la bouche, suspendu à la base du crâne par l’appareil hyoïde
contenu partiellement entre les branches de la mandibule, peut s’étendre jusqu’au cou où son squelette cartilagineux est palpable
en connexion avec l’appareil hyoïde et la langue, change de position durant la déglutition
2 lames latérales fusionnées ventralement pour former le corps
la partie rostrale du corps (ventral) s’épaissit pour former l’équivalent de la pomme d’Adam
les extrémités caudale et rostrale du bord dorsal de la lame s’articulent avec le cartilage cricoïde et le thyrohyal
peut s’ossifier avec l’âge
ressemble à un anneau avec une partie dorsale élargie et aplatie et un arc ventral rétréci
la partie dorsale porte une crête médiane
sur le bord rostral on trouve 2 facettes pour les cartilages aryténoïdes
l’arc porte, de chaque côté, une facette articulaire pour l’articulation avec le cartilage thyroïde
très irréguliers
pyramidaux
possèdent une facette caudale qui s’articule avec le bord rostral de la lame du cartilage cricoïde
à partir de là, se projette un processus vocal qui se projette ventralement vers la lumière du pharynx et auquel s’attache le pli vocal
il possède
un processus musculaire qui s’étend latéralement
un processus corniculé qui s’étend dorso-médialement, formant le bord caudal de l’entrée du larynx avec son homologue du côté opposé
bien que l’aryténoïde soit composé de cartilage hyalin, son processus corniculé est élastique
élastiques
supportent des plis muqueux allant de l’épiglotte aux aryténoïdes
en fonction des espèces, ils peuvent être présents ou non, libre ou fusionnés à l’épiglotte ou aux cartilages aryténoïdes
on trouve aussi parfois, un cartilage interaryténoïdien dorsalement entre les aryténoïdes
articulation synoviale entre le thyro-hyal et l’angle dorso-rostral du cartilage thyroïde : rotation selon un axe transversal commun aux côtés gauche et droit
articulation entre l’angle dorso-caudal du cartilage thyroïde et les faces latérales du cartilage cricoïde : rotation autour d’un axe transversal commun
articulation synoviale entre les cartilages aryténoïdes et le cricoïde : rotation selon des axes sagittaux et transversaux + glissements qui amène les aryténoïdes proches l’un de l’autre ou les écartent.
Les principaux mouvements des aryténoïdes sont les principaux dans la régulation de la taille de l’ouverture de la glotte (lumière du larynx)
Membranes élastiques :
entre épiglotte et cartilages thyroïde et aryténoïde
entre thyroïde et cricoïde
entre cricoïde et premier cartilage trachéal
autres ligaments élastiques forment la base des
plis vocaux qui vont du cartilage aryténoïde au plancher du larynx
des plis vestibulaires quand ils sont présents
Cartilage thyroïde et cricoïde : corne caudale du thyroïde au cricoïde : ligament crico-thyroïdien
Aryténoïdes : ligament aryténoïdien transverse
Crico-aryténoïdienne : diarthrose et ligament crico-aryténoïdien dorsal
Ary-thyroïdienne: ligament vocal
Ary-épiglottique : ligament vestibulaire ou ary-épiglottique
Ligament thyro-épiglottique
Ligament hyo-épiglottique
Membrane thyro-hyoïdienne
Ligament crico-trachéal
M intrinsèques
Superficiel : crico-thyroïdien
Profonds :
crico-aryténoïdien dorsal
crico-aryténoïdien latéral
thyro-aryténoïdien
aryténoïdien transverse
M extrinsèques
sterno-thyroïdien
hyo-thyroïdien
hyo-épiglottique
M intrinsèque superficiel du larynx
Innervation : N laryngé crânial du N vague
De la face latérale de la lame du cartilage thyroïde et l’arc cricoïde, ventralement à l’articulation crico-thyroïdienne
Contraction : rapproche ses attaches et donc porte la partie dorsale du cricoïde (et les cartilages aryténoïdes qui y sont attachés) vers l’arrière en tendant les cordes vocales
M profond du larynx
innervation : N laryngé caudal
Origine : De la face dorsal de lame du cricoïde
Fibres convergent rostro-latéralement
Insertion : sur le processus musculaire de l’aryténoïde
Contraction : provoque abduction du processus vocal et donc du pli vocal, dilatant la glotte
M profond du larynx
innervation : N laryngé caudal
Origine : partie rostro-ventral de l’arc cricoïde
Se dirige dorsalement
Insertion : processus musculaire
Contraction : provoque l’adduction du processus vocal + constriction de la glotte
M profond du larynx
innervation : N laryngé caudal
Origine : partie crâniale du plancher du larynx (principalement le cartilage thyroïde)
Chemine dorsalement et vers l’arrière
Insertion : sur le processus musculaire et les parties adjacentes du cartilage aryténoïde
CV et CN : divisé en 2 parties occupant les plis vestibulaires et vocaux et ajustant la tension des plis et formant une partie du sphincter
Rostral ventriculaire
Caudale vocale
M profond du larynx
Innervation : N laryngé caudal
Origine : processus musculaire de l’aryténoïde
Insertion : raphé médian (contenant parfois le nodule interaryténoïdien)
Certaines fibres croisent la ligne médiane pour rejoindre le cartilage aryténoïde de l’autre côté
Contraction : rapproche les cartilages et complète le sphincter, constricteur de la glotte
Sterno-thyroïdien
Hyo-thyroïdien : tire le larynx en avant et en haut
Hyo-épiglottique : tire l’épiglotte en avant
3 parties
vestibule : de l’entrée du larynx au bord rostral du cartilage aryténoïde et des cordes vocales
glottique = fente glottique : bordée
dorsalement par les cartilages aryténoïdes
ventralement par les cordes ventrales dont la taille peut varier
cavité sous-glottique : dimensions fixes : mène à l’entrée du larynx
Entrée du larynx se projette dans la lumière du pharynx
Elle peut être entourée par le bord libre du voile du palais et sa continuation : les arcs palato-pharyngiens
La partie rostral de la paroi est formée par l’épiglotte
la partie latérale par les plis aryépiglottiques
la partie caudale par le processus corniculé des cartilages aryténoïdes
l’intérieur du vestibule peut présenter, en parallèle au pli vocal et en avant, un pli vestibulaire. Celui-ci va de pair avec un diverticule de la muqueuse = le ventricule du larynx entre les plis vestibulaire et vocal.
Cette structure est surtout bien développée chez le CV
Plus étroite que le vestibule
Partie dorsale bordée par le processus vocal et les parties adjacentes du cartilage aryténoïde
Partie ventrale bordée par les plis vocaux
Chaque pli contient un ligament à son bord libre et, latéralement à ce pli, un M vocal entouré de tissu graisseux.
Les plis vestibulaires sont constitués de manière identique
Contient
de nombreuses glandes (surtout au niveau des ventricules quand ils sont présents)
des agrégats de tissu lymphoïde (spécialement dans la région sous-glottique)
épithélium
stratifié squameux au niveau :
de l’entrée où il risque une abrasion par les passage de la nourriture
du bord libre des plis
pseudostratifié cilié partout ailleurs
innervation sensitive : N laryngés crânial et caudal. limite entre les 2 territoires est la glotte
passage de l’air
protection : contre l’entrée des liquides et de la nourriture lors de la déglutition. Le larynx est tiré vers l’avant, l’épiglotte, poussée par la racine de la langue, bascule vers l’arrière. Les liquides empruntent les processus piriformes du plancher du larynx. Glotte se ferme de manière active par adduction des plis vocaux, en association d’une inhibition de l’inspiration
phonation
trachée forme, avec les bronches, le système conducteur entre le larynx et les bronchioles. Leur construction est similaire. C’est l’arbre trachéo-bronchique
Trachée démarre au niveau du larynx, passe dans la loge viscérale du cou, rentre dans le médiastin à l’entrée du thorax et se bifurque au-dessus du cœur. Deux bronches principales divergent et plongent au niveau de la racine du poumon correspondant.
Pc et ruminants : bronche trachéale (apicale) nait séparément du côté droit, avant la bifurcation et se termine dans le lobe crânial du poumon D
portion cervicale de la trachée est en position médiane et en rapport avec l’oesophage. Elle est également en rapport avec la gaine carotidienne et son contenu (A carotide)
Partie thoracique de la trachée
est déviée légèrement à droite où elle croise l’arc aortique.
Ventralement, elle est en rapport avec la V cave crâniale et les artères (et leurs ramifications) se détachant de l’arc aortique.
Dorsalement elle est en rapport avec l’œsophage et les NL médiastinaux, ainsi que le thymus chez le jeune.
La bifurcation se situe entre les EIC 4 et 6
muqueuse
couche cartilagineuse moyenne
adventice (cou) ou séreuse (thorax)
Anneaux cartilagineux incomplets dorsalement dont les extrémités effilées, se touchant ou non, sont réunies par des feuillets de tissu conjonctivo-élastique en continuité avec le périchondre.
Les extrémités sont reliées par un M lisse trachéal qui ferme le pont entre les extrémités des anneaux
à l’intérieur chez la plupart des espèces
à l’extérieur chez le CN et le CT
constituée de manière à empêcher qu’elle ne se collabe et lui permettre de s’ajuster en longueur quand le cou s’étend ou que le diaphragme se contracte. Attachée indirectement au diaphragme par les ligaments pulmonaires et le tissu conjonctif médiastinal et, de manière moins efficaces, par la pression intrapleurale négative qui couple les poumons à la paroi thoracique
variations de diamètre assurée par le M trachéal
forme en coupe transversale dépend de l’espèce et la région
structures des grosses bronches est identique à celle de la trachée
bronches plus petites : anneaux de cartilages progressivement remplacés par des plaques de cartilages irrégulières
variations de diamètre des bronches et bronchioles proportionnellement plus significatives et grandes que pour la trachée
Se situe contre la trachée, directement en arrière du larynx qu’elle peut parfois chevaucher
CN et CT : se compose de 2 masses séparées parfois reliées par isthme
CV : 2 lobes séparés, parfois connectés par un isthme non sécrétant
BV : les 2 lobes sont reliés par isthme large constitué de tissu parenchymateux
Petit ruminant : isthme inconstant et si présent il est fibreux
PC et homme : aspect plus compact et montre un lobe médial (pyramidal) large en plus des lobes latéraux
Origine : provient d’une excroissance médiane du plancher pharyngien qui contribue également à la formation de la langue
Le bourgeon s’étend caudalement sur la face ventrale de la trachée avant de se diviser à son apex en 2 processus divergents qui s’étendent dorso-latéralement pour rejoindre la limite entre la trachée et l’œsophage
Mammifères : connexion avec la langue en cours de développement (canal thyroglosse) régresse plus tard dans son entièreté (parfois siège de développement de kystes chez l’homme)
Glande mature entourée d’une capsule de tissu conjonctif attachée de manière lâche aux organes adjacents. Sa substance, généralement brun-rouge, a une texture granulaire suite à sa composition faite de nombreux follicules
BV : follicules donnent à la thyroïde un aspect irrégulier
Autres espèces : surface assez lisse
Thyroïde assez ferme, sa consistance, avec sa forme, sa taille et sa localisation permettent d’identifier les lobes chez les grands animaux par palpation en arrière du larynx
Elle n’est pas palpable chez le CN
Varie et dépend largement du contenu en iode de l’alimentation. Si trop peu d’iode, un goitre peut se développer.
CN : poids relatif peut varier d’un facteur 6, même si l’utilisation d’aliments commerciaux a fortement réduit ces variations.
CN de taille moyenne : mesure 6/1,5/0,5 cm
On retrouve parfois de petits glandes thyroïdes surnuméraires le long de la partie cervicale de la trachée
Vascularisation principale : A thyroïdienne crâniale qui provient de la carotide commune et se recourbe autour de son pôle crânial
Vascularisation subsidiaire peut être fournie par l’A thyroïdienne caudale qui a une origine plus proximale
CN : les 2 vaisseaux sont reliés par une anastomose le long du bord dorsal. Les V qui la drainent rejoignent la jugulaire
Sympathique et parasympathique
Fibres sympathiques viennent du ganglion cervical crânial
Fibres parasympathiques viennent des branches laryngées du N vague
Les fibres sont majoritairement vaso-motrice → la coupe des N a peu d’effets sur l’activité sécrétoire
Hormones thyroïdiennes
sont en rapport avec la régulation du métabolisme et la croissance
produites par les cellules folliculaires composant la majorité du parenchyme
sont stockées dans le fluide folliculaire puis dégradées pour donner produits finaux qui seront déversés dans le sang
une partie du parenchyme est constituée des cellules parafolliculaires (C)
origine dans l’organe ultimobranchial qui dérive des colonnes de cellules épithéliales du 4e arc pharyngien, qui sont envahies par les crêtes neurales
Sécrètent la calcitonine
qui est antagoniste de la parathormone.
Elle joue un rôle dans la croissance fœtale et protège le squelette maternel d’une déminéralisation excessive
4 au total
A proximité ou dans la glande thyroïde
Se développent au départ de la bordure pharyngienne
Paire externe vient du 3e arc pharyngien
Paire interne vient du 4e arc pharyngien
CN, CT, petits ruminants : régressent et sont englobées dans la thyroïde. Elles se distinguent de la thyroïde par leur couleur plus pâle
CN : parathyroïde externe se trouve sur la face latérale, en partie crâniale, de la thyroïde
CV et BV : situées à proximité de la glande thyroïde
Parathyroïdes externes
sont transportées vers la nuque suite au développement du thymus et peuvent se situer à différents niveaux, généralement près de la bifurcation carotidienne mais parfois beaucoup plus caudalement chez le CV où on peut les trouver près de l’entrée du thorax
Elles ne sont pas toujours facile à identifier car elles ressemblent à de petits nœuds lymphatiques ; elles sont plus pâles, moins lisses et d’aspect moins luisant que les NL.
CN : situées à l’extrémité rostrale de la glande thyroïde
CT : situées à l’extrémité caudale de la glande thyroïde
Parathormone
Joue un rôle vital dans la régulation du métabolisme du calcium : stimule
son absorption au niveau de l’intestin
sa mobilisation au départ du squelette
son excrétion dans l’urine
la production régulée par la calcémie
On accorde bcp d’importance à sa résistance qui varie en fonction des espèces
Ruminants : médiastin très épais et capable de résister à des différences de pression considérables entre les 2 cavités pleurales. Un pneumothorax reste unilatéral
CN, CT, CV : médiastin bcp plus délicat et se déchire facilement. On retrouve des petites ouvertures qui font communiquer les cavités pleurales G et D : on parle de médiastin percillé
consistance spongieuse
même lorsque collabés : contiennent encore de l’air : flotte dans l’eau lors du test de docimasie
poumon foetus qui n’a pas encore respiré ou animal mort né : pas d’air → coule lors du test
couleur varie en fonction de la quantité de sang
abattoir : rose frais
pas saigné : plus rouge
hypostase
si milieu pollué : grisâtre (exple : accumulation de suie)
disposés en miroir l’un par rapport à l’autre
D plus gros que G
ressemblent à la moitié d’un cône :
apex : à l’entrée du thorax
base : concave, large, face au diaphragme
face dorsale : convexe, en contact avec la paroi thoracique
face médiale : irrégulière, moulée sur les organes du médiastin
bord dorsal : épais, occupe la gouttière entre les vertèbres et les côtes
bord mince comprenant :
partie ventrale bordant le récessus costo-médiastinal
partie basale (caudo-ventrale) bordant le récessus costo-diaphragmatique
partie ventrale échancrée au-dessus du coeur = incisure cardiaque
plus importante à G qu’à D
à ce niveau, le bord ventral du poumon est échancré : permet le contact du coeur avec la paroi thoracique
racine du poumon située au-dessus de l’impression cardiaque et comprend les ramifications des bronches principales et de l’artère pulmonaire, et les veines, les lymphatiques et les nerfs avec une couverture de la plèvre qui se réfléchit à partir de la plèvre médiastinale sur le poumon
la plèvre se réfléchit en arrière de la racine en formant une pointe qui laisse une zone du poumon à nu, qui est au contact direct du tissu conjonctif médiastinal et de la zone homologue de l’autre poumon. Cela forme le ligament pulmonaire
poumon G
Crânial
caudal
poumon D
crânial
caudal
moyen
accessoire
lobe crânial divisé par une fissure en :
crânial
caudal (pas chez le CV ?)
peuvent être explorés par auscultation et percussion
accès limité :
en avant : bloqué par le membre antérieur
en arrière : bord caudal trop mince pour infos utiles
septas de tissu conjonctif allant du tissu péribronchique et périvasculaire permettent d’identifier des segments broncho-pulmonaires alimentés par des bronches identifiables (ils forment la marbrure de surface)
c’est l’élasticité du stroma conjonctif qui permet au poumon d’augmenter de volume à l’inspiration et de diminuer lors de l’expiration
la perte de cette élasticité (survenant lors du vieillissement ou dans des conditions pathologiques) réduit l’efficacité respiratoire
structure des bronches principales similaire à celle de la trachée
à chaque division, la partie cartilagineuse se réduit et devient irrégulière, alors que le muscle se développe pour entourer la la lumière de toutes part
on trouve un épithélium pseudostratifié avec des cellules ciliées et cellules en calice et des cellules sécrétant une substance séreuse, ainsi que des cellules souches qui peuvent proliférer pour remplacer les autres types de cellules en cas de problèmes
on trouve des glandes plus développées dans la sous-muqueuse des bronches principales
étroites (moins d’1mm de large)
forment plusieurs générations
dernière génération : disparition des cellules en calices, remplacées par des cellules de Clara (exocrinocytes) : sécrètent un composant du surfactant
bronchioles terminales présentent des excroissances alvéoles sur leur paroi et se poursuivent par des canaux alvéolaires puis les sacs alvéolaires (site d’échanges gazeux)
lors de la première inspiration les alvéoles se dilatent, mais sont quand même plus petites que celles d’un adulte
pénètrent rapidement dans les poumons et se divisent
détachent une bronche pour le lobe crânial et se poursuivent vers l’arrière
les 2 générations de subdivisions qui suivent ont une origine relativement constante mais les ramifications qui suivent sont moins prévisibles
le nombre de génération varie en fonction des espèces et des parties du poumons
souris : 4 à 5 générations
grands animaux : une douzaine de générations
plus profonde à D que à G
à G : petite échancrure entre lobe crânial et caudal, au niveau de la partie ventrale de 3e EIC
à D : échancrure entre lobes crânial et moyen large mais restreinte à la partie ventrale de 4e EIC : lieu idéal pour ponction cardiaque (ventricule droit)
G : relie la face médiale du poumon en arrière de l’hiatus aortique
D : rejoint l’oesophage et s’étend jusqu’à son hiatus diaphragmatique
la projection des poumons sur la face latérale du thorax donne un champ triangulaire pour l’auscultation ou la percussion
bord crânial : 5e cote (en arrière du triceps)
bord dorsal : bord latéral des M du dos (de 5e cote au 11e EIC)
bord caudo-ventral = basal : s’étend de la jonction chondro-costale de la 6e côte, le milieu de la 8e côte, l’extrémité dorsale du 11e EIC
on peut tirer le muscle en avant pour augmenter l’accessibilité 2 EIC
partie dorsale
large
contient la trachée et l’oesophage qui sont l’un contre l’autre à l’entrée du thorax
ventralement ces structures : V cave crâniale et tronc brachio-céphalique ainsi que leurs ramifications entourées de tissu graisseux
partie ventrale : contient
vaisseaux thoraciques internes
noeuds lymphatiques
thymus chez le jeune
tissu graisseux
partie dorsale
légèrement plus étroite que le coeur
contient
terminaison de la trachée
oesophage
arc aortique
structures de la racine des poumons et des noeuds lymphatiques
face droite relativement plate mais l’aorte se recourbe vers la G, indentant le poumon G
partie moyenne : contient
coeur
péricarde
partie ventrale entre le péricarde et le sternum :
très ample au vu de l’espace qu’il occupe
forme des plis, ressemblant au grand omentum
partie dorsale
triangulaire
contient :
aorte
V azygos droite
plus ventralement : oesophage
partie ventrale
mince
s’attache à la face caudale du péricarde et au diaphragme, selon un ligne d’autant plus déplacée vers la G que le médiastin touche la paroi thoracique en regard de la 9e jonction chondro-costale
rectangulaire
se situe contre la face droite de l’oesophage, entre le diaphragme et la racine du poumon droit
des M abdominaux peuvent y pénétrer lors d’anomalies congénitales ou trauma
allongés, peu profonds
forme correspond à celle des cavités pleurales
D : 1/3 en plus que G et plus épais que G
pas d’autre lobulation que la présence du lobe accessoire appendu à la base du poumon D
partie crâniale séparée de caudale par échancrure
les 2 poumons fortement unis pas du tissu conjonctif épais en arrière de la bifurcation trachéale
G
profonde échancrure permet au péricarde un contact important avec la paroi thoracique entre 3e et 6e côte
en regard de cette échancrure, le bord du poumon est mince : le péricarde est donc peu couvert
D
disposition similaire mais la position asymétrique du coeur réduit la taille de l’échancrure cardiaque : va de la 3e cote au 4e EIC
lors d’expansion modérée :
la base de chaque poumon atteint une ligne passant par la partie dorsale de la 16e cote, le milieu de la 11e côte et la jonction chondro-costale de la 6e cote
la partie dorsale de cette ligne est presque verticale
la partie inférieure de cette ligne glisse crânio-ventralement
le bord du poumon est séparé de la ligne de réflexion pleurale de :
5 cm dorsalement et ventralement
15 cm dans sa partie moyenne
poulain : extension du poumon restreinte : sa limite caudale se situe en regard de la 13e côte
projection plus grande que zone utilisée pour percussion et auscultation (bords amincis donnent peut d’infos utiles)
aire utilisée est triangulaire et se définit à partir de l’angle caudal de la scapula, la pointe du coude et la partie proximale de la 16e côte
2 côtés de ce triangle sont en angle droit
sur le bord caudo-ventral, l’hypothénuse est légèrement courbe
se combinent à la racine du poumon, avant de pénétrer au niveau du hile à un endroit dépourvu de plèvre et directement adhérent à la partie de l’autre poumon situé en regard
bronche principale divisée en
crâniale : lobe crânial
caudale : ventile le reste du poumon
due à un exercice intense
constatée
perte de sang visible extérieurement
détresse anormale pendant ou après effort
endoscopie : sang au niveau arbre trachéo-bronchique
connait pas origine du sang : A pulmonaire ou A bronchique ?
on ne sait pas si ça résulte d’anomalies pré-existantes de la paroi vasculaire
patho : diminue les performances, affaiblit, responsable de mise en retraite anticipée
hémorragies similaires rencontrées chez lévriers, chameaux et certains athlètes humains élites
fortement asymétrique
s’attache à la première côte et gagne progressivement une position plus médiane
partie dorsale
épaisse
occupe environ la moitié du diamètre transversal du thorax
contient
trachée et oesophage
tronc brachio-céphalique
V cave crâniale
NL médiastinaux crâniaux
N phrénique, sympathique et vague
canal thoracique
interstices entre ces structures contient du tissu adipeux
partie ventrale
bcp plus fine, surtout après que le thymus ait régressé
seul le thymus l’occupe
partie ventrale
très large
contient coeur et péricarde
partie dorsale
fine là où elle contient
oesophage
continuation de la trachée jusqu’à sa bifurcation
aorte
certains nerfs, incluant les ramifications du N vague
vue latérale : triangulaire
divisé en 2 suite à l’adhésion entre les poumons depuis et en arrière de la racine
partie ventrale
seul occupant = N phrénique G
déviée largement à G avant de rejoindre la plèvre diaphragmatique
partie dorsale : mince sauf là où elle contient l’oesophage et l’aorte